Où dénicher des coupons de réduction ?
Supermarchés: où dénicher des coupons de réduction sur internet pour payer vos courses moins cher ? Des sites et des applications proposent des bons de réduction qui permettent un rabais immédiat en caisse ou un remboursement sur votre compte en banque. Mode d’emploi.
Lessive, café, biscottes, shampoing, croquettes pour chien… Comment payer moins cher ses courses au supermarché? En se mettant en quête de bons de réduction disponibles sur internet! De quelques dizaines de centimes à plusieurs euros, ils sont valables sur des produits de marque et méritent qu’on s’y attarde tant le gain en caisse peut être conséquent. Voici les principaux sites et applications à tester, et à cumuler, selon vos habitudes en rayon.
- Couponnetwork.fr
Ce site propose deux façons de réduire le montant de votre ticket de caisse: imprimer des bons de réduction à présenter à la caisse pour une déduction immédiate ou obtenir un remboursement directement sur votre compte bancaire ou votre compte PayPal. Le tout de façon sécurisée.
Pour obtenir vos bons de réduction, vous allez sur couponnetwork.fr, ou sur l’application mobile, puis vous créez un compte gratuitement avec une adresse e-mail. Produits frais, épicerie, hygiène et beauté… Une fois inscrit, vous n’avez plus qu’à choisir dans la liste de vos bons produits en promotion, ceux disponibles dans votre enseigne, et à imprimer.
Vous préférez un remboursement sur votre compte bancaire? Il se fait en deux temps une fois le produit mis dans votre caddie. Via votre smartphone ou votre ordinateur, vous envoyez la preuve d’achat en scannant le code-barre du produit et en photographiant le ticket de caisse.
Votre remboursement sera crédité sur votre compte bancaire ou votre compte PayPal. Renseignez votre choix dans « Mon compte » « Mes infos de remboursement ».
Si vous possédez une carte de fidélité Intermarché, Monoprix ou Match, la somme peut être créditée dessus.
- Shopmium
Sur cette application, qui fonctionne aussi via le site internet , pas de bons à imprimer, mais des remboursements directement sur votre compte bancaire ou votre compte Paypal.
Le principe est le même: après inscription, vous piochez dans la sélection de réductions celles qui vous intéressent. Certaines sont disponibles exclusivement sur l’application. En magasin, vous pouvez scanner un produit pour vérifier qu’il est éligible à la réduction.
Vous envoyez ensuite une photo de votre ticket de caisse prouvant votre achat pour déclencher votre remboursement. Il peut se faire sur votre compte Paypal, sous 48 heures, ou votre compte bancaire, sous 7 jours. Pour renseigner votre choix, allez dans votre profil puis dans « préférences » et « modes de remboursement ».
Il est également possible d’ajouter une carte de fidélité pour que votre réduction y soit créditée.
- D’autres sites similaires à tester :
www.mavieencouleurs.fr : ce site fonctionne comme les deux autres et propose très régulièrement des remises de plusieurs euros sur les lessives de marque. Mais pas seulement! Une newsletter vous avertit chaque mois des réductions en cours.
Ou : malistedecourses.fr ; reductions.labelleadresse.com ; enviedeplus.com
- Pensez-y aussi pour faire baisser la note!
La carte de fidélité: petites, moyennes ou grandes surfaces en proposent gratuitement et y associent de nombreuses promotions, notamment en période de fêtes. D’un produit acheté au second offert en passant par des euros crédités à faire valoir au passage suivant en caisse, aucune raison de s’en priver! Certaines enseignes envoient également par courrier des bons de réduction à présenter en caisse via leur programme de fidélité.
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Démarchage téléphonique : ce qui va changer à partir du 1er Avril
Un décret de janvier 2022 entrera en vigueur à partir du 1er avril et changera certaines règles pour protéger les consommateurs.
Le démarchage téléphonique reste toujours très présent pour séduire de nouveaux clients en France. Un domaine particulièrement visé par le secteur des assurances auprès des particuliers. Mais dès le 1er avril prochain, les courtiers qui vous appelleront devront obéir à de nouvelles règles que vous pourrez même leur imposer en cas de non respect.
C’est un décret de janvier dernier qui est venu fixer de nouvelles directives à suivre, afin de mieux protéger les consommateurs lors de ce type de démarchage téléphonique. Les courtiers en assurance qui vous contacteront auront donc l’obligation de répondre à sept nouveaux points.
En premier lieu, le vendeur que vous aurez au téléphone aura l’obligation de vous demander votre «accord explicite dès le début de la discussion et de mettre fin à l’appel si vous déclarez votre opposition», en tant que client potentiel. Si vous manifestez votre refus, le courtier ne devra plus vous rappeler
Dans le cas où vous décidez de donner suite à la conversation, le courtier devra vérifier que vous êtes «déjà couvert par un contrat identique à l’objet du démarchage, ce contrat peut-être résilié en cas de souscription de celui qui lui est proposé», précise ainsi le site de l’administration service-public.fr.
Avant de conclure le contrat et de recevoir un éventuel consentement du client, le responsable de ce démarchage téléphonique devra vous envoyer tous les documents liés au contrat. Surtout, il devra vérifier leur bonne réception par son destinataire.
Il n’aura également pas le droit de forcer la main de son client potentiel, puisque la loi impose désormais «le respect d’attendre 24 heures avant la signature du contrat». Cette signature peut être électronique ou manuscrite, mais un simple accord oral ne suffit pas, mentionne le décret. Le client doit également recevoir tous les documents relatifs à la signature du contrat, ses dates de validité et ses modalités de résiliation et le courtier devra s’en assurer.
Dernier point important à surveiller, la société qui aura démarché le client aura l’obligation de «conserver pendant deux ans l’enregistrement de l’échange téléphonique ayant conduit à la transaction, de façon à fournir une preuve en cas de contestation, et de veiller à la sécurité de cet enregistrement».
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Prescription et recouvrement des créances
Recouvrement amiable de créances. Pendant combien de temps une dette est-elle due ?
Vous recevez une demande de paiement d’un professionnel pour une facture. Aucune action en justice n’a été entreprise à ce stade. Il s’agit d’un recouvrement amiable. Vous ne savez pas si cette somme est toujours due. Vous souhaitez connaître le délai de prescription (ou délai de forclusion pour le crédit à la consommation) applicable. Le créancier, celui qui réclame de l’argent, est un professionnel. Il recouvre par ses propres moyens ou a mandaté un professionnel (société de recouvrement, huissier, avocat…).
Quelques règles à connaître :
Pour être due, la somme (créance) doit être « certaine », « liquide », « exigible » et « non prescrite » :
- « Certaine » : la dette doit être fondée. Avez-vous signé un contrat et omis de régler une facture par exemple ?
- « Liquide » : le montant doit être précisément déterminé, évalué et mentionné dans le courrier.
- « Exigible » : la facture est-elle bien à régler ? Existe-t-il une condition (ex. : condition suspensive) ou un délai pour son paiement ?
- « Non prescrite » : le délai permettant au professionnel d’obtenir le paiement est-il dépassé ? Dans ce cas, la dette trop ancienne n’est peut-être plus due.
La facture fait souvent foi jusqu’à preuve du contraire.
Article 1353 du code civil.
Interruption ou suspension du délai
Pour savoir si la dette est encore due, il faut rechercher si le délai permettant au professionnel d’obtenir le paiement est dépassé. On parle alors de délais de prescription ou de forclusion. Il n’existe pas un mais des délais selon la nature de la dette.
Un délai de prescription peut aussi être interrompu ou suspendu. La suspension de la prescription en arrête temporairement le cours sans effacer le délai qui a déjà couru. Ainsi, par exemple, la prescription est suspendue lorsque les parties conviennent de recourir à la médiation ou à la conciliation. L’interruption fait quant à elle courir un nouveau délai de même durée que le premier. La prescription est, par exemple, interrompue lorsqu’une personne reconnaît devoir la somme (reconnaissance de dette). Attention, une action en justice, même en référé, interrompt aussi le délai de prescription.
Le délai de forclusion qui s’applique notamment en matière de crédit à la consommation est encore plus rigoureux dans son application. Il ne peut être suspendu. Il peut être interrompu par une demande en justice, référé compris, ou un acte d’exécution forcée – seuls cas expressément prévus par la loi.
Cas particulier du délai de recouvrement d’une dette issue d’un crédit .
Articles 2230, 2231, 2238, 2240 à 2244 du code civil.
Quand un créancier a, en revanche, obtenu une décision de justice à votre encontre, il a alors, en principe, un délai de 10 ans pour faire exécuter ce jugement (procéder à une saisie par l’intermédiaire d’un huissier par exemple). Passé ce délai, l’exécution forcée n’est plus possible. Ce délai était de 30 ans avant la réforme des procédures civiles en 2008.
Article L. 111-4 al. 1 du code des procédures civiles d’exécution.
Bon à savoir : Dans quel cas une facture d’électricité ou de gaz est-elle prescrite ?
En matière de facturation, plusieurs délais coexistent. Vous devez distinguer :
- le délai qui s’applique aux consommations que le fournisseur peut mettre à votre charge ;
- le délai de recouvrement d’une facture une fois celle-ci éditée avec les bonnes consommations.
Les deux délais sont différents. Votre fournisseur ne peut pas, en principe, vous facturer des consommations datant de plus de 14 mois depuis votre dernier relevé réel. Une fois la facture éditée, le fournisseur a 2 ans pour en obtenir le paiement.
Il faut tenir compte notamment de la date d’édition de la facture.
Cas n° 1. La facture a été éditée il y a plus de 2 ans. C’est prescrit dans ce cas.
Cas n° 2. La facture date de moins de 2 ans. Si elle est basée sur un index réel, le paiement de la facture ne sera pas prescrit mais une partie des consommations peut l’être. En effet, votre fournisseur ne peut vous facturer des consommations antérieures de plus de 14 mois au dernier relevé réel (relevé ou autorelevé).
Attention. Cela ne vaut pas si votre facture est basée sur un index estimé. Pour rappel, votre fournisseur doit vous facturer au moins une fois par an sur votre consommation réelle. Le paiement de la facture n’est pas prescrit mais vous pouvez refuser de la régler tant que vous ne serez pas facturé sur votre consommation réelle. Une fois la nouvelle facture au réel éditée, aucune consommation antérieure de plus de 14 mois au dernier relevé réel ne pourra vous être facturée.
Pour savoir si la facture est prescrite, vous devez donc vérifier :
- la date d’édition de la facture ;
- les dates des consommations mentionnées sur la facture et la date du dernier relevé réel.
Art. L. 224-11 du code de la consommation.
Pour plus d’informations, consulter le tableau selon de domaine concerné sur : ufcquechoisir.org
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Pouvoir d’achat : des gestes « écolos » pour faire des économies d’énergie
6 gestes simples pour un logement mieux chauffé . Installer des rideaux thermiques, nettoyer les radiateurs, aérer les pièces… Certaines bonnes habitudes ou aménagements permettent d’améliorer l’efficacité du chauffage dans un logement, sans gros travaux.
1.Fermer les volets
Par temps froid, dès que la nuit tombe, pensez à fermer les volets ou les stores, y compris dans les pièces de vie qui seront pas occupées jusqu’au matin. Dans un bâtiment, les fenêtres sont le point faible de l’isolation thermique et plus encore les fenêtres à simple vitrage. Les volets joueront ainsi un double rôle en emprisonnant contre la vitre une couche d’air un peu moins froide que l’atmosphère extérieure et en stoppant le vent froid qui, sinon, aspire de la chaleur par effet de convection en balayant les fenêtres. Ce simple geste renforce l’isolation d’une fenêtre à simple vitrage de 30%, celle d’un double vitrage posé il y a plus de 20 ans de 15% et même de 5% pour du double vitrage moderne.
Des volets étudiés pour isoler: Il existe des volets isolants – roulants ou battants – dont la caractéristique est de renfermer une mousse isolante entre deux panneaux rigides. Ils sont complétés par un encadrement de fenêtre spécifique pour supprimer les fuites. Ils sont plus chers que des volets classiques mais sont éligibles aux aides financières de l’état (TVA, éco-prêt, ANAH). Ils peuvent apporter une amélioration de l’isolation allant jusqu’à 20% avec un double vitrage moderne (les volets roulants étant les plus efficaces). À considérer notamment dans des régions froides comme l’Auvergne, l’Alsace, le Jura,les Alpes.
2.Installer des rideaux thermiques
Généralement doublés d’une matière polaire ou d’un film aluminium, les rideaux isolants thermiques sont d’un prix modique (20 à 50€ la paire) et se posent aussi simplement que des rideaux traditionnels. Ils augmentent le confort thermique en isolant du rayonnement de la surface du vitrage (nous sommes sensibles aux surfaces froides ce qui explique le sentiment d’inconfort auprès d’une fenêtre dont le vitrage descend sous les 10°, alors que la température au centre de la pièce est de 20°). À éviter bien sûr devant ou au-dessus d’un radiateur.
3.Isoler le sol
Dans une maison peu isolée, 15% de la chaleur peut s’échapper par le sol. Longtemps mal aimée, la moquette fait son retour. Elle nécessite des travaux simples et renforce le confort thermique et acoustique. À défaut, des tapis seront utiles, en particulier sur des sols carrelés, et ils seront plus faciles à entretenir. On les choisira de préférence épais et en laine. Petite astuce: les placer à proximité d’un appareil de chauffage permet de mieux homogénéiser et diffuser la chaleur dans la pièce.
4.Nettoyer les radiateurs
Le nettoyage des radiateurs est une opération simple et utile à la fois. Ces équipements générant un courant de convection avec la chaleur attirent beaucoup de poussière. Outre les bactéries qui peuvent s’y accumuler et l’odeur désagréable au moment de la remise en chauffe, la saleté accumulée entraine une moindre efficacité du chauffage. Rien de plus simple: chiffon et brosse, aspirateur avec un embout adapté, voire une vieille chaussette sur une spatule pour explorer ses recoins!
5.Ventiler les pièces
L’idée n’est pas intuitive puisqu’ouvrir les fenêtres fera entrer le froid. Pourtant, l’Agence pour la transition écologique (Ademe), entre autres, l’assure : il faut ouvrir ses fenêtres 5 à 10 minutes deux fois par jour. Il ne s’agit pas seulement de purger son logement des acariens et virus mais aussi de se chauffer plus efficacement. En effet, ouvrir permet d’évacuer l’humidité présente dans votre logement. Or un air sec se chauffe plus facilement.
6.Adapter la température à la pièce
En hiver, il n’est pas anormal, ni même inconfortable, de porter un pull et des chaussettes chaudes chez soi. Un grand nombre de logements sont trop chauffés, ce qui est aussi peu économique qu’écologique. La température considérée comme idéale pour cette saison est de 19° à 20° dans les pièces à vivre et de 16 à 17° dans les chambres (avec une bonne couette). Pour la salle de bain, on peut monter à 21°. Vérifiez la température de chaque pièce au thermomètre afin d’adapter un réglage individualisé par espace de vie. Un degré en moins sur l’ensemble du logement équivaut à environ 7% d’économie sur la consommation d’énergie.
Bon à savoir : les avantages du thermostat programmable
Il peut être avisé d’acquérir un thermostat programmable si votre chaudière n’en est pas équipée. L’investissement n’est pas négligeable: 60 à 250€ plus 150 à 300€ d’installation. Mais sa bonne régulation du chauffage et sa programmation (jour/nuit ; jours de la semaine) permet jusqu’à 15% d’économies sur la note d’énergie, soit 210€ dès la première année dans une maison chauffée au gaz pour 1400€ annuels, ou 270€ sur une facture de chauffage électrique à 1800€ annuels. Il existe aussi des robinets à tête thermostatiques à adapter à chaque radiateur pour obtenir la température désirée dans une pièce. Ils peuvent par exemple prendre en compte un apport de chaleur externe comme le rayonnement solaire sur une baie vitrée pour adapter le niveau de chauffe. Montant: quelques dizaines d’euros pièce, auxquels il faut éventuellement ajouter la pose, à moins de disposer de quelques compétences en bricolage.
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Réparations locatives et travaux à la charge du locataire
Chaudière ou frigo en panne, vitre cassée, mur fissuré… Au quotidien, de nombreux problèmes peuvent survenir dans un logement en location. Se pose alors la question de savoir si le coût des réparations incombe au locataire ou au propriétaire. La réglementation fixe ainsi la liste d’un certain nombre de travaux devant être pris en charge par le locataire du logement.
Quelles sont les réparations à la charge du locataire ?
Le décret 87-712 du 26 août 1987 sur les réparations locatives est assez détaillé : le locataire doit effectuer un certain nombre de travaux d’entretien et de réparation dans son logement et dans les parties extérieures dont il a éventuellement la jouissance exclusive. Sont ainsi mis à sa charge par la loi :
- Les menues réparations et l’entretien courant des équipements mis à sa disposition (cuisinière, réfrigérateur, etc.), de l’installation électrique, de la plomberie, du chauffage, etc. Tout comme l’entretien de la chaudière .
- Les menues réparations et l’entretien courant des revêtements intérieurs (sols, murs et plafonds).
- L’entretien courant de propreté, obligation locative qui intervient surtout à la fin du bail.
Le locataire n’est pas tenu d’effectuer les réparations normalement à sa charge dans plusieurs cas :
- quand il s’agit d’un vice de construction ou d’une malfaçon : inondations dues à une mauvaise étanchéité, peintures mal faites, etc.
- quand il s’agit d’une usure normale des équipements et revêtements. On ne peut, par exemple, demander à un locataire de refaire sols et plafonds après dix ans d’occupation.
- quand il s’agit d’un cas de force majeure (tempête, etc.).
Quelles sont les réparations à la charge du propriétaire ?
A contrario, le propriétaire doit effectuer tous les travaux et réparations qui ne sont pas à la charge du locataire. Exemples parmi d’autres : remplacement de la chaudière, changements des robinets, des volets, des fenêtres, etc. Sans oublier naturellement toutes les grosses réparations (ravalement, etc.).
Si le dommage est dû à un défaut d’entretien du locataire ou à une mauvaise utilisation des équipements, le propriétaire n’est pas légalement tenu de prendre la réparation ou le renouvellement à sa charge. Quand le propriétaire ne fait pas face à ses obligations, le locataire peut demander au juge l’autorisation d’effectuer les travaux. Les dépenses pourront alors être déduites des loyers à venir. La solution judiciaire ne constitue évidemment qu’un ultime recours si les démarches amiables n’aboutissent pas. Avant d’agir en justice, le locataire aura notamment adressé une lettre de demande de réparation au bailleur.
Qui doit payer les frais de remise en état en fin de bail ?
Les frais de remise en état à la fin du bail sont un sujet fréquent de contentieux entre locataires et propriétaires dès lors que des dégradations sont constatées dans l’état des lieux de sortie. La loi est ici moins précise et c’est surtout une affaire de bon sens et d’usages, parfois sanctionnée par les tribunaux.
Les frais de remise en état sont à la charge du locataire – et donc potentiellement déductibles de son dépôt de garantie – s’il s’agit d’un manque d’entretien ou de dégradations particulières. C’est souvent le cas lorsque la location est de courte durée et que le logement n’est pas rendu en bon état.
En revanche, on ne peut reprocher à un locataire les effets de la vétusté et l’usure normale des équipements et revêtements intérieurs. Si la moquette ou les papiers peints sont tout simplement défraîchis, le propriétaire doit prendre à sa charge leur renouvellement. S’ils sont à la fois défraîchis et dégradés, les frais peuvent être partagés avec le locataire.
Comment savoir à qui incombe une réparation ?
Pour savoir à qui incombe précisément une réparation dans un logement en location, il faut consulter le décret 87-712 du 26 aout 1987, plusieurs fois actualisé depuis cette date, qui en dresse une liste détaillée. Conformément à la réglementation, la liste des réparations qui suivent incombent au locataire et concernent les :
Ouvertures intérieures et extérieures
Parties intérieures
Installations de plomberie
Equipements d’installations d’électricité
Autres équipements mentionnés au contrat de location
Pour consulter la liste plus précisément , cliquer ICI.
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Bonus pour remplacer votre chaudière au gaz ou au fioul
A partir du 15 avril et jusqu’à la fin de l’année 2022, les aides Ma Prime Rénov, accordées pour remplacer une chaudière au gaz ou au fioul par une pompe à chaleur ou une chaudière biomasse, seront augmentées de 1 000 €.
Face aux conséquences économiques de la guerre en Ukraine, le Premier ministre , a présenté, mercredi 16 mars, aux côtés du ministre de l’Economie , de la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili et du ministre de l’Agriculture , un plan de résilience économique et social. Outre la série de mesures pour limiter le choc de la flambée des prix de l’énergie sur les entreprises et les ménages, le plan a aussi pour but de réduire le plus rapidement possible la dépendance de France aux énergies fossiles.
Jusqu’à 9 000 € d’aides pour installer une pompe à chaleur
« Le gouvernement a décidé d’augmenter de 1 000 €, à partir du 15 avril prochain et jusqu’à la fin de l’année 2022, les aides MaPrimeRénov’ accordées pour l’installation d’un système de chauffage vertueux qui permet de sortir du gaz ou du fioul, comme les pompes à chaleur (y compris hybrides) ou les chaudières biomasse », a déclaré la ministre de la transition Energétique.
Selon la ministre, « en cumulant les aides MaPrimeRénov’ et les certificats d’économie d’énergie (CEE), il sera ainsi plus avantageux pour les ménages les plus modestes de choisir une pompe à chaleur ou une chaudière biomasse et de se passer du gaz ». Avec les deux dispositifs, les ménages pourront ainsi avoir jusqu’à 9 000 € d’aides pour changer leur chaudière au gaz par une pompe à chaleur, contre 8 000 € actuellement.
En parallèle, les forfaits pour l’installation de nouvelles chaudières au gaz, qui s’élèvent à 1 000 € environ, seront arrêtés. Le but est « de ne plus inciter les ménages à rester dépendants du gaz », a précisé la ministre.
A partir du 1er juillet 2022, il sera interdit d’installer une chaudière au fioul ou au charbon neuve, sauf si des contraintes techniques empêchent d’utiliser un autre mode de chauffage.
Cette interdiction s’inscrit dans la stratégie du gouvernement de sortir l’ensemble des bâtiments du chauffage au fioul d’ici 2028. « Le fioul est l’énergie de chauffage la plus polluante, elle est coûteuse pour les ménages qui l’utilisent et contribuent à la précarité énergétique », rappelait l’an dernier le ministère de la Transition écologique alors qu’environ 3,4 millions de ménages français, soit près de 12 % du parc de résidences principales, utilisent encore ce combustible pour se chauffer, notamment en milieu rural.
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Date limite de déclaration des revenus 2021
Quand et surtout jusqu’à quelle date pourrez-vous déclarer vos revenus 2021? Le calendrier à respecter pour éviter une pénalité de retard.
Avec le printemps voici revenir les feuilles de notre déclaration d’impôts, plus exactement déclaration de revenus. Elle devrait être disponible sur internet jeudi 7 avril 2022.
Quelles sont les dates limites à respecter?
Ce sera dommage d’encourir une pénalité de retard : les dates à noter pour compléter votre déclaration de revenus en temps et en heure, en 2022.
Pour la déclaration en ligne, les dates sont fixées selon le département dans lequel se situe votre domicile au 1er janvier 2022. Si vous avez déménagé récemment, relevez la date correspondant à votre adresse au premier jour de l’année en cours.
Suis-je obligé de faire ma déclaration sur internet?
Tous les contribuables sont obligés de remplir leur déclaration de revenus chaque année. En effet, le taux moyen de l’impôt prélevé à la source sur nos salaires ou nos retraites est fixé selon vos revenus des années antérieures. Mais, si vous n’êtes pas à l’aise sur internet vous n’êtes pas forcé de faire votre déclaration en ligne.
L’administration précise que vous pouvez déclarer vos revenus sur formulaire papier, si vous remplissez l’une des conditions suivantes:
– votre résidence principale n’est pas équipée d’un accès à internet
– elle est dotée d’un accès à un internet mais vous n’êtes pas en mesure de faire votre déclaration en ligne. Autrement dit si vous ne vous sentez pas assez à l’aise avec internet, vous pourrez continuer à faire votre déclaration sur papier, à condition de l’affranchir le 19 mai au plus tard.
À partir de quand pourrai-je remplir ma déclaration?
Les déclarations de revenus sur internet seront accessibles sur impots.gouv.fr à partir du jeudi 7 avril. Les envois de déclarations sur papier s’étaleront jusqu’à la fin de ce mois.
« Déclaration automatique », je la vérifie !
Si vous faites partie des 11 millions de foyers qui se verront proposer une »déclaration automatique de revenus » vous devez impérativement contrôler que toutes les informations pré-remplies par l’administration sont correctes et surtout qu’il ne manque rien. En effet, certains changements dans votre situation familiale ou dépenses déductibles ne sont peut-être pas encore connus du fisc.
– si toutes les informations sont correctes et complètes, vous n’avez rien à faire. Votre déclaration sera automatiquement validée;
– si certains points doivent être complétés ou modifiés (adresse, situation de famille, montant des revenus et charges, dépenses éligibles à réduction / crédit d’impôt…), vous devrez compléter et signer votre déclaration de revenus comme d’habitude.
Calendrier 2022 des déclarations de revenus 2021 :
La date limite de la déclaration papier | La date limite de dépôt des déclarations est fixée au jeudi 19 mai 2022 à minuit (y compris pour les résidents français à l’étranger), le cachet de La Poste faisant foi |
Les dates limites de déclaration par internet | |
Vous résidez dans le département numéroté: | La date limite de déclaration en ligne est fixée au: |
départements n°01 à 19 et non-résidents | Mardi 24 mai 2022 à 23h59 |
départements n°20 à 54 | Mardi 31 mai 2022 à 23h59 |
départements n°55 à 974/976 | Mercredi 8 juin 2022 à 23h59 |
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Journée mondiale de l’eau 2022
M A R D I 2 2 M A R S 2 0 2 2 :
JOURNÉE MONDIALE DE L’EAU
L ‘ E A U E S T U N B I E N C O M M U N ,
P R O T É G E O N S – L A !
13h30 : Marche citoyenne à Vittel. Départ Parking Bonne Source
18h00 : Projection du film « A sec, la grande soif des multinationales », à Contrexéville. Espace Andrée Chedid (accès libre)
20h00 : Réunion publique à Contrexéville. En présence des collectifs et associations de défense de l’environnement et des consommateurs, ainsi que de Mathilde Panot, députée LFI. Espace Andrée Chedid (accès libre)
Contacts : collectifeau88@gmail.com
Site : leauquimord.com
A Vittel, le Collectif Eau 88 combat la mainmise de Nestlé
sur l’eau et le territoire. Il agit en lien avec les collectifs de Volvic et Lüneburg (Allemagne) en lutte contre Danone et Coca-Cola.
Dans la région Grand-Est, les associations de défense de l’environnement dénoncent d’autres types d’activités dangereuses pour l’eau, le climat, le vivant : papèteries (NSG, Etival) et bassin d’eau vive à Epinal, circuit automobile à Mirecourt, stockage de déchets nucléaires à Bure, déchets toxiques à Stocamine-Wittelsheim et autres pollutions industrielles et agricoles…
Cette journée mondiale de l’eau sera l’occasion d’échanges entre le public, des militantEs de ces différentes luttes et la députée insoumise Mathilde Panot, Présidente de la commission d’enquête parlementaire sur la mainmise des intérêts privés sur l’eau.
L’invasion de l’Ukraine avec la menace de guerre nucléaire, l’avertissement du GIEC sur les conséquences de l’inaction face au changement climatique, nous rappellent l’urgence écologique, sociale et démocratique de la situation.
C’est le moment ou jamais de nous mobiliser pour redonner du sens à nos vies.
L’eau est un enjeu central pour l’humanité.
Soyons nombreuses et nombreux à venir défendre ce bien commun vital, mardi 22 mars à Vittel !
Changement d’heure 2022 , est-ce la dernière fois ??
Instauré en France depuis 1976, le changement d’heure avait initialement pour objectif de faire des économies d’énergie. 46 ans plus tard, à l’approche du passage à l’heure d’été le sujet est de nouveau au coeur de plusieurs débats. Explications.
Dans la nuit du 26 au 27 mars 2022, la France et le reste de l’Union européenne se plieront une nouvelle fois au changement d’heure d’été en avançant d’une heure. Une pratique controversée et chaque année discutée, car accusée de perturber nos horloges internes et de compliquer la vie de nombreux parents en raison du décalage horaire qu’il provoque chez les tout-petits.
L’horaire du changement d’heure restera le même cette année encore : dans la nuit de samedi à dimanche 27 mars, à 2 heures du matin, il sera 3 heures.
- Une mesure mise en place par un décret de 1975
L’idée d’un changement d’heure apparaît pour la première fois en 1907. L’Allemagne est le premier pays d’Europe à instaurer cette mesure en 1916, suivi par la Grande-Bretagne. La France suit le mouvement l’année d’après, avant de rétropédaler à la libération.
Il faudra attendre 1976, suite à l’adoption du décret du 19 septembre 1975, pour que le changement d’heure saisonnier soit rétabli en France. Cette mesure gouvernementale est mise en place après le choc pétrolier dans le but de réduire la facture énergétique du pays en limitant l’utilisation de l’éclairage artificiel.
Mais si l’adoption de ce décret avait du sens il y a 45 ans, selon une étude d’évaluation des impacts énergétiques du régime d’heure d’été, mis à jour en 2009, par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie « le changement d’heure permet des économies d’énergies et de CO2 réelles mais modestes, pour un coût quasi-nul de mise en œuvre ». Des résultats qui s’expliquent notamment par l’évolution des éclairages publics, de moins en moins énergivores.
A l’échelle de l’Europe, le Service de recherche du Parlement européen estimait dans une étude publiée en 2017 que le changement d’heure permettait de réaliser une économie de 0,5% à 2,5% selon les pays.
- Arrêt du changement d’heure : les Français majoritairement favorables
Si le sujet est sur la table depuis 2018 au sein de la sphère politique, les Français, eux, sont en grande majorité favorable à l’arrêt du changement d’heure en hiver et en été.
- Dernier changement d’heure en 2022 ?
Le prochain changement d’heure qui surviendra la veille d’halloween en France sera-t-il le dernier ? Les chefs d’Etat des membres de l’Union se sont prononcés pour l’arrêt du changement d’heure, mais les élus des différents pays peinent à s’entendre sur l’heure définitive à adopter. Plutôt heure d’hiver ou heure d’été ? Les avis divergent, provoquant un blocage au sein du Conseil européen, d’autant qu’avec la crise du Covid-19, le sujet a été mis de côté.
Il y a donc fort à parier pour que le passage à l’heure d’hiver soit toujours d’actualité dans la nuit du samedi 29 octobre au dimanche 30 octobre 2022. Le processus sera alors inversé, il faudra reculer nos montres d’une heure.
- La fin du changement d’heure aux Etats-Unis ?
Outre-Atlantique, le Sénat a approuvé mardi 15 mars 2022 un projet de loi baptisé The Sunshine Protection Act permettant de rendre l’heure d’été permanente aux Etats-Unis à partir de l’année 2023. Si celle-ci est promulguée, les Américains n’auront plus à changer d’heure deux fois par an.
Aux Etats-Unis, le passage à l’heure d’été a débuté en 1918 afin de gagner quelques heures de clarté durant les mois les plus chauds de l’année mais certains Etats ne se plient pas à cette règle (HawaÏ et l’Arizona).
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
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Comment transformer une page internet en document PDF?
Article, recette, plan… Vous pouvez facilement enregistrer une page internet au format PDF afin de la conserver sur votre ordinateur ou l’envoyer par mail à vos amis. Voici comment faire, ce n’est pas compliqué!
Pourquoi enregistrer une page internet en document PDF?
Article en ligne, recette de cuisine, formulaire administratif, facture, itinéraire de randonnée… Il peut s’avérer pratique de les enregistrer en document PDF pour les sauvegarder sur votre ordinateur ou votre téléphone; ou les envoyer par mail à vos proches. Un document PDF offre également un plus grand confort de lecture. Voici comment procéder sur les quatre navigateurs internet les plus utilisés, Chrome, Edge, Firefox ou Safari, sur ordinateur, tablette ou smartphone.
Enregistrer une page web en PDF sur Chrome et Firefox
- Ouvrez la page internet que vous souhaitez enregistrer
- Allez sur le menu Fichier en haut à gauche, sélectionnez le menu Imprimer
- Dans l’espace Destination choisissez Enregistrer au format PDF et choisissez le format portrait ou paysage
- Cliquez sur le bouton bleu Enregistrez en bas à droite
- Une nouvelle boîte de dialogue s’ouvre et vous invite à choisir où enregistrer le document sur votre ordinateur ou tablette. Vous pouvez également renommer le fichier.
Enregistrer une page web en PDF sous le navigateur Safari
- Ouvrez la page internet que vous souhaitez enregistrer
- Allez sur le menu Fichier en haut, puis cliquez sur Exporter au format PDF (vous pouvez aussi le faire avec le menu Imprimer)
- Choisissez où votre fichier PDF doit s’enregistrer et renommez-le si nécessaire.
Enregistrer une page web en PDF sous le navigateur Microsoft Edge
- Ouvrez la page internet que vous souhaitez enregistrer
- Allez sur le menu Fichier en haut à gauche, sélectionnez le menu Imprimer
- Dans l’espace Imprimante cliquez sur Enregistre au format PDF et choisissez le format portrait ou paysage,
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Journée des droits des consommateurs
Droits du consommateur : les démarches à suivre en cas de litige avec une entreprise.Vous avez un litige avec une entreprise et vous ne savez pas à qui vous adresser ? Retrouvez ici une sélection de conseils pratiques pour vous aider à trouver une solution amiable ou structurer votre action en justice.
Réglez le litige à l’amiable.Contactez directement le service-client de l’entreprise. En cas de litige, plusieurs démarches peuvent être entreprises avant d’utiliser le recours en justice.
- La première solution en cas de litige est d’essayer de trouver une solution amiable par le dialogue. Pour cela, contactez le service clientèle en exposant votre problème. Ce premier contact peut être fait par téléphone ou par courriel (il peut s’avérer utile – pour la suite éventuelle du litige – de pouvoir conserver une preuve de l’envoi).
- Si ce premier contact n’a pas été satisfaisant, il est alors conseillé d’envoyer une lettre recommandée avec accusé de réception.
La lettre recommandée doit comporter :
- l’objet de votre demande
- vos coordonnées
votre numéro de client et le numéro de commande.
Contactez une association de consommateurs
À ce stade vous pouvez également vous faire aider par des associations de consommateurs (qui pourront également être sollicitées en cas de démarche devant la justice, vous pouvez consulter les précisions à la fin de cet article) afin de faire faire valoir vos droits auprès de l’entreprise avec laquelle vous avez un litige.
Les associations de consommateurs sont des associations chargées de renseigner ou défendre les citoyens sur leurs droits en tant que consommateurs. Si ces associations peuvent être sollicitées dès le début du litige avec l’entreprise , elles peuvent être sollicitées au moment de l’action en justice.
15 associations de consommateurs nationales agréées sont à votre service pour vous représenter et vous défendre.
Faites appel aux médiateurs de la consommation
La médiation est un mode de résolution amiable des litiges, gratuit et confidentiel. La médiation de la consommation est accessible à toute personne ayant un différend avec un professionnel qui lui a vendu un produit ou fourni un service.
Avant de saisir un médiateur, il faut impérativement avoir contacté au préalable le professionnel pour tenter de régler le litige. Une preuve de cette première démarche vous sera demandée par le médiateur.
Faites appel au médiateur des ministères économiques et financiers
Le médiateur des ministères économiques et financiers est au service des particuliers, des entreprises et des associations.
Notez que ce médiateur est compétent pour tout litige persistant en matière d’impôts et de réclamations douanières et financières. Vous pouvez saisir le médiateur des ministères économiques et financiers pour rechercher une solution amiable si les démarches que vous avez déjà faites auprès du service à l’origine du litige n’ont pas abouti.
Faites appel à un conciliateur de justice
Le conciliateur de justice peut être sollicité gratuitement. Il a pour mission de permettre le règlement à l’amiable des différends qui lui sont soumis.
Plus précisément, il est chargé d’instaurer un dialogue entre les parties pour qu’elles trouvent la meilleure solution à leur litige, qu’elles soient personnes physiques ou morales.
Dans certain cas, il est même obligatoire d’avoir fait appel à un conciliateur de justice avant de débuter – si nécessaire – une procédure en justice.
Saisissez la justice
Si après toutes vos démarches, le litige n’est pas résolu, il est alors possible de saisir la justice civile, c’est-à-dire le juge des contentieux de la protection (ex juge du tribunal d’instance) ou le tribunal judiciaire (fusion du tribunal d’instance et du tribunal de grande instance) selon le montant du litige.
Pensez à l’action de groupe : la procédure de poursuite collective
Introduites par les associations de consommateurs agréées, l’action de groupe est une voie de recours collectif pour obtenir réparation des préjudices économiques du quotidien (facturations abusives, pratiques anticoncurrentielles etc.).
Une action de groupe peut être lancée si au moins 2 consommateurs estiment avoir subi un préjudice résultant du même manquement professionnel.
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Succession : Trois raisons d’anticiper la transmission de son patrimoine
Rien ne vous oblige à organiser à l’avance votre succession. Mais si ce n’est pas le cas, ce sont les règles de la dévolution successorale qui s’appliqueront. Outre le fait que vos biens ne seront pas forcément transmis comme vous l’entendez, vous n’êtes pas à l’abri de litiges entre vos ayants droit. Ces derniers devront payer de lourds droits de succession si votre patrimoine est conséquent. Il existe toutefois des moyens de limiter ces conséquences.
- Transmettre selon son souhait
À votre décès, vos biens seront répartis selon un ordre précis. Si vous avez des enfants, ce sont eux et votre conjoint qui se partageront votre héritage. À défaut, ce sont les autres membres de votre famille (parents, frères et sœurs, cousins et cousines, etc.) qui hériteront. Et si vous n’avez aucune famille, c’est l’État qui récupérera tout. Vous pouvez toutefois prendre des dispositions pour répartir vos biens différemment entre vos proches. La seule limite à votre liberté est de respecter la « réserve héréditaire », c’est-à-dire de ne pas priver vos enfants et votre conjoint de la part d’héritage que la loi leur réserve. Rien ne vous interdit en revanche d’écarter de votre succession les autres membres de votre famille.
Donation, donation-partage, donation entre époux, testament, contrat de mariage, assurance-vie … de nombreux outils existent pour organiser la transmission de son patrimoine de son vivant ou à son décès. Au choix, ils peuvent vous permettre de donner un coup de pouce à un descendant, de répartir à l’avance les biens entre les héritiers, de protéger le conjoint ou le partenaire de pacs, d’avantager un enfant vulnérable ou encore de gratifier une personne qui n’a pas vocation à hériter. Pour ne pas vous tromper sur la solution à privilégier, il est indispensable de faire appel à un notaire. Il vous éclairera sur les conséquences juridiques et fiscales de vos choix. Il étudiera aussi votre situation familiale et financière pour s’assurer que vous pouvez consentir telle ou telle libéralité, compte tenu des personnes appelées à vous succéder, de l’importance de votre patrimoine, de votre âge, de votre régime matrimonial.
- Réduire les droits de succession
La part d’héritage qui reviendra à votre conjoint ou à votre partenaire de pacs sera totalement exonérée de droits de succession. Il en sera de même, sous certaines conditions, pour la part d’héritage de vos frères et sœurs. En revanche, vos autres héritiers devront payer des droits de succession, calculés sur la valeur des biens reçus, sous déduction d’un abattement variable selon leur lien de parenté avec vous. Vos enfants, par exemple, auront droit à un abattement de 100 000 € et, au-delà, ils seront taxés d’après un tarif progressif allant de 5 % à 45 %. Ainsi, si vous transmettez 400 000 € à votre fils, il sera taxé sur 300 000 € et paiera 58 194 € de droits. Vos autres héritiers, eux, auront droit à un abattement beaucoup plus faible et seront taxés à un taux plus élevé. Par exemple, si vous transmettez 100 000 € à un neveu, il bénéficiera d’un abattement de 7 967 € et paiera 55 % de droits, soit 50 618 €.
Pour éviter cette taxation, il vaut mieux anticiper la transmission de vos biens en consentant des donations de votre vivant. Ces libéralités sont soumises à la même fiscalité que les successions : elles bénéficient du même abattement fiscal, et celui-ci se reconstitue tous les 15 ans. Autrement dit, en étalant vos donations dans le temps, vous pouvez transmettre par anticipation une large part de votre patrimoine en franchise d’impôt. Vous pouvez par exemple donner tous les 15 ans 100 000 € à chacun de vos enfants sans droit à payer au fisc. Et à votre décès, seules les donations faites à vos héritiers depuis moins de 15 ans seront prises en compte pour calculer leurs droits de succession. En revanche, celles faites depuis plus de 15 ans ne le seront pas. Ainsi, si votre dernière donation remonte à plus de 15 ans, vos héritiers bénéficieront à nouveau de l’abattement sur leur part d’héritage. Ils en auront alors profité plusieurs fois (de votre vivant puis à votre décès), ce qui réduira sensiblement leurs droits de succession.
Bon à savoir : Un abattement spécifique de 31 865 € s’applique sur les dons d’argent consentis à vos descendants ou, à défaut, à vos neveux et nièces ou petits-neveux et petites-nièces. Il s’ajoute à l’abattement attaché aux donations classiques, il est aussi renouvelable tous les 15 ans, et il n’est pas pris en compte pour le calcul des droits de succession.
- Préserver l’harmonie familiale
À votre décès, vos héritiers se retrouveront propriétaires collectivement de votre patrimoine. Cette indivision successorale ne sera pas simple à gérer car la plupart des décisions nécessiteront l’accord d’au moins deux tiers des indivisaires, et les décisions les plus importantes imposeront un accord unanime. Des conflits risquent donc de naître si vos héritiers ne parviennent pas à se mettre d’accord sur les modalités de gestion de vos biens, ou si certains veulent sortir de l’indivision.
Pour les limiter, mieux vaut prévoir vous-même la répartition de vos biens en rédigeant un testament ou un testament-partage. Il est également préférable de consentir une donation-partage à vos enfants plutôt que des donations isolées, afin d’organiser à l’avance le partage de vos biens et d’éviter tout litige sur ce que chacun recevra. Si vous voulez avantager un enfant vulnérable par rapport à ses frères et sœurs, il est aussi recommandé de leur faire signer un « pacte de famille » afin qu’ils ne remettent pas en cause votre volonté a posteriori. Là encore, le recours à un notaire est indispensable pour établir les actes qui permettront de préserver l’harmonie familiale après votre disparition.
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La nouvelle application mobile pour contacter la police et la gendarmerie
« Tchater avec un gendarme ou un policier » à tout moment et facilement, déposer une pré-plainte en ligne, accéder aux numéros d’urgence… Voici les fonctionnalités proposées par la nouvelle application mobile gratuite, « Ma Sécurité », lancée le 7 mars 2022 par le ministère de l’Intérieur.
Téléchargeable gratuitement sur tous les smartphones et les tablettes depuis GooglePlay et l’AppleStore, elle permet « aux citoyens d’avoir à disposition un gendarme ou un policier dans sa poche, joignable H24, 7 jours sur 7″.
Diverses fonctionnalités disponibles
En pratique, vous pouvez :
- tchater 24h/24 et 7j/7 avec la police ou la gendarmerie la plus proche de chez vous
- déposer une pré-plainte en ligne
- accéder aux numéros d’urgence
- accéder aux plateformes de démarches administratives en ligne
- obtenir des conseils sur les démarches à suivre en cas de violences, de vols, de menaces ou d’escroqueries
- consulter sur une carte interactive l’emplacement des commissariats et brigades de gendarmerie les plus proches, ainsi que leurs coordonnées et horaires d’ouverture
- recevoir des notifications sur les actualités locales concernant la sécurité sur les communes de votre choix
- consulter la plateforme des points de deal lancée début 2021
A partir de 2023, l’application permettra aussi de déposer une plainte en ligne pour les atteintes aux biens.
Une plateforme pour porter plainte en ligne en cas d’escroquerie sur Internet
Par ailleurs, à partir du 15 mars prochain, une nouvelle plateforme, baptisée Thésée (pour « Traitement harmonisé des enquêtes et des signalements pour les e-escroqueries »), permettra aux victimes d’escroqueries sur Internet de déposer une plainte en ligne sans avoir à se déplacer dans un commissariat ou une brigade de gendarmerie.
En complément, un service de prise de plaintes en visioconférence, appelé « Visioplainte », doit ouvrir fin 2022.
En cas d’urgence, il faut appeler directement le 17.
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Dons pour l’Ukraine : comment éviter les arnaques
Depuis le début de l’invasion russe en Ukraine, les appels aux dons se sont multipliés sur Internet. Dans leur sillage, de nombreuses escroqueries ont été élaborées pour détourner l’argent issu de la solidarité.
Des campagnes de phishing
À nos confrères, le directeur de recherche au sein de la société de cybersécurité Bitdefender, Bogdan Botezatu, a indiqué que « près de 2 000 mails frauduleux en lien avec les événements ukrainiens » avaient été repérés par son service. Selon ce spécialiste, plusieurs types d’arnaques ont lieu en ligne, comme le phishing qui consiste à envoyer un mail en se faisant passer pour un citoyen ukrainien demandant des fonds pour quitter le pays.
D’après l’entreprise, plusieurs milliers de messages ont ainsi été envoyés à travers le monde. La majorité proviendrait des Pays-Bas. Bogdan Botezatu rappelle aux internautes de ne jamais transmettre ses données bancaires, quel que soit le prétexte.
Privilégier les fondations et ONG connues
L’expert précise que certains hackers sont parvenus à usurper l’identité bancaire de citoyens ukrainiens. Ils s’en serviraient pour demander de l’argent à des proches. D’autre part, Bitdefender révèle la création de sites Internet se faisant passer pour des organisations humanitaires. Ces derniers proposent un système de collecte de fonds avec paiement par cryptomonnaie pour conserver l’anonymat des escrocs.
Il est recommandé aux potentiels donateurs de se mettre en relation directement avec la personne via un autre canal, afin de s’assurer qu’elle est sincèrement dans le besoin.
L’expert préconise enfin de privilégier les fondations et ONG (Organisation Non Gouvernementale) connues afin de s’assurer que les dons seront bien transmis aux bonnes personnes.
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6 réflexes à adopter pour protéger vos données personnelles
Échapper au ciblage publicitaire, aux logiciels malveillants et aux escrocs , c’est possible. À condition d’utiliser la bonne méthode et les outils adéquats.
1. Bétonnez vos mots de passe
« 123456 », « Marseille » et « doudou » figurent parmi le top 10 des mots de passe le plus utilisés en France, selon l’entreprise de sécurité numérique Cyberwatch ! Une aubaine pour les pirates. « Si vous utilisez le même sur plusieurs sites (boîte mail, administrations, réseaux sociaux, e-commerçants…) et qu’il est volé, tous vos comptes sont en danger », prévient Frédéric Rivain, directeur technique de Dashlane, gestionnaire de mots de passe français.
La solution :
Composer autant de mots de passe que de comptes détenus, avec au moins 8 caractères et une combinaison de minuscules, majuscules, chiffres et caractères spéciaux (@, #, !, etc.). « C’est un exercice pénible, d’où l’intérêt de recourir à un gestionnaire qui va générer des mots de passe dont il est impossible de se souvenir, les enregistrer et vous connecter automatiquement aux sites visités », explique Mr Grunemwald, expert en cybersécurité chez Eset France.
Parmi les solutions gratuites en version basique et à partir de 1,20 euro par mois dans leurs versions complètes ou familiales : Dashlane, Lastpass, Keepass, NordPass. Pour ajouter une couche de sécurité en plus, activez l’authentification à double facteur qui permet de sécuriser vos connexions par une vérification supplémentaire : la validation sur une application ou par un code reçu par SMS sur votre téléphone portable.
2. Protégez l’ensemble de vos appareils
Un antivirus ne suffit pas à garantir votre sécurité numérique, surtout s’il n’équipe que votre ordinateur et pas votre smartphone où sont concentrées des informations sensibles.
La solution :
Avoir une suite de sécurité multi-appareils. « Elle protégera vos ordinateurs, smartphones et tablettes contre toutes les menaces (virus, phishing, etc.), y compris contre des programmes malveillants aux techniques élaborées ». Ces suites de sécurité ont un coût, entre 30 et 100 euros par an, pour avoir l’esprit tranquille. Parmi les plus utilisées : McAfee Total Protection, Eset Internet Security, Kaspersky Total Security, F-Secure Safe.
3. Laissez moins de traces
Pour échapper à la récolte de vos données et aux publicités ciblées, qui sont la première source de revenus des Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), adoptez une bonne hygiène numérique.
Les solutions :
Privilégier des outils non intrusifs, comme les navigateurs Tor, Firefox ou Brave, à installer sur ordinateur et smartphone. « Ils limitent l’installation des traceurs (cookies) qui vous pistent et sont à compléter avec des moteurs de recherche faciles à utiliser et qui respectent votre vie privée (Qwant, DuckDuckGo…) ».
Autre réflexe pour sécuriser vos données, « afin que vos identifiants ne soient pas gardés en mémoire sur les sites où vous vous connectez, ne cochez jamais la case “Se souvenir de moi” et n’enregistrez jamais votre carte bancaire chez un e-commerçant ».
Enfin, ne cédez pas à la facilité. « Simplifier ses connexions à un nouveau site en utilisant son compte Facebook, Google ou Linkedin, c’est très pratique. Mais en réalité, vous mettez tous vos œufs dans le même panier. Pour ne pas partager vos activités sur des sites tiers avec ces grandes entreprises que sont les Gafam et limiter les risques de réutilisation de vos données en cas de piratage, prenez le temps de créer à chaque fois un nouveau compte, même si c’est plus laborieux. »
4. Naviguez en toute sécurité
Si vous avez un petit forfait mobile ou lors d’un déplacement, la tentation peut être grande de connecter votre smartphone ou votre ordinateur à internet en utilisant le wi-fi gratuit mis à disposition dans les gares et aéroports, les hôtels, cafés, restaurants ou lieux publics. Attention, ces réseaux non sécurisés ne sont pas sans danger. « Des personnes mal intentionnées n’auront aucune difficulté pour siphonner vos données ».
La solution :
Choisir un réseau privé virtuel (VPN). Il s’agit d’un programme dont le rôle est de chiffrer le trafic entre votre appareil et les sites visités, ce qui vous rend invisible sur le réseau. Parmi les principaux acteurs, NordVPN, ExpressVPN ou ProtonVPN offrent des versions basiques gratuites aux particuliers. « Pour les professionnels, notamment les indépendants et les libéraux, une version payante, avec un plus haut niveau de sécurité, est recommandée ».
5. Ayez recours à des messageries chiffrées
Si vous souhaitez que vos conversations et courriers électroniques restent personnels, troquez les messageries des géants d’internet (Gmail, Outlook, WhatsApp de Facebook…) contre celles qui garantissent une totale confidentialité. La solution :pour vos messages instantanés, Signal, Olvid ou Threema figurent parmi les plus sécurisées. Pour vos e-mails, Protonmail, Fastmail et Mailo offrent des interfaces et services tout aussi complets (e-mails, agenda, carnet d’adresses, etc.), et une totale protection de vos données et de vos conversations.
6. Limitez les accès à vos réseaux sociaux
Noms, photos, renseignements sur votre lieu d’habitation, identité de vos proches… les réseaux sociaux sont une mine d’or pour qui recherche des informations privées. C’est surtout des arnaqueurs qui peuvent rassembler ces données pour les utiliser frauduleusement. « Plus vous êtes actif sur les réseaux, plus on sait des choses sur vous, ce qui peut amener à vous cibler pour vous arnaquer, voire se faire passer pour vous, par exemple auprès de votre banque ».
La solution :
« Sur Facebook, TikTok, Instagram ou Twitter, réglez les paramètres de votre compte pour limiter les accès à votre profil et/ou à vos publications, réactions, commentaires… Par précaution, vérifiez au moins une fois par mois qu’ils correspondent toujours à ce que vous acceptez de partager et avec qui ».
Les 5 principales techniques de vol de vos données personnelles sont : le Phishing , le SIM Swapping , le Trojan bancaire (cheval de Troie) , le Ransomware (rançongiciel) , le Faux dépannage informatique.
« Trois sauvegardes, sinon rien ! »
Il faut réaliser vos propres sauvegardes des données contenues dans votre smartphone ou votre ordinateur sur trois supports différents. Une première sur un service en ligne (cloud) payant. Les deux suivantes sur deux disques durs physiques, mécaniques ou SSD, selon la quantité de données et vos moyens. Faites ces sauvegardes, chiffrez vos données pour que personne d’autre que vous ne puisse y avoir accès (une fonctionnalité intégrée au logiciel du disque dur), puis confiez l’un des deux à une personne de confiance. Un mois plus tard (ou plus souvent si vous manipulez beaucoup de données), faites une nouvelle sauvegarde sur le second disque puis échangez-le avec le premier. Cette technique permet ainsi de vous mettre à l’abri de tous les aléas – accident, sinistre, perte, cambriolage, etc. – qui peuvent toucher vos appareils et vos copies de secours.
Bon à savoir aussi : Si vous avez été victime d’une escroquerie (ou d’une tentative d’escroquerie), signalez-la sur Signal-spam.fr et sur la plateforme du ministère de l’Intérieur Internet-signalement.gouv.fr
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Tout savoir sur le compte joint
Si la majorité des couples disposent d’un compte bancaire commun, ils sont peu nombreux à connaître ses règles de fonctionnement. 5 choses à savoir sur le compte joint.
Qui peut en ouvrir un ?
Le plus souvent, les comptes joints sont utilisés par des couples, mariés ou non. Mais rien ne vous interdit d’en ouvrir un avec toute personne de votre choix. Aucun lien de parenté ou d’alliance n’est exigé.
Comment fonctionne-t-il ?
Chacun des cotitulaires peut réaliser seul toutes les opérations. Concrètement, sans l’accord de l’autre et avec sa seule signature, libre à lui d’émettre des chèques, de payer avec sa carte bancaire, d’ordonner des virements, d’accorder des autorisations de prélèvement, d’alimenter le compte et même de le vider entièrement. Le compte et les fonds appartiennent autant à l’un qu’à l’autre. En cas de découvert bancaire, la banque pourra vous demander à l’un ou à l’autre de régler la totalité du débit.
Que se passe-t-il en cas d’incident de paiement ?
S’il y a émission de chèques sans provision non régularisés, l’interdiction bancaire s’applique aux deux cotitulaires et pour l’ensemble de leurs comptes (y compris dans une autre banque). Vous pouvez y échapper en désignant un responsable unique avant tout incident de paiement, à l’ouverture du compte par exemple. Ainsi, l’interdiction s’appliquera seulement aux comptes de la personne désignée responsable.
Comment réagir lors d’une séparation ?
En cas de mésentente ou de séparation entre les cotitulaires, mieux vaut le clôturer en adressant un courrier comportant vos deux signatures. Si cela est impossible, demandez à votre banque la dénonciation du compte commun. Dès réception de votre lettre, il ne fonctionnera plus qu’avec vos deux signatures. Ainsi, votre responsabilité ne sera plus engagée pour des paiements effectués après votre demande.
Le compte est-il bloqué au décès d’un titulaire
Non, le cotitulaire survivant peut continuer à l’utiliser. La moitié du solde au jour du décès est présumée lui appartenir ; l’autre moitié entre dans la succession du défunt. Toutefois, rien n’interdit un héritier, à titre préventif, de demander le blocage du compte à la banque.
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Frais de santé et dépassements d’honoraires
Les dépassements d’honoraires des médecins ne sont pas remboursés par l’Assurance-maladie et votre complémentaire ne les prend pas tous en charge. Voici 4 conseils pour les éviter ou les limiter grâce à quelques règles simples.
1/ Consultez les médecins du secteur 1, si possible
La convention médicale entre la Sécurité sociale et les médecins, définit les tarifications selon 3 secteurs. Les médecins en secteur 1 ne pratiquent pas de dépassement d’honoraires.
Pour une consultation chez un généraliste de 25 euros (le tarif conventionné), la prise en charge de la sécu est de 17,5 euros (soit 70%) moins 1 euro de participation forfaitaire . Le reste est à la charge du patient ou de sa complémentaire santé.
Le secteur du professionnel est indiqué dans l’annuaire santé d’Ameli et sur les plateformes de rendez-vous. Au besoin, appelez-le pour obtenir ces informations. Malheureusement, d’autres facteurs pèsent souvent sur le choix des assurés. Dans certaines spécialités, il n’existe quasiment pas de professionnels exerçant dans un secteur aux tarifs encadrés. D’autre part, les critères de temps d’attente ou d’éloignement géographique sont souvent contraignants.
Attention: dans des cas particuliers de déplacement à domicile ou de consultation d’urgence, un professionnel du secteur 1 est autorisé à facturer undépassement.
2/ Recherchez les médecins signataires de l’Optam
En l’absence de professionnels de secteur 1 dans la spécialité qui vous concerne ou dans votre ville, choisissez en secteur 2 les médecins signataires du contrat dit » Optam » (Option de pratique tarifaire maîtrisée) avec l’Assurance maladie.
Dans ce cas, ces médecins conventionnés pratiquent des dépassements mais ceux-ci sont plafonnés à 100% du tarif du secteur 1. Le remboursement sécu est fait sur la base du tarif conventionné. Il est légèrement inférieur pour les non-signataires de l’Optam.
Pour les médecins « non-conventionnés », ou de secteur 3 qui pratiquent des honoraires libres, le remboursement de Sécurité sociale est réalisé sur la base très réduite du « tarif d’autorité » de 16% des tarifs conventionnels.
3/ Privilégiez les centres mutualistes et établissements sans but lucratif
Les centres de soins et cliniques mutualistes proposent des prestations aux tarifs conventionnés et sans dépassements. Ils sont ouverts à tous les patients, couverts ou non par une mutuelle partenaire. Les établissements sans but lucratif sont dans ce cas.
4/ Négociez, c’est possible?
Il est toujours possible de négocier une baisse de tarif auprès d’un professionnel. Commencez par vous renseigner sur les tarifs en vigueur. Faites plutôt établir le reste à charge prévisible par votre complémentaire santé et s’il est trop important pour votre budget, dites-le simplement au professionnel. Le succès n’est pas garanti, mais il n’est pas rare. Après un accord verbal, formalisez-le avec une demande écrite d’indulgence pour dépassement d’honoraires.
Allez aux urgences quand c’est justifié
Si vous êtes admis aux urgences et que votre état nécessite actes et soins immédiats, n’ayez crainte: ceux-ci seront obligatoirement tarifés sans dépassement.
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Bureaux de tabac et vos factures …
À partir de l’été 2022, vous pourrez régler vos factures de gaz ou d’eau près de chez vous, au bureau de tabac. Les explications.
Astuces pour payer votre carburant moins cher !
L’envolée du prix des carburants incite à surveiller sa facture à la pompe et à chasser les meilleurs prix. Nos astuces pour remplir votre réservoir au prix le moins prohibitif.
1 – Choisissez bien votre station-service
Quelles sont les pompes les moins chères près de chez vous? Il serait dommage de ne pas chasser les prix, tant ils peuvent être différents d’un point de distribution à un autre. De multiples sites et applications existent désormais pour vous informer des prix en continu. Certains sont renseignés par les automobilistes eux-mêmes, d’autres par les professionnels, avec une mise à jour par semaine environ.
Prix-carburants.gouv.fr est le site officiel du gouvernement, mais vous pouvez aussi consulter des concurrents très bien faits comme mon-essence.fr (Essence&Co) ou plein-moins-cher.fr . Ce dernier en particulier est intéressant: comme les autres, il permet de choisir son carburant, puis affiche une carte que vous dimensionnez selon votre besoin, par exemple pour couvrir vos stations habituelles dans un rayon raisonnable. Inutile de cliquer sur chaque station pour ouvrir une fenêtre avec les prix. Il affiche l’ensemble des prix proposés sur ce territoire en faisant clignoter le moins cher.
Les applis smartphone ne sont pas en reste, comme Essence and Co (déclinée du site), Gaspal, Gasoil.now. Avec une fonctionnalité supplémentaire de guidage vers la pompe choisie grâce à une application tierce comme google maps, waze ou plans.
2 – Grandes surfaces: profitez des prix d’appel sur le carburant
Leclerc défraie parfois la chronique en proposant son carburant à prix coûtant pendant une ou plusieurs semaines. Pour les stations de la grande distribution, surveillez les offres, par exemple au moment des départs en vacances. Certaines enseignes proposent aussi des bons d’achats sur les emplettes faites dans le magasin après un passage à la pompe. C’est que toutes considèrent le carburant comme un produit d’appel susceptible d’attirer des clients pour d’autres achats: elles serrent donc leurs marges sur les carburants. Les comparateurs les font ressortir généralement comme les points de distribution les moins chers (viennent ensuite les stations automatisées et sans personnel comme Total Access ou Esso Express). Mais la qualité des carburants de la grande distribution est-elle inférieure à celle des majors de l’industrie pétrolière? En réalité, c’est une croyance infondée. L’essence ou le gasoil des stations-service et de la grande distribution sont issus des mêmes dépôts et des mêmes pipelines. La seule différence est l’ajout d’additifs à leur essence ou leur gasoil par les pétroliers. Ils ont un effet marginal sur le fonctionnement du moteur ou la consommation, mais sont peut-être un peu plus protecteur pour les moteurs anciens.
3 – Faire un bon plein
Y-a-t-il un bon moment pour faire le plein? Remplir son réservoir le matin est sans doute légèrement plus avantageux en été. En effet, les cuves des stations sont enterrées. La terre reste fraiche le matin et cette température a un effet sur le carburant, en lui conférant une plus grande densité. Dans le même esprit, avec le pistolet, choisissez le mode « lent » car il y aura moins d’évaporation.
4 – Ne restez pas sur la réserve d’essence
Inutile, voire risqué, de rester longtemps sur la réserve en cherchant le meilleur prix autour de vous. Rouler avec un réservoir presque vide est mauvais pour le moteur car cela favorise la concentration des impuretés et résidus qui peuvent être injectés dans le moteur. Dans le meilleur des cas, le filtre à carburant devra être changé plus souvent. Dans le pire, la pompe d’alimentation pourrait être détériorée.
5 – Adopter le bioéthanol
Le bioéthanol est, de loin, le carburant le meilleur marché à la pompe. Tarifé autour de 0,75€/l (janvier 2022), il est en moyenne moitié moins cher que le sans plomb 95. Étiqueté E85, ce mélange est composé de 15 à 35% de sans plomb 95 et de 65 à 85% d’éthanol, issus de la fermentation des sucres de betterave ou de céréales. Sur le marché français, les voitures conçues à l’origine pour ce carburant sont rares (essentiellement produites par Ford).
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Droit à l’oubli et crédits immobiliers
Un droit à l’oubli de 5 ans après la fin des traitements a été entériné pour les personnes guéries du cancer ou d’hépatite C qui souhaitent contracter un emprunt immobilier. Aucune information sur la santé ne pourra plus être demandée à qui que ce soit pour un emprunt inférieur à 200 000 euros.
Bonne nouvelle sur le front du crédit immobilier. Grâce au texte voté ces derniers jours par les parlementaires, les personnes dont le traitement pour cancer ou hépatite C est terminé depuis 5 ans ou plus seront désormais, au regard de la loi, des candidats au crédit immobilier comme les autres. Aucune information sur leur maladie passée ne pourra plus leur être demandée, notamment par l’organisme qui assure l’emprunt. Jusqu’alors, le droit à l’oubli n’est reconnu qu’à compter de 10 ans après la fin du traitement. Avant ce délai, des surprimes assorties d’exclusions de garanties sont appliquées en raison d’un « risque aggravé de santé » avéré ou supposé. Un temps beaucoup trop long, étant donné les récents progrès des thérapies dans de nombreuses maladies.
Bientôt les autres pathologies
Les parlementaires ne se sont pas arrêtés là. Le texte de loi impose aussi aux parties prenantes de la convention Aeras (pour « s’assurer et emprunter avec un risque aggravé de santé »), qui justement encadre les conditions d’accès au crédit des personnes présentant un risque aggravé de santé, d’engager de nouvelles discussions sur les pathologies autres que le cancer ou l’hépatite C, et ce dans un délai de trois mois après la promulgation de la loi, soit avant l’été prochain. Là encore, il s’agit de prendre en compte l’évolution favorable des traitements et le risque amoindri de rechute.
Enfin, pour l’ensemble des prétendants au crédit immobilier, plus aucune information sur l’état de santé ne pourra être recueillie si le montant de l’emprunt sollicité est inférieur à 200 000 € par personne, et à condition que le crédit soit arrivé à son terme au 60e anniversaire de l’assuré.
Assurance emprunteur : une victoire qui peut rapporter gros
Le Parlement a définitivement adopté, après de nombreux rebondissements, la proposition de loi sur la résiliation à tout moment de l’assurance emprunteur,mesure promue de longue date par l’UFC Que Choisir. C’est une avancée majeure qui permettra de libérer 550 millions d’euros de pouvoir d’achat pour les assurés emprunteurs. En effet, alors que ce marché qui profite quasi exclusivement aux banques pèse 7 milliards d’euros par an, les consommateurs pourraient gagner de 5 000 à 15 000 euros sur l’ensemble de leur prêt. La mesure entre en vigueur en juin 2022 pour les nouveaux contrats et en septembre 2022 pour les contrats en cours.
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Le Livret A et vos factures …
Les détenteurs d’un Livret A pourront, sur autorisation de leur banque, y faire prélever leurs factures de téléphone et d’Internet. D’autres prélèvements et virements récurrents sur ce produit d’épargne sont déjà possibles.
Payer sa facture de téléphone ou d’Internet avec son Livret A sera bientôt possible. Un arrêté publié jeudi 17 février au Journal officiel étend la liste des prélèvements autorisés sur ce produit d’épargne réglementé aux « factures dues aux opérateurs de communication électronique ». Avec l’accord de leur banque, les 55,7 millions de détenteurs d’un Livret A vont donc pouvoir mettre en place un prélèvement récurrent pour les régler.
La liste des prélèvements et virements possibles
Depuis 2008, d’autres opérations bancaires sur le placement d’épargne préféré des Français sont déjà autorisées par la loi. Selon un arrêté du 4 décembre 2008, les banques peuvent autoriser le prélèvement depuis un Livret A :
- de l’impôt sur le revenu ;
- de la taxe d’habitation ;
- de la taxe foncière ;
- de la redevance audiovisuelle (ex-redevance télé) ;
- des factures d’eau, de gaz ou d’électricité ;
- des loyers dus aux organismes d’HLM et aux sociétés d’économie mixte gérant des logements sociaux.
D’autres opérations bancaires sont également possibles. Outre les virements effectués par le titulaire du livret A ou de toute autre personne, les banques peuvent autoriser les transferts sur le Livret A :
- des prestations sociales versées par les collectivités publiques et les organismes de sécurité sociale ;
- et des pensions des agents publics.
Des pratiques variables selon les banques
Attention toutefois, excepté la Banque Postale, « les établissements bancaires sont libres d’autoriser ou non certaines opérations : les conditions générales de commercialisation doivent préciser les opérations autorisées », précise le ministère de l’Economie et des Finances sur son site internet. En clair, vous devez consulter le contrat du Livret A pour savoir si vous pouvez mettre en place les prélèvements et virements prévus par la loi.
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Carte des circuits courts pour consommer local
Trouvez les commerces en circuit court autour de chez vous en cliquant sur le lien https://www.quechoisir.org/carte-interactive-circuit-court-n97688/
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Le 3977 le numéro d’écoute destiné aux personnes agées
Le 3977 est le numéro national d’écoute destiné aux personnes âgées et aux adultes en situation de handicap victimes de maltraitance. Gratuit, disponible 7 jours sur 7, ce numéro permet aux victimes et aux témoins de signaler des actes de maltraitance. Les signalements peuvent aussi être réalisés à l’aide d’un formulaire en ligne ou par courriel. La plateforme 3977 est accessible aux personnes sourdes et malentendantes. Le 3977 est accessible du lundi au vendredi de 9h à 19h et le samedi et dimanche de 9h à 13h et de 14h à 19h.
- Quelles maltraitances peuvent être signalées ?
Les maltraitances envers les personnes vulnérables peuvent être de formes multiples : physiques, psychologiques, sexuelles, matérielles ou financières, d’atteinte aux droits, liées aux soins, d’inattention ou de négligence. La plateforme 3977 propose une liste de troublesaffectant une personne vulnérable et qui peuvent être le signe évocateur de maltraitances possibles.
Ces violences ou négligences répétées créent isolement, souffrance et détresse chez les personnes vulnérables. Qu’ils soient commis à domicile ou dans un établissement, ces actes de maltraitance doivent être signalés et traités, ils nécessitent une vigilance accrue de chacun. En effet, selon les données de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), moins de 5 % des maltraitances font l’objet d’alertes.
- Comment fonctionne le 3977 ?
Toute personne âgée ou adulte en situation de handicap victime de maltraitance peut contacter gratuitement le 3977. Toute personne témoin d’actes de maltraitance ou de négligence peut signaler cette situation au 3977 : entourage, professionnels de santé et médico-social, proche-aidant.
Le signalement peut se faire :
- par téléphone au 3977, du lundi au vendredi de 9h à 19h et le samedi et dimanche de 9h à 13h et de 14h à 19h. Pour les personnes sourdes et malentendantes, du lundi au vendredi de 9h à 17h30. L’appel ne figure pas sur les relevés téléphoniques ;
- par un formulaire en ligne sur le site 3977.fr ;
- ou par courriel : 3977@3977contrelamaltraitance.org.
Une équipe d’écoutants professionnels assure l’écoute, analyse les appels, répondent aux demandes d’information et orientent les appelants, lorsque c’est nécessaire, vers les numéros d’urgence (15, 17, 18) ou vers le réseau des centres départementaux et interdépartementaux pour un suivi individuel et approfondi des situations signalées.
Ces centres peuvent faire intervenir divers acteurs locaux : Centre communal d’action sociale (CCAS), Centre Local d’Information et de Coordination en faveur des personnes âgées (CLIC), Maison départementale des personnes handicapées (MDPH), autorités judiciaires…, pour mettre fin aux maltraitances.
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Magasins en circuit court …
Alors que les consommateurs expriment un intérêt croissant pour les achats en circuit court , l’UFC-Que Choisir, soucieuse de promouvoir une consommation plus responsable lance, en partenariat avec l’ INRAE ( = Institut de recherche public pour le développement durable de l’agriculture,l’alimentation et l’environnement), une carte interactive, gratuite et collaborative des initiatives locales, consultable sur quechoisir.org. Dans un contexte de baisse du pouvoir d’achat, l’UFC-Que Choisir rappelle que les circuits courts sont souvent moins chers que les autres circuits de distribution pour une offre plus rémunératrice pour le producteur.
Alors que les prix alimentaires en grandes surfaces augmentent déjà de + 1,8 % (3), les consommateurs cherchent à concilier maîtrise de leur budget et aspiration à une consommation plus durable et responsable.
Une étude de 2018 de l’UFC-Que Choisir a démontré que les circuits courts peuvent constituer une solution pour limiter la baisse de pouvoir d’achat. L’enquête portant sur un panier de fruits et légumes de saison, soulignait que, en bio comme en conventionnel, le circuit court tire son épingle du jeu face aux primeurs et aux supermarchés, avec des prix inférieurs en moyenne de – 13 % par rapport aux primeurs et de – 3 % par rapport à la grande distribution.
Afin d’aider le consommateur à s’y retrouver dans la jungle des offres « locales », l’UFC-Que Choisir a conclu un partenariat dès 2020 avec INRAE pour concevoir une carte interactive, gratuite, et participative des magasins en circuit court.
Le référencement des 890 magasins en circuit court, répartis sur l’ensemble du territoire métropolitain, est basé sur une méthodologie solide pour fiabiliser l’information :
- les lieux de vente ont été référencés par INRAE, le Réseau Mixte Technologique Alimentation Locale et le réseau d’enquêteurs de l’UFC-Que Choisir
- ont été retenus les magasins physiques, qui proposent une offre suffisamment variée (a minima 4 familles de produits), dont au moins 70 % des fruits et légumes vendus sont issus de circuits courts.
Compte tenu du développement rapide des initiatives en circuit court, la carte sera enrichie grâce au signalement des consommateurs. En effet, chaque visiteur peut suggérer un lieu qui ne figure pas sur la carte et qui, après un travail de vérification effectué par INRAE et l’UFC-Que Choisir, pourra la compléter.
L’UFC-Que Choisir et INRAE invitent donc les consommateurs à découvrir cette carte interactive pour trouver les magasins en circuit court proches de chez eux et à se mobiliser pour contribuer à son enrichissement.
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