Tri des déchets: 5 questions pratiques que vous vous posez au quotidien
Faut-il laver mes boîtes de conserve avant de les recycler? Bac jaune ou bac bleu pour les magazines? Vous êtes parfois perplexe au moment de trier vos déchets?
Bonne nouvelle, les règles se simplifient, notamment pour les emballages. Les réponses à vos questions sont ICI.
Vous triez vos déchets depuis des années, c’est une habitude qui fait partie de votre quotidien. Mais cela ne vous empêche pas de douter parfois selon les emballages à recycler! Dans quel bac jeter les boîtes de conserve? Dois-je les rincer avant? Faut-il enlever le bouchon des bouteilles en verre? Dans quel bac mettre les journaux et les magazines?
Pour aider les citoyens à encore mieux recycler leurs déchets, l’éco-organisme Citeo et l’Institut national de la consommation (INC) proposent des vidéos pédagogiques. Tour d’horizon des questions pratiques que vous vous posez peut-être devant les bacs de recyclage….
1) Je peux jeter tous mes emballages dans le bac jaune, même les pots de yaourt?
Oui! Depuis le 1er janvier 2022, le tri des déchets se simplifie et 100% des emballages vont dans le bac jaune, que ce soit un pot de yaourt, une barquette de jambon, une boîte d’oeufs, vos capsules de café, un sachet en plastique (salade préparée, par exemple) ou un tube de dentifrice ou de crème hydratante. En revanche, les emballages en bois (boîte de fromage, par ex), iront dans le bac des ordures ménagères.
Pour savoir si votre commune a déjà mis en place cette simplification du tri, vérifiez sur le site www.triercestdonner.fr. Vous pouvez également utiliser le moteur de recherche en tapant l’objet que vous souhaitez recycler pour savoir où le mettre, c’est très pratique et très précis!
Vous pouvez également télécharger l’application Citéo sur l’App Store et Google Play.
2) Faut-il rincer mes emballages (boîtes de conserve…) avant de les jeter?
Non! Cartons de pizza, boîtes de conserve, pots de yaourt (et les opercules), couvercle des pots de confiture, bouteille d’huile en plastique… Les restes de nourriture n’empêchent pas le tri d’un emballage, ne le jetez pas dans le bac des ordures ménagères, mais dans le bac jaune. Assurez-vous simplement qu’ils sont vides. Ils seront nettoyés au centre de tri.
3) Pour gagner de la place, j’imbrique mes emballages entre eux?
Non, ce n’est pas conseillé, car les machines dans les centres de tri pourraient ne pas détecter les différentes compositions. Ne les enfermez pas non plus dans un sac, jetez-les en vrac. Vous pouvez en revanche compacter vos bouteilles en plastique pour gagner de la place.
4) Avant de recycler les bouteilles en verre, j’enlève les couvercles et les bouchons?
Oui! Bouteille d’huile, de vin, de bière, pots de confitures… Jetez-les sans leur bouchon, capsule et couvercle. Les bouchons en plastique ou métal peuvent être jetés dans le bac à couvercle jaune, pas les bouchons de liège.
5) Journaux, magazines, feuilles de papier… je peux les recycler?
Tout à fait, ils sont recyclables, direction le bac jaune! Même chose pour les enveloppes avec des fenêtres en plastique, les cahiers à spirale, les documents agrafés, les tickets de caisse… L’encre des magazines n’empêche pas leur recyclage non plus. Seule règle: ne pas les déchirer ni les froisser pour qu’ils soient plus facilement recyclables dans les centres de tri. Pour vos documents personnels, découpez la partie où vos coordonnées et infos confidentielles apparaissent. Les seuls papiers à jeter dans le bac des ordures ménagères: les papiers d’hygiène (essuie-tout, mouchoirs).
Quelques régles de tri ICI.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «notretemps.com»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Refus de remboursement des fraudes bancaires : Communiqué national
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Refus de remboursement des fraudes bancaires,
L’UFC-Que Choisir dépose plainte contre 12 banques
Dans la suite de ses alertes sur l’essor de la fraude bancaire, et face à la forte recrudescence des litiges pour refus injustifiés de remboursement adressés à ses associations locales, l’UFC-Que Choisir, qui a analysé pas moins de 4 300 signalements, dépose plainte contre 12 établissements pour pratiques commerciales trompeuses : La Banque Postale, Crédit Agricole, Banque populaire, BNP Paribas, Société Générale, CIC, LCL, Boursorama, ING, Nickel, Cetelem et Floa Banque. L’Autorité de contrôle (ACPR) ayant vainement appelé, l’an dernier, les banques à améliorer leurs pratiques de remboursement, l’association saisit de nouveau l’ACPR et Bercy pour intensifier les contrôles et instaurer un cadre garantissant l’effectivité du droit au remboursement des victimes de fraudes.
Fraude bancaire : 4 300 signalements de refus de remboursement passés au crible
Alors que la loi impose aux banques de rétablir immédiatement le compte des victimes, sauf négligence grave, les plaintes de consommateurs pour refus de remboursement affluent auprès des associations locales UFC-Que Choisir. L’association a ainsi analysé près de 4 300 signalements de 2019 à 2022 et tous posent problème. Si au sommet du triste palmarès des établissements qui ne remboursent pas, on retrouve des banques traditionnelles (La Banque postale 22 %, Crédit agricole 20 %), tous sont concernés. Aucun client n’est potentiellement épargné puisque des banques en ligne (ING), « néo-banques » (Nickel) ou établissements de crédit (Cetelem) se distinguent également.
Près de deux-tiers des signalements (60 %) concernent des fraudes de plus de 4 000 euros et qui peuvent aller jusqu’à plusieurs dizaines de milliers d’euros.
Les pratiques commerciales trompeuses des banques
Alors que selon la Fédération bancaire française (FBF), une fraude sur six n’est pas remboursée, l’UFC Que Choisir, à travers la multitude de refus injustifiés, met à jour une véritable stratégie des banques pour s’affranchir de leur obligation de démontrer la négligence personnelle de leurs clients pour refuser de les rembourser.
La méthode la plus répandue consiste à accuser les victimes de « négligence ». Un alibi qui n’est pas recevable et d’autant moins quand l’opération a été validée avec le seul SMS. Arrive en deuxième position le refus systématique de rembourser en cas d’authentification renforcée, sans que la banque n’apporte la preuve que son client est à l’origine du paiement. Au pied du podium, d’autres banques tentent de se justifier en indiquant que leur assurance refuse toute prise en charge.
C’est en laissant croire, de la sorte, aux consommateurs qu’ils n’ont aucun droit au remboursement, que les banques se rendent, selon nous, coupables de pratiques commerciales trompeuses. Elles les dupent sur l’étendue de leurs droits.
Pour Alain Bazot, Président de l’UFC-Que Choisir : « Face à la multiplication de fraudes de plus en plus sophistiquées, on ne saurait admettre que les banques s’affranchissent allègrement de leur obligation de démontrer expressément la négligence de leurs clients pour refuser de les rembourser ».
Fraude bancaire : une ponction de pouvoir d’achat de plus de 1,2 milliard d’euros par an
L’alerte des associations locales de l’UFC-Que Choisir est corroborée au niveau national. Selon le dernier rapport de la Banque de France, la fraude atteint un montant de plus d’1,2 milliard d’euros1 et touche un nombre croissant de victimes. Pas moins d’1,3 million de ménages ont ainsi été escroqués en 20202, soit une hausse de 161 % depuis 2010 !
Cette ponction sur le pouvoir d’achat des consommateurs est d’autant plus préoccupante que les fraudeurs ont plusieurs longueurs d’avances sur les mesures censées empêcher les fraudes. En effet, ils vont désormais jusqu’à usurper le numéro de téléphone et l’identité des conseillers bancaires pour siphonner les comptes des consommateurs3.
Déterminée à rendre pleinement effectif le droit au remboursement des victimes de fraudes bancaires, l’UFC-Que Choisir, parallèlement à ses plaintes, saisit de nouveau l’ACPR et Bercy pour d’une part intensifier les contrôles et d’autre part renforcer le cadre normatif, notamment en instaurant des sanctions réellement dissuasives face aux manœuvres des banques.
Afin d’aider les victimes à faire valoir leurs droits, l’UFC-Que Choisir:
-
Met à leur disposition, en libre-accès, un outil sur la conduite à tenir en cas de fraude, deux lettres types de réclamation « Fraude à la carte bancaire – Contestation de l’utilisation d’un code 3d Secure » ainsi que « Fraude à la carte bancaire – Demande de remboursement »
-
Rappelle que son réseau d’associations locales peut les accompagner ;
-
Encourage les victimes à lui signaler toutes fraudes non-indemnisées à l’adresse fraudebancaire@quechoisir.org ou par un formulaire dédié.
L’augmentation des tarifs des vétérinaires varie fortement selon les villes
Les tarifs des principaux actes vétérinaires ont augmenté de 2,32 % entre 2021 et 2022, mais cette moyenne cache de fortes disparités selon les villes, selon une enquête du site de conseils aux propriétaires d’animaux Le Mammouth Déchaîné. Elle montre que les inégalités entre départements perdurent, avec près de 60 % de différences de budget entre les moins chers et les plus chers.
Alors que huit Français sur dix estiment que l’inflation actuelle pèse sur leurs dépenses, selon une enquête menée par Quechoisir fin mai, posséder un chat ou un chien va aussi vous coûter plus cher cette année. Le second baromètre du site Le Mammouth Déchaîné montre que les tarifs ont augmenté de 2,32 % en un an, tous actes confondus. La vaccination est l’acte qui enregistre la plus forte progression, avec une augmentation moyenne de 3 %.
« La liberté de pratique des tarifs vétérinaires conduit à des disparités importantes et les Français n’ont pas toujours connaissance de l’engagement financier que représente un animal », explique Thomas Legrand, ingénieur en sciences des données et fondateur du Mammouth Déchaîné, qui veut avec ce baromètre « contribuer à la sensibilisation et la responsabilisation des futurs propriétaires et ainsi lutter contre le renoncement aux soins et les abandons ».
Et en termes d’inflation, tous les propriétaires d’animaux ne sont pas logés à la même enseigne : Nantes, grande ville où les tarifs étaient les moins chers en 2021, voit la facture augmenter de 11,2 % ; Toulouse, de 6 % ; Lyon, de 5,1 %. Marseille et Paris sont au pied du podium des augmentations, avec respectivement 3,5 % et 3,13 % d’inflation.
Du côté des villes moyennes, les tarifs explosent à Nanterre (+14,6 %), Bourges (+15,8 %), Lorient (+17,7 %) et Versailles (+24 %). Pour ces dernières, « une nouvelle grille tarifaire, un changement de technique opératoire pour les stérilisations, ou des tailles d’échantillons interrogés – moins de 10 cabinets pour ces villes – sont des facteurs explicatifs de ces variations », précise l’étude.
Des tarifs allant du simple au sextuple
Globalement, les dépenses liées à la première année de la vie d’un chat sont en moyenne de 440 € (montant calculé sur la base de cinq actes : consultation, stérilisation, vaccination, rappel de vaccination et identification par puce). Elles grimpent à 660 € pour un chien de petite taille, type chihuahua, et 742 € pour un grand chien, type labrador.
Mais ces tarifs varient fortement en fonction des villes. Le tarif moyen pour une simple consultation est de 38 € au niveau national, mais s’échelonne de 20 à 85 € selon les cabinets étudiés. Le prix pour une stérilisation de femelle labrador, de 316 € en moyenne, va de 100 à 600 € selon les cabinets. Avoir un chat à Fréjus vous coûtera le même prix qu’un labrador à Béziers, montre l’étude.
Alors, au moment d’adopter un animal, faites vos calculs pour déterminer si vous pouvez assumer les frais pour un suivi santé régulier – sachant que même si votre compagnon est en pleine forme, une visite annuelle chez un vétérinaire est conseillée. Et pour réduire le risque de maladies, menez une politique de prévention pour le protéger : renseignez-vous auprès de votre vétérinaire pour bénéficier de ses conseils et de son expertise.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «quechoisir.org»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Comment réduire sa consommation d’essence ?
Dès le début de l’invasion russe en Ukraine, les prix des carburants ont fortement augmenté. Dans certaines stations-services, les tarifs à la pompe dépassent les 2 €/litre, non sans conséquence sur le portefeuille des conducteurs. Que Choisir vous livre quelques conseils pour adopter une conduite plus économique.
À la pompe, les prix flambent. Si le gouvernement a mis en place une réduction de 18 centimes par litre à chaque passage en caisse, cette aide n’est que temporaire. Sauf reconduction, elle prendra fin le 31 juillet. À l’approche des vacances, adopter une conduite plus économique et écoresponsable peut vous permettre de réduire facilement vos dépenses en carburant, sur le long terme.
Adoptez une conduite plus douce
Privilégiez une conduite anticipative et souple : évitez les grand coups d’accélération et de freinage. Selon l’Agence de la transition écologique (Ademe), une conduite sans à-coups permettrait de réduire la consommation de carburant jusqu’à 20 % par rapport à une conduite plus agressive en ville.
Pour ralentir, pensez à utiliser votre frein moteur et évitez d’appuyer sur la pédale d’embrayage trop tôt. En effet, si vous débrayez et que le moteur tourne au ralenti, celui-ci consomme du carburant.
Réduisez votre vitesse
Les changements de vitesse ont un impact sur la consommation de carburant. Il est préférable, dans la mesure du possible, de maintenir la même allure tout au long du trajet. Par conséquent, évitez les accélérations fortes et fréquentes et oubliez les vitesses trop élevées. Si vous disposez d’un régulateur de vitesse, n’hésitez pas à l’utiliser. Les accélérations sont en effet plus précises que celles effectuées au pied et ainsi moins consommatrices de carburant.
Faites le calcul !
Et si vous réduisiez votre vitesse de 10 km/h ? Pour un trajet sur autoroute à 120 km/h au lieu de 130 km/h, vous ne perdez que 4 minutes sur 100 km. Selon l’Agence de la transition écologique (Ademe), cela vous permettrait d’économiser entre 3,5 et 4,5 litres de carburant selon le type de véhicule et sa motorisation.
Voilà le comparatif de la perte de temps et du gain d’essence selon le nombre de kilomètres parcourus :
Distance à parcourir | Perte de temps estimée | Gain d’essence moyen estimé |
100 km | 4 min | 4 l |
200 km | 8 min | 8 l |
300 km | 12 min | 12 l |
400 km | 16 min | 16 l |
500 km | 20 min | 20 l |
600 km | 24 min | 24 l |
700 km | 28 min | 28 l |
800 km | 32 min | 32 l |
Coupez le moteur lorsque vous êtes à l’arrêt
Si votre voiture n’est pas équipée du système stop & start, il est recommandé de couper le moteur à chaque arrêt prolongé. Selon l’Ademe, arrêter puis redémarrer un véhicule consomme moins de carburant que laisser tourner le moteur au ralenti plus de 20 secondes.
Démarrez votre trajet à allure modérée
Lorsque le moteur est froid, la surconsommation de carburant peut être très importante. En ville, elle peut atteindre 45 % sur le premier kilomètre, et jusqu’à 25 % sur le deuxième. La Sécurité routière conseille donc de rouler à allure modérée durant les cinq premiers kilomètres.
Veillez à être sur le rapport de vitesse le plus élevé
Le site Codes Rousseau, spécialiste de la formation au permis de conduire, conseille de se placer sur le rapport de vitesse le plus élevé. Ainsi, en 5e, la consommation d’énergie sera inférieure à celle de la 3e vitesse.
Ne surchargez pas votre voiture
Plus votre voiture sera pleine, plus vous consommerez de carburant. Enlevez ainsi toute charge inutile de votre véhicule.
Par ailleurs, pensez à enlever coffre de toit, galerie, porte-vélos et porte-skis dès lors qu’ils ne vous sont plus utiles. Ces derniers peuvent entraîner une surconsommation de 10 % à 15 %, souligne le site de la Sécurité routière.
Vérifiez la pression des pneus
Selon les calculs de l’Ademe, un sous-gonflage de 0,3 bar peut entraîner une consommation supplémentaire de 1,2 %. Ce taux augmente en fonction de la sous-pression : avec un sous-gonflage de 0,5 bar, la surconsommation peut aller jusqu’à 2,4 %.
Veillez également à utiliser des pneus adaptés à chaque saison.
Conseil : Et si vous vous équipiez de pneus basse consommation ? Ceux-ci peuvent vous faire économiser jusqu’à 5 % de carburant. À l’achat, il faut compter en moyenne entre 70 et 90 € par pneu.
Limitez la climatisation
Abuser de la climatisation augmente la consommation d’essence. Inutile donc de l’allumer au maximum dès le démarrage du véhicule : préférez la fonction « auto » du système. Le compresseur travaillera ainsi de la manière la plus efficace pour atteindre la température souhaitée, sans trop impacter la consommation de carburant. Idéalement, comptez 5 °C en dessous de la température extérieure.
Selon les climats, les véhicules et les usages, la climatisation pourrait faire augmenter la consommation de carburant de 1 à 7 %, précise l’Ademe. Moins de climatisation, c’est également un geste pour la planète. En effet, selon les chiffres du gouvernement, en baissant la climatisation, vous réduisez de 15 % le CO2 rejeté sur 100 km.
Ouvrir les fenêtres peut par ailleurs se présenter comme une alternative intéressante lors des courts trajets. En revanche, mieux vaut l’éviter sur autoroute : l’air qui s’engouffre dans la voiture fait perdre de l’aérodynamisme et augmente la consommation de carburant.
Entretenez votre véhicule
Contrôle du moteur, changement d’huile, décrassage de pièces comme le filtre à air… Prenez l’habitude de bien entretenir votre véhicule. Des composants abîmés et un moteur mal entretenu peuvent causer une surconsommation de carburant jusqu’à 25 %, souligne le site de la Sécurité routière.
Comparez le prix des carburants
Les prix à la pompe peuvent varier d’une station à une autre. Grâce à notre carte interactive gratuite, trouvez la station-essence la moins chère près de chez vous pour faire le plein d’économies.
Et pensez aux alternatives : Lorsque cela est possible, laissez votre véhicule au garage. Certains trajets peuvent aisément se faire à pied, à vélo – qu’il s’agisse d’un vélo classique ou d’un vélo à assistance électrique (VAE) – ou en transports en commun.
Selon une étude de l’Insee, publiée en avril 2021, 33 % des actifs résidant à moins de 500 m d’une station de tram ou de métro se rendent au travail en voiture. Au total, ils sont 74 % à privilégier la voiture pour aller travailler plutôt que les autres modes de transport.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «quechoisir.org»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Téléphonie mobile : quels frais à l’étranger ?
Les frais d’itinérance ou « roaming », autrefois facturés aux utilisateurs de téléphones mobiles quand ils voyageaient en Europe, n’existent plus depuis 2017. Ainsi, un Français en déplacement dans un autre pays membre de l’Espace Économique Européen et qui utilise son téléphone mobile, se voit appliquer les tarifs de son opérateur français. Mais que dit précisément la réglementation ? Existe-t-il des exceptions ? Quid des tarifs en dehors de l’Europe ? Voici les réponses.
♦ Utiliser son téléphone mobile en Europe : combien çela va coûter ?
Appels et SMS vers l’Union européenne : des prix plafonnés
Depuis le 15 mai 2019, les appels ou SMS émis par les particuliers depuis le pays d’origine vers un autre pays de l’Union Européenne (UE) sont plafonnés à
- 19 centimes €/minute (prix hors TVA) pour les appels
- 6 centimes € (prix hors TVA) par SMS.
Appels et SMS en Europe : pas de surfacturation
Dans l’Espace Économique Européen (EEE)*, les surfacturations ont disparu depuis le 15 juin 2017 et les tarifs sont désormais égaux aux tarifs nationaux, dans la limite de ce qui est autorisé par votre abonnement et d’un usage dit « raisonnable ».
Lorsque vous êtes en itinérance, l’absence de surfacturation s’applique :
- aux appels émis vers la France mais aussi aux appels émis vers n’importe quel pays de l’EEE (dont le pays visité)
- aux appels reçus de France mais aussi en provenance de n’importe quel pays de l’EEE
- aux SMS envoyés vers la France mais aussi les SMS émis vers n’importe quel pays de l’EEE (dont le pays visité)
- à l’usage de l’internet mobile (voir le détail ci-après).
En revanche, l’absence de surfacturation ne s’applique pas aux appels et SMS émis depuis un pays de l’EEE à destination d’un pays non membre de cette zone. Ces communications peuvent vous être facturées en hors forfait selon votre opérateur et l’offre souscrite.
Enfin, pour bénéficier de cette absence de surfacturation, vos déplacements doivent être ponctuels. Si sur une période de quatre mois, le volume de votre consommation en itinérance dépasse celui de votre consommation nationale, votre opérateur peut vous demander de clarifier la situation. Vous disposez alors de 14 jours pour justifier votre usage. Ce délai dépassé, votre opérateur peut vous facturer des frais d’itinérance supplémentaire.
* L’Espace Économique Européen (EEE) comprend les pays suivants : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Croatie, Chypre, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Norvège, Islande et Liechtenstein.
Bon à savoir : Au-delà des aspects tarifaires, les opérateurs ont des obligations de transparence et de protection des clients. Ils ont l’obligation d’envoyer à leurs clients un message d’information sur les tarifs des communications voix et SMS à chaque fois qu’un utilisateur se retrouve en situation d’itinérance à l’étranger, ainsi que sur les tarifs de l’internet mobile dès qu’il est utilisé en itinérance pour la première fois dans un pays.
Internet mobile en Europe : un accès normal sauf exceptions
Comme pour les appels et SMS, l’internet mobile doit également être accessible en itinérance dans l’EEE comme chez vous. Les opérateurs ne sont pas autorisés à restreindre l’usage des données et vous devez pouvoir accéder dans des conditions normales, au volume inclus dans votre forfait.
Cependant, les opérateurs peuvent définir une limite d’utilisation de l’internet mobile en dehors du territoire national dans trois cas :
- pour les forfaits illimités
- pour les forfaits jugés particulièrement généreux sur l’internet mobile : on considère être dans ce cas lorsque le prix HT du forfait, divisé par le volume d’internet mobile en gigaoctet inclus dans le forfait, est inférieur à 1,50€/Go
- pour les offres prépayées.
Bon à savoir : À l’instar des appels et SMS, l’absence de surfacturation de la consommation d’internet en itinérance s’applique dans le cadre d’un usage raisonnable défini par l’opérateur.
À l’inverse, un usage d’internet en itinérance jugé « anormal » et qui pourrait donc mener à l’application éventuelle d’une surfacturation, est strictement encadré :
- l’opérateur doit avoir observé les usages de son client durant au moins quatre mois
- des critères précis doivent avoir été remplis pour caractériser le caractère « abusif ou anormal » de la consommation du client
- l’opérateur doit avoir alerté son client
- si le profil du client n’est pas rétabli dans les 15 jours et qu’une surfacturation est appliquée, cette dernière est strictement encadrée.
♦ Hors d’Europe, comment est-on facturé ?
L‘itinérance aux tarifs nationaux ne s’applique pas aux pays situés en dehors de l’Espace Économique Européen. Il convient donc d’être particulièrement vigilant sur les tarifs pratiqués par votre opérateur.
Les opérateurs ont cependant l’obligation, comme au sein de l’EEE, de vous ternir informé des tarifs pratiqués dès que vous franchissez une frontière.
En outre, concernant l’usage de l’internet mobile en itinérance en dehors de l’Espace Économique Européen, les opérateurs ont l’obligation de plafonner la surfacturation. Le plafond est par défaut situé à 50 € HT (sauf si un autre plafond a été convenu par le client avec l’opérateur).
Un message d’avertissement doit être envoyé à l’utilisateur dès qu’il atteint 80 % du plafond . Une fois ce plafond atteint, le téléchargement en itinérance est verrouillé par l’opérateur, sauf demande expresse de la part de l’utilisateur.
Mais attention : Ce mécanisme de plafonnement de la surfacturation ne concerne pas les services voix et SMS.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «economie.gouv.fr»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Exonération de taxe foncière : conditions, âge et plafonds
Des exonérations, réductions ou plafonnements de taxe foncière sont accordés sous conditions d’âge et de revenu, ou pour certains biens. Tous les cas d’exonérations de taxe foncière, notamment pour les personnes âgées ou pour les logements neufs.
La taxe foncière peut faire l’objet d’une exonération ou d’une réduction, voire d’un plafonnement, notamment pour la résidence principale. La loi prévoit en effet plusieurs cas d’exonération de taxe foncière ou de dégrèvements, par exemple en faveur des personnes invalides ou âgées de plus de 75 ans, ou encore pour certains types de biens.
Quelle est l’exonération de taxe foncière pour les personnes âgées ou invalides ?
Sont exonérées de taxe foncière les personnes suivantes :
- les titulaires de l’allocation supplémentaire d’invalidité sans aucune condition de ressources ;
- les titulaires de l’Aspa (allocation de solidarité aux personnes âgées, anciennement minimum vieillesse) sans aucune condition de ressources ;
- les personnes âgées de plus de 75 ans sous condition de ressources ;
- les titulaires de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) sous condition de ressources.
Dans les couples mariés, la condition d’âge ou de handicap peut n’être remplie que par l’un des conjoints. Mais le logement doit être soit un bien propre de la personne âgée ou handicapée, soit un bien appartenant à la communauté conjugale.
Les cas d’exonération ci-dessus concernent uniquement l’exonération de la résidence principale. Toutefois, dans un arrêt du 20/10/2000, le Conseil d’Etat a considéré que les personnes âgées de plus de 75 ans concernées pouvaient également bénéficier de l’exonération de taxe foncière pour leur habitation secondaire.
Plafond de revenus taxe foncière
Pour les bénéficiaires ci-dessus concernés par la condition de ressources, le revenu fiscal de référence de l’année précédente doit être inférieur à certains plafonds. En cas de dépassement de ces plafonds de revenus, les propriétaires concernés conservent pendant deux ans le bénéfice de l’exonération de la taxe foncière. A l’issue de ces deux ans, ils bénéficient d’un abattement sur la valeur locative du logement sur laquelle sont calculées la taxe foncière et la taxe d’habitation. L’abattement est de deux tiers pour la troisième année et d’un tiers pour la quatrième année.
Le plafond de revenu dépend du quotient familial. Pour 2022, il est égal à :
- 11 276 € pour la première part ;
- plus 3 011 € pour chaque demi-part supplémentaire.
Occupation du logement
Pour bénéficier de l’exonération de taxe foncière pour leur résidence principale, les intéressés doivent y habiter soit seul, soit avec leur conjoint, soit avec des personnes rattachés à leur foyer fiscal, soit avec d’autres personnes titulaires de la même allocation. Le bénéfice de ces allègements et exonérations peut être accordé aux personnes âgées hébergées dans un établissement de soins longue durée ou en maison de retraite si elles conservent la jouissance exclusive de leur habitation principale.
Dégrèvement de taxe foncière pour plus de 65 ans
Les personnes âgées de plus de 65 ans mais de moins de 75 ans (au 1er janvier de l’année considérée) qui satisfont aux conditions d’habitation et de ressources définies pour l’exonération de taxe foncière bénéficient d’un dégrèvement forfaitaire de 100 euros sur le montant de la taxe foncière.
Qu’est-ce que le plafonnement de taxe foncière selon les revenus ?
En deçà d’un certain niveau de revenu, les contribuables peuvent bénéficier d’un plafonnement de la taxe foncière pour leur résidence principale. La taxe foncière ne peut pas dépasser 50% du revenu du foyer fiscal concerné. Conditions exigées :
- le propriétaire ne doit pas être assujetti à l’impôt sur la fortune
- son revenu fiscal de référence ne doit pas dépasser certains plafonds de revenus :
- 26 515 € pour la première part de quotient familial ;
- plus 6 195 € pour la première demi-part supplémentaire ;
- plus 4 877 € pour les autres demi-parts.
Les locaux vacants sont-ils exonérés de taxe foncière ?
Deux types de locaux vides peuvent bénéficier d’une exonération de taxe foncière :
- les logements vides normalement destinés à la location,
- les locaux à usage industriel et commercial inexploités, mais à condition que ce soit le contribuable redevable de la taxe qui l’utilise lui-même en temps normal.
Trois conditions sont exigées.
- la vacance ou l’inexploitation doit être involontaire de la part du propriétaire,
- la vacance ou l’inexploitation doit durer au moins trois mois,
- la vacance ou l’inexploitation doit affecter soit la totalité de l’immeuble, soit une partie susceptible de location ou d’exploitation séparée.
Ce dégrèvement est calculé de mois à mois. Il prend en compte la période à partir du premier jour du mois suivant la vacance ou l’inexploitation jusqu’au dernier jour du mois au cours duquel la vacance ou l’inexploitation a pris fin. Ces logements peuvent être soumis à la taxe sur les logements vacants.
Quelle est l’exonération de taxe foncière pour les logements neufs ?
Les logements achetés neuf ou en VEFA sont en principe exonérés de taxe foncière pendant les deux ans qui suivent l’achèvement des travaux. Pour les locaux d’habitation, la commune peut décider de supprimer l’exonération pour la part lui revenant.
Peuvent être exonérées de taxe foncière pendant 15 ans (à compter de la date d’achèvement) les immeubles neufs à usage de résidence principale :
- qui ont été construits avec un prêt relevant du régime HLM ;
- qui ont été financés à plus de 50% par des prêts aidés par l’Etat. exception faite des logements financés avec le prêt à taux zéro.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «commentcamarche.com»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Avec Google Street View, visiter un lieu sur internet comme si vous y étiez !
En quelques clics, visualisez un lieu en rentrant simplement l’adresse sur Google. Utile aussi pour préparer un voyage… ou retrouver sa maison d’enfance!
Exemple : recherche « Place Georgin à Epinal »
Les explications en résumé :
– Tapez dans la barre de recherche de Google l’adresse ou le nom du lieu recherché. Cliquez sur « Maps » en haut, sous la barre de recherche, pour afficher la carte.
– Pour afficher la version satellite de la carte, cliquez en bas à gauche de l’écran sur la fenêtre « Satellite ».
– En maintenant le clic gauche, déplacez la souris dans n’importe quelle direction pour déplacer la carte. Pour vous rapprocher, cliquez sur les icônes « + » et « – » en bas à droite, ou utilisez la molette de votre souris.
– Pour afficher la vue en trois dimensions, cliquez en bas à droite sur l’onglet « 3D ».
– Pour visualiser les photos prises dans la rue, cliquez sur l’icône de zoom « + » plusieurs fois, jusqu’à ce que la vue passe en mode « Street view ».
– Pour faire tourner la caméra, avec le clic gauche enfoncé, déplacez votre souris vers la direction souhaitée. Cliquez sur la flèche qui s’affiche sur la route pour vous déplacer rapidement d’un point à un autre.
– Dans la fenêtre située en haut à gauche de l’écran, cliquez sur l’icône en forme d’horloge pour afficher la date à laquelle a été prise la photo. Cliquez sur les dates pour afficher les images antérieures.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «notretemps.com»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Impôts 2022 et le trop-payé ?
Impôts 2022 : quand toucherez-vous le virement de la DGFiP pour rembourser le trop-payé ?
Le calendrier du prélèvement à la source commence à être rodé : suite à la déclaration du printemps, ceux qui ont été trop fortement prélevés au fil de l’année 2021 reçoivent un virement de la DGFiP pour rembourser ce trop-perçu. Le virement sera opéré en deux salves : le 21 juillet et le 2 août.
Près de 13 millions de foyers fiscaux ont eu la bonne surprise, fin juillet ou début août 2021, de recevoir un virement provenant de « DGFiP Finances publiques » et intitulé « REMB IMPOT REVENUS ». Il s’agit d’un nouveau rendez-vous habituel du calendrier fiscal : la DGFiP (Direction générale des finances publiques) rembourse le trop-perçu à la source lors de l’année écoulée, après avoir affiné ses calculs grâce à la déclaration de revenus.
Ce cycle se répète une nouvelle fois en 2022 : suite à la dernière déclaration, le fisc détermine votre impôt sur le revenu définitif pour l’année 2021. Si l’impôt annuel calculé ainsi à l’euro près est inférieur à ce qui vous a été prélevé à la source courant 2021, alors la DGFiP va vous reverser le trop-payé au cœur de l’été 2022. Quand ? « Le remboursement sera effectué par virement le 21 juillet pour un grand nombre d’usagers, puis le 2 août pour la plupart des autres ».
◊ Un virement provenant de DGFiP Finances publiques
Si le Trésor public vous a annoncé un remboursement à l’issue de votre déclaration, vous pouvez anticiper ce virement de la DGFiP pour le jeudi 21 juillet 2022, ou à défaut le mardi 2 août. Pour les foyers n’ayant pas donné leur RIB à la DGFiP, le remboursement sera effectué par lettre-chèque, lequel sera adressé à votre domicile fin juillet ou courant août.
Si vous devez mettre à jour vos coordonnées bancaires afin de recevoir ce virement, il faut vous exécuter avant le vendredi 1er juillet.
Pourquoi profitez-vous d’un remboursement, alors que l’impôt à la source est censé coller au plus près de vos revenus ? Premier cas : vous avez droit à une restitution de réductions ou crédits d’impôt pour vos dons effectués en 2021, vos dépenses d’emploi à domicile, de gardes d’enfants ou encore des investissements locatifs, et seule une part de cet avantage vous a été avancée en janvier dernier. Second cas : le prélèvement à la source effectué en 2021 a été supérieur au montant final de votre impôt, le montant remboursé correspondant alors au trop-prélevé à la source en 2021.
◊ Remboursement au cœur de l’été, solde à payer en septembre
Le calcul définitif de l’impôt 2022 n’est pas synonyme de « bonne surprise » pour tout le monde. A l’issue de la déclaration printanière, le fisc vous annonce soit un « montant qui sera remboursé », soit un « montant restant à payer ». L’an passé, près de 10,8 millions de foyers s’étaient ainsi vu annoncer un solde à régulariser. Si c’est votre cas, vous avez le temps d’anticiper ce prélèvement : il sera effectué le 26 septembre.
Pour vous y retrouver, le détail du calcul sera indiqué sur votre avis d’impôt. Ce dernier sera mis en ligne à partir de la fin juillet, et envoyé par courrier jusqu’au début du mois de septembre.
Votre avis arrivera dans votre espace Particulier sur Internet… | Si vous avez choisi de conserver un avis papier, il sera dans votre boîte aux lettres… | |
---|---|---|
Si vous bénéficiez d’un remboursement | Entre le 25 juillet et le 5 août 2022 | Entre le 29 juillet et le 31 août 2022 |
Si vous n’avez (plus) aucun montant à payer | Entre le 2 et le 31 août 2022 | |
Si vous avez un montant à payer | Entre le 29 juillet et le 5 août 2022 | Entre le 5 et le 26 août 2022 |
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «moneyvox.fr»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Comment choisir un climatiseur mobile monobloc ?
L’offre de climatiseurs mobiles monoblocs est vaste. En cas de grosse chaleur, ne vous précipitez pas dans les magasins sans avoir bien défini vos besoins, la taille de la pièce à équiper et les options voulues. En rayon, il vous faudra vérifier des éléments tels que l’efficacité énergétique de l’appareil, sa puissance et son volume sonore. Et attention à la flambée des prix, systématique lors des canicules !
Pourquoi opter pour un climatiseur mobile monobloc ?
Les propriétaires qui souhaitent disposer d’une climatisation au-delà des mois d’été ont intérêt à opter pour un climatiseur fixe, de type « split », disponible à partir de 1 000 €. Pour climatiser de manière occasionnelle, les climatiseurs mobiles monoblocs sont suffisants. Leur principal avantage est leur simplicité : ils s’installent en quelques minutes, sont transportables d’une pièce à l’autre (le salon en journée, la chambre le soir…), peuvent être rangés dans un placard l’hiver et se vendent à partir de 300 €. Ils évacuent l’air chaud grâce à une gaine flexible passée par une fenêtre ou un trou dans le mur, ce qui les rend plus efficaces que de simples ventilateurs.
En effet, contrairement au climatiseur, le ventilateur ne fait que brasser l’air, sans le refroidir. Il produit donc une sensation de fraîcheur lorsqu’il est allumé, mais celle-ci disparaît instantanément une fois l’appareil éteint.
En matière de climatiseurs fixes, les japonais Daikin, Toshiba, Panasonic, Mitsubishi-Electric et Hitachi dominent le marché et ont prouvé leur savoir-faire comme le prouve notre test de climatiseurs split. La réponse est moins évidente pour les climatiseurs mobiles, dont les fabricants utilisent souvent les mêmes sous-traitants. Certains produits identiques sont carrément vendus sous différentes appellations : difficile, donc, de recommander telle ou telle marque. En outre, nos tests de climatiseurs montrent que, même chez les fabricants les plus connus, comme Electrolux, Whirlpool, Taurus ou Beko, la qualité peut varier en fonction des modèles.
Comparer l’efficacité énergétique (EER)
Pour choisir un climatiseur en fonction de son efficacité globale, la puissance seule ne suffit pas. Il convient de se pencher sur son coefficient d’efficacité énergétique. Abrégé en EER (Energy Efficiency Ratio), ce chiffre est un standard de mesure permettant de comparer les appareils entre eux. Il se calcule en divisant la puissance de refroidissement du climatiseur (énergie frigorifique fournie ou chaleur absorbée) par l’énergie électrique consommée. Concrètement, plus l’EER est élevé, moins l’appareil sera énergivore. Cette information est traduite en classe (A, A+, A++, etc.) sur l’étiquette énergie. Cette information n’est pas complètement fiable, mais la puissance frigorifique déclarée (en kW) et l’électricité consommée restent des indicateurs importants pour juger des performances du climatiseur, bien que les écarts de consommation entre les différents modèles soient faibles.
Les différentes options disponibles
Si tous les climatiseurs déshumidifient l’air, certains sont équipés d’une touche spécifique qui leur permet d’utiliser cette fonction indépendamment du refroidissement, voire de contrôler le degré d’humidité. Idem pour le filtrage : si tous les appareils purifient l’air, certains se disent capables de retenir les particules les plus fines et, parfois, de supprimer les odeurs. Le filtre au charbon actif est efficace contre les mauvaises odeurs, tandis que le filtre électrostatique est recommandé contre les poussières, le pollen et les bactéries. Pour être efficaces, les filtres doivent être nettoyés régulièrement.
Certains climatiseurs disposent d’une minuterie, qui permet de faire fonctionner le climatiseur pendant une période choisie, par exemple le temps de s’endormir. D’autres disposent d’un programmateur, afin que votre pièce soit fraîche à votre retour du travail, par exemple.
La télécommande est aussi un plus pour gérer l’appareil sans avoir à se lever.
Choisir un climatiseur réversible
Pour faire d’une pièce deux coups, certains consommateurs choisissent de s’équiper de climatiseurs mobiles réversibles, capables de chauffer une pièce à moindre frais en récupérant les calories présentes dehors. Un système deux en un qui permet de gagner de la place et peut s’avérer utile comme chauffage d’appoint dans les logements mal isolés.
Contrairement à la climatisation, très énergivore, l’option « chauffage » des appareils réversibles est intéressante économiquement, car elle restitue plus d’énergie qu’elle en consomme. Son coefficient de performance est plus intéressant que celui d’un chauffage électrique classique. Néanmoins, les climatiseurs réversibles ne peuvent s’utiliser que comme chauffages d’appoint et peuvent s’avérer insuffisants lorsque la température extérieure est trop basse. Pour y remédier, certains modèles sont munis d’une résistance qui réchauffe l’eau de manière plus importante, au prix d’une consommation plus élevée.
Anoter : Les climatiseurs réversibles de notre test comparatif n’ont pas été testés en mode chauffage.
Choisir un climatiseur silencieux
Les climatiseurs mobiles monoblocs sont toujours plus bruyants que les splits, dont le moteur est situé à l’extérieur du logement. C’est d’ailleurs l’un des principaux défauts des monoblocs : imaginez un réfrigérateur dont le moteur tournerait en permanence, avec un ventilateur en plus… Les climatiseurs monoblocs annoncent en général un bruit compris entre 60 et 70 dB (tandis que les splits peuvent descendre à 40, voire 30 dB). Certains disposent néanmoins d’une fonction « nuit » (aussi appelée « sleep » ou « silence ») pour un fonctionnement plus discret. Elle consiste à réduire graduellement la puissance du climatiseur : cela fait certes grimper la température, mais permet de s’endormir dans le calme.
L’installation d’un monobloc mobile peut se faire sans l’aide d’un professionnel. Placez-le dans un espace dégagé et sec, fixez la gaine d’évacuation de l’air chaud à l’appareil et placez-la vers l’extérieur à travers une fenêtre entrouverte (des solutions de calfeutrage sont vendues séparément) ou un trou réalisé dans le mur. Évitez de trop plier la gaine. Attention, les climatiseurs contiennent un fluide frigorigène : en cas de problème, ne démontez pas vous-même le système réfrigérant.
Gros consommateurs d’électricité et donc générateurs de pollution, les climatiseurs sont à utiliser avec modération. Lorsque vous allumez le vôtre, faites-le fonctionner en continu quitte à réduire légèrement sa puissance quand vous êtes absent. Bien isoler sa maison, garder les volets fermés le jour et aérer la nuit permet aussi de réduire la consommation d’énergie. Enfin, réglez votre climatiseur de façon à limiter l’écart de température entre l’intérieur et l’extérieur à 7 °C et suivez scrupuleusement les consignes d’entretien.
Heureusement, les fabricants font des efforts… pour se démarquer de leurs concurrents, mais aussi sous la pression de la réglementation, avec des appareils moins gourmands. Outre l’étiquette énergétique, qui les incite à diminuer la consommation électrique de leurs appareils, un règlement européen (842/2006) relatif aux gaz à effet de serre fluorés (gaz réfrigérants) leur impose de réduire l’impact de leurs produits sur ce critère. Le gaz R410A, qui a une très forte incidence sur le climat, est progressivement remplacé par le R290, dont l’empreinte est moindre, et par le R32 sur lequel travaillent certaines marques. Au moment de vous équiper, privilégiez donc des modèles utilisant ces fluides.
Rallonger le tuyau d’évacuation est-il possible ?
Les climatiseurs mobiles monoblocs sont conçus pour que la gaine d’évacuation soit placée au niveau d’un trou dans le mur ou d’une fenêtre. En fonction de la configuration de la pièce, il peut être tentant de le rallonger, d’autant que des rallonges sont vendues sur Internet. Ce n’est pas conseillé : en effet, la puissance d’évacuation du climatiseur est réglée en fonction de la longueur de la gaine. En la rallongeant, l’air chaud et la condensation risquent de ne pas être évacués correctement, faute de puissance, et d’être refoulés dans la pièce. Le climatiseur risque aussi de travailler en surrégime, entraînant un vieillissement prématuré.
Pour éviter que l’air soit refoulé dans la pièce, la gaine doit être placée au maximum à l’horizontal, et non à la verticale. Pour ces raisons, il est déconseillé de brancher le tuyau d’évacuation sur un conduit de cheminée ou sur une bouche d’aspiration d’air de VMC. Dans ce dernier cas, il y a aussi un risque de refoulement de l’air chaud dans les autres pièces du logement. De plus, les climatiseurs mobiles rejettent aussi de l’humidité : elle pourrait endommager la VMC.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «quechoisir.org»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Notre action du Printemps des consommateurs
Cette action a eu pour but de gagner en visibilité,
d’aller à la rencontre des consommateurs et se faire connaître
auprès d’un nouveau public,
de promouvoir l’action de proximité,
d’animer le territoire à travers des évènements collectifs,
de faire découvrir la diversité des activités,
de sensibiliser les consommateurs aux actions et combats de
l’UFC-Que Choisir et les inciter à soutenir les AL en adhérant ou
en rejoignant les équipes de bénévoles,
de mobiliser, animer et fédérer des groupes de consommateurs sur
des thématiques consuméristes larges,
et de réunir l’équipe des bénévoles autour d’un projet.
Cette année encore la proposition est de poursuivre sur le thème de
la Consommation responsable. Le titre retenu pour l’édition 2022 est :
« Repensons notre consommation ». Nous proposons de
mettre l’axe sur la consommation locale, afin d’informer, sensibiliser
Et faire découvrir au public des informations sur les producteurs
locaux, la qualité de l’eau, la fracture sanitaire et territoriale, le pouvoir d’achat.
Votre téléphone est-il sur écoute ?
Les attaques informatiques sont devenues monnaie courante ces dernières années. Alors que le travail à domicile a pris de l’ampleur, les équipements sont forcément moins protégés que ceux de l’entreprise. Les internautes sont ainsi la cible régulière des hackers et cybercriminels qui tentent par tous les moyens d’accéder à leurs données personnelles via leur téléphone portable ou ordinateur. De nos jours, même la sécurité des entreprises est mise à rude épreuve. Et avec l’avènement des multiples applications, des logiciels et autres réseaux sociaux, les utilisateurs sont constamment confrontés à diverses intrusions malveillantes. Entre l’envoi massif des SMS publicitaires, des liens douteux et des e-mails frauduleux, on a toujours l’impression d’être espionné et surveillé en permanence.
À cet égard, les Smartphones dotés du système d’exploitation Android semblent particulièrement plus vulnérables aux attaques des cybercriminels. Par manque d’attention ou par ignorance, nous n’arrivons pas à repérer certains signaux révélateurs et nous tombons souvent dans les filets de ces pirates informatiques. Voici quelques pistes pour savoir si votre téléphone portable a été mis sur écoute et comment protéger vos informations privées.
Découvrer les signes qui prouvent que votre Smartphone a été mis sur écoute :
◊ Consommation de données exagérée
Si votre téléphone portable est sur écoute, la personne malveillante qui vous suit transfert une multitude d’informations qu’elle considère importantes à partir de votre appareil. Cela inclut les emplacements, les mots de passe, les e-mails, les fichiers et tout autre type d’informations, y compris dans les cas extrêmes, la surveillance des appels.
Soyez donc aux aguets : si depuis quelques temps, vous recez des textos étranges avec des suites de lettres et de chiffres, vous avez peut-être affaire à un amateur qui a installé un programme d’espionnage pour vous suivre. Normalement, vous n’êtes pas sensés les découvrir, mais si le travail a été mal fait, le propriétaire du Smartphone peut les intercepter.
Bon à savoir : l’une des méthodes radicales pour découvrir si on vous surveille est de bien analyser sa facture téléphonique détaillée. Si vous constatez que votre consommation de données a largement augmenté depuis la dernière fois, alors il est fort probable qu’une personne utilise votre ligne pour transférer un flux de données, mais aussi pour vous écouter.
◊ Appels vers des numéros non reconnus
Profitez-en également pour vérifier le détail des appels entrants et sortants dans votre relevé de compte. Si vous remarquez certains numéros inconnus qui ne vous disent rien, cela doit vous mettre la puce à l’oreille. En effet, il existe des moyens de « dupliquer » votre numéro de téléphone et d’utiliser simplement votre service.
◊ Applications inconnues installées
Certains logiciels sont utilisés pour espionner et capturer les informations que vous entrez sur des sites Web ou des applications, telles que des noms d’utilisateur et des mots de passe. Heureusement, de nos jours, il est presque impossible de cacher une application sur un téléphone portable. Toutefois, si vous en possédez beaucoup, certaines peuvent passer inaperçues. Mieux vaut vérifier régulièrement votre liste d’applications installées et supprimez aussitôt celles que vous ne reconnaissez pas. Si votre téléphone portable commence à installer des applications à votre insu, alors il est peut-être contrôlé à distance par quelqu’un d’autre.
◊ Décharge inhabituelle de la batterie
L’utilisation d’applications d’espionnage, leur mise à jour et l’envoi de rapports tout au long de la journée, cela consomme forcément beaucoup l’énergie. D’autant plus que cela fonctionne en arrière-plan, c’est-à-dire secrètement et sans que vous vous en rendiez compte. Soyez donc à l’affût des fluctuations de chargement de la batterie de votre téléphone portable.
Si le niveau de batterie chute rapidement alors que l’appareil était parfaitement bien chargé, il y a anguille sous roche. De même, la température de la batterie peut être un indice important : si elle se met à chauffer soudainement alors que vous n’utilisez même pas votre portable et que vous êtes dans une pièce à l’ombre de la chaleur, il faut se poser des questions.
◊ Bruit lors des appels
La surveillance des appels, même si elle semble obsolète, est une réalité. Il y a également un indice qui peut vous guider pour savoir si votre Smartphone est sur écoute et si l’on enregistre vos conversations : durant votre appel, tendez bien l’oreille pour entendre s’il y a un bruit de fond. Si cela s’apparente à des interférences ou même des appels croisés, il s’agit alors peut-être d’un système de mise sur écoute qui interfère avec la transmission de l’appel. Si vous sentez un bourdonnement vraiment aigu, c’est la preuve fiable que vous êtes sur écoute.
Bon à savoir : pour en avoir le cœur net, vous pouvez utiliser un amplificateur de puissance audio pour écouter les sons qui échappent parfois à l’oreille. Si le bourdonnement est répété et fréquent, il n’y a plus de place au doute.
Utilisez ces codes secrets pour détecter une éventuelle intrusion sur votre Smartphone
Une autre façon, un peu plus technique, de savoir si votre téléphone portable a été mis sur écoute, consiste à utiliser certains codes secrets. Il suffit de les composer comme pour un appel et ils vous fourniront des indications essentielles. Ils fonctionnent pour les deux versions, Android et iPhone:
##002# : ce code désactive le renvoi d’appel et toute redirection que des escrocs auraient pu faire avec votre numéro de téléphone.
*#62# : ce code vous indiquera vers quel numéro les appels sont redirigés lorsque votre téléphone portable est éteint ou hors zone. Un numéro de votre entreprise peut apparaître, ce qui est normal.
*#21# : ce code est similaire au précédent, sauf que celui-ci vous montre un écran détaillant le détournement de services spécifiques (voix, données…).
*#06# : ce code vous permet de connaître le numéro IMEI de votre mobile pour faciliter sa localisation en cas de vol.
Bon à savoir: quoi qu’il en soit, en cas de doute ou de suspicion d’une éventuelle surveillance sur votre téléphone portable, prenez certaines mesures de sécurité, telles que la mise à jour du logiciel de votre mobile, l’identification et la désinstallation de toute application qui pourrait vous poser des problèmes.
Vous pouvez même faire appel à votre opérateur téléphonique. Si vous croyez fermement que votre portable est mis sur écoute, votre opérateur pourra faire une vérification plus technique pour détecter les interférences extérieures et les éventuels microphones. Enfin, si vous détenez vraiment des preuves concrètes d’une violation de vie privée, vous pouvez également porter plainte auprès de la police qui pourra retrouver le coupable.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «santeplusmag.com»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Eau en bouteille ou eau du robinet : laquelle choisir ?
Certains ne jurent que par l’eau courante, pratique et économique, d’autres préfèrent les eaux minérales. Un match qui ne coule pas de source…
Notre corps a besoin d’environ 1,5 litre de boisson par jour, et même 2 litres en cas de pratique sportive ou de chaleur. Thé, café, jus… tout compte, même le vin et la bière! Mais puisqu’il ne faut pas abuser d’alcool, de caféine ou de sucre, l’eau est recommandée. Reste à choisir laquelle.
◊ Pas chère, locale… au robinet!
Issue d’eaux de surface (rivières, lacs…) ou de nappes souterraines, l’eau courante subit divers traitements de potabilisation avant d’être distribuée.
• Les plus:
– Un prix avantageux: c’est un atout majeur. Elle coûte en moyenne 0,004€ le litre, soit jusqu’à 100 fois moins, et parfois davantage, qu’une eau en bouteille.
– Elle arrive à domicile: pas de packs lourds à porter!
– La potabilité: elle est vérifiée au quotidien par de multiples analyses et doit satisfaire à une cinquantaine de normes garantissant sa faible teneur en microbes, nitrates, métaux lourds (arsenic, cadmium…).
En cas de non-conformité, des mesures correctives sont prises rapidement, sinon sa consommation est déconseillée et sa distribution suspendue. L’enquête 2021 de l’association de consommateurs UFC-Que Choisir, à partir des données des agences régionales de santé (ARS), indique une conformité dans 98% des cas.
• Les moins:
– Des résidus indésirables. UFC-Que Choisir et Générations futures, une association qui soutient l’agriculture durable, alertent sur la présence possible de pesticides, en particulier dans les zones agricoles. D’un département à l’autre, les ARS recherchent un nombre de substances variant de 12 (dans l’Aisne) à 609 (dans le Var).
En outre, ne pas dépasser la norme autorisée n’est pas une garantie d’innocuité. Même à dose infinitésimale, certaines substances agissent comme des perturbateurs endocriniens interférant avec nos hormones. Leur ingestion est particulièrement problématique durant la petite enfance, la puberté et la grossesse.
◊ L’eau en bouteille, pauvre en nitrates, riche en minéraux
Issues de nappes souterraines protégées, eaux de source et eaux minérales ne nécessitent pas de traitement. L’eau minérale provient d’une source unique. Sa composition est invariable. L’eau de source vendue sous une même marque peut provenir de sources différentes et sa composition peut donc changer.
Les plus:
La quasi-absence de nitrates (qui proviennent des engrais chimiques), car ces eaux sont prélevées à l’abri de la pollution. Leur consommation est recommandée aux femmes enceintes ou allaitantes et aux nouveau-nés.
– Il en existe pour la plupart des besoins. Les eaux faiblement minéralisées affichent une minéralisation totale ou « résidu sec » inférieure à 500mg par litre (Évian, Mont Roucous, Volvic…) et peuvent être bues par tous, notamment en cas de calcul rénal. Celles « riches en calcium » comptent plus de 150mg de calcium par litre (Vittel, Courmayeur…) et sont utiles aux petits consommateurs de produits laitiers.
Les eaux « riches en magnésium » avec plus de 50mg par litre (Sanpellegrino, Contrex, Hépar) complètent les apports de ce minéral dont manque une majorité de Français. Celles « riches en bicarbonates » (Badoit, Quézac, St-Yorre) sont conseillées en cas de lourdeurs d’estomac ou après un entraînement sportif.
• Les moins:
Un bilan carbone élevé: il faut notamment beaucoup d’énergie pour fabriquer les bouteilles et les transporter. Cela représente 150 000 tonnes d’emballages par an.
– Une forte pollution: depuis peu, certaines marques utilisent du « PET » (polytéréphtalate d’éthylène) recyclable, mais ce n’est pas le cas de toutes. En outre, seulement 61% des bouteilles recyclables ont été recyclées en 2021, selon l’Agence de la transition écologique.
Or le plastique déversé dans la nature se dégrade en microplastiques qui polluent les sols, les eaux et l’air et qui sont massivement ingérés par les animaux… et se retrouvent dans nos assiettes. Huit millions de tonnes de bouteilles en plastique sont rejetées dans les océans tous les ans!
– Une source potentielle de perturbateurs endocriniens. Les bouteilles exposées à la chaleur (sur un parking, dans une voiture…) libèrent des produits de décomposition du PET, notamment des additifs qui migrent dans l’eau et sont ensuite ingérés.
En prévention, sauf bouteilles en verre ou transvasement dans une gourde en inox, il faut les stocker dans une pièce fraîche. Et espérer qu’elles n’aient pas stationné avant l’achat en plein soleil.
- Laisser couler l’eau quelques secondes pour éliminer celle qui stagne dans les canalisations et éviter les microbes.
- N’utiliser que de l’eau froide en cuisine pour ne pas ingérer de plomb.
- Placer l’eau 30minutes dans une carafe avant de la boire pour éliminer l’odeur de chlore.
- Utiliser une carafe filtrante et changer la cartouche au rythme prévu si l’eau est très calcaire
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «notretemps.com»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Travaux de rénovation énergétique : les réflexes pour éviter les arnaques
Vous souhaitez isoler vos combles ou remplacer votre chaudière au fioul ou au gaz ? L’Agence nationale de l’habitat vous donne quelques conseils pour éviter les pratiques commerciales trompeuses.
Avec la flambée des prix de l’énergie, certains ménages sont tentés d’entreprendre des travaux de rénovation énergétique pour réduire leur facture de chauffage. Un arsenal d’aides financières nationales et locales – Ma Prime Rénov, éco-prêt à taux zéro, CEE – a d’ailleurs été mis en place, ces dernières années, pour les encourager à passer à l’acte. Malheureusement, cette multiplication des coups de pouce a attiré de nombreuses entreprises et artisans peu scrupuleux.
Démarchage abusif abusif, travaux mal réalisés ou inachevés, devis non conformes, crédits cachés, labels de qualité mensongers, usurpation d’identité… Les pratiques frauduleuses dans ce secteur sont fréquentes. Aussi, l’Agence nationale de l’habitat (ANAH) a décidé de rappeler les 5 bons réflexes à avoir lors de la réalisation de travaux de rénovation énergétique pour éviter les mauvaises surprises.
1. Bien préparer votre projet
Avant de vous lancer, il est recommandé de consulter la plateforme France-renov-gouv.fr, qui est le nouveau service public unique pour s’informer au sujet de la rénovation de l’habitat. Vous y trouverez un outil de simulation permettant d’identifier les aides financières disponibles pour vos travaux, ainsi qu’un annuaire des artisans qualifiés. Vous pourrez également joindre un conseiller France Rénov’ pour recevoir des conseils gratuits personnalisés. Pour cela, vous pouvez soit téléphoner au 0 808 800 700 (joignable du lundi au vendredi, de 9h à 18h), soit vous rapprocher de l’Espace conseil France Rénov’ le plus proche de chez vous.
Une fois que vous avez déterminé les travaux à réaliser, effectuez plusieurs devis afin de comparer les offres. « Prenez le temps de la réflexion : ne signez aucun devis ou prêt à la consommation dans la précipitation », insiste l’Anah. Prenez le temps de lire les documents complètement et assurez-vous que les entreprises disposent bien des labels de qualité annoncés et des qualifications professionnelles nécessaires. Attention, la possession d’un label de qualité n’est pas une garantie d’absence de tout risque de fraude.
2. Soyez vigilant en cas de démarchage
« Les administrations ne démarchent jamais les particuliers pour les travaux. Aucune entreprise ne peut se revendiquer de l’Anah ou d’un autre organisme public auprès des particuliers », rappelle l’Anah. De même, le démarchage téléphonique est interdit depuis juillet 2020. Si vous êtes démarché à domicile par un professionnel, il est conseillé de ne rien signer pendant la visite.
3. Pilotez vous-même votre demande d’aides financières
Pour toute demande de subvention, notamment Ma Prime Rénov’, créez votre compte vous-même et désignez ensuite l’entreprise comme mandataire. « En raison du risque d’usurpation d’identité, les entreprises ne sont pas habilitées à réaliser cette démarche, ni à utiliser les données fiscales ou personnelles de leurs clients », rappelle l’Anah.
Si vous n’êtes pas à l’aise avec les démarches numériques, demandez de l’aide à un proche ou rapprochez-vous d’une maison France services, du centre communal d’action sociale (CCAS) de votre commune ou d’un espace France Rénov. Vous serez accompagné gratuitement.
4. Suivez la réalisation des travaux
En cas difficultés lors des travaux (défaut, abandon de chantier, etc.), prenez contact avec la Direction général de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) sur le site Signal.conso.gouv.fr.
5. Réceptionnez vos travaux avec vigilance
Enfin, avant de signer la réception des travaux, veillez bien à vérifier leur conformité avec le devis. En cas de litige, vous pouvez saisir gratuitement le médiateur de la consommation.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «dossierfamilial.com»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Les dates des soldes d’été en 2022
Les dates des soldes sont fixées par la loi. Retrouvez le calendrier des soldes d’été en 2022, selon votre lieu d’habitation.
◊ Les soldes d’été 2022 en France métropolitaine
Dans la majorité des départements métropolitains, la date du début des soldes est fixée au mercredi 22 juin. Les soldes s’achèveront le mardi 19 juillet 2022.
Cependant, notez que les départements métropolitains suivants disposent de dates de soldes spécifiques :
- Alpes-Maritimes (06) et Pyrénées Orientales (66) : du mercredi 6 juillet à 8h00 au mardi 2 août.
- Corse (2A et 2B) : du mercredi 13 juillet à 8h00 au mardi 9 août.
◊ Les soldes d’été 2022 dans les Outre-Mer
En Outre-Mer, les dates des soldes sont les suivantes :
- Guadeloupe (971) : du samedi 24 septembre à 8h00 au vendredi 21 octobre.
- Martinique (972) : du jeudi 6 octobre à 8h00 au mercredi 2 novembre.
- La Réunion (974) : du samedi 5 février à 8h00 au vendredi 4 mars.
- Saint Pierre-et-Miquelon (975) : du mercredi 20 juillet à 8h00 au mardi 16 août.
- Saint-Barthélemy (977) : du samedi 8 octobre à 8h00 au vendredi 4 novembre.
- Saint-Martin (978) : du samedi 8 octobre à 8h00 au vendredi 4 novembre.
Bon à savoir : Pour le commerce en ligne ou vente à distance (e-commerce), les dates des soldes sont alignées sur les dates nationales du commerce traditionnel, quel que soit le lieu du siège de l’entreprise.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «economie.gouv.fr»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Droit à l’oubli pour les malades du cancer, assurance-emprunteur…
Du nouveau pour les emprunteurs à partir du 1er juin 2022. Grâce à l’entrée en vigueur de la Loi Lemoine, votée en février 2022, l’accès au prêt est simplifié pour bon nombre de personnes et la renégociation de l’assurance emprunteur est encore facilitée.
◊ Le droit à l’oubli est réduit à 5 ans pour les anciens malades du cancer ou d’hépatite C
Les personnes ayant eu un cancer, quel que soit le type, ou une hépatite C, n’auront plus l’obligation de déclarer leurs antécédents médicaux dans le cadre des demandes de prêt ou d’assurance, cinq ans après leur guérison. Jusque-là, le délai était de 10 ans. Cette mesure devrait éviter les refus de prêt ou les surprimes pour les anciens malades.
◊ Possibilité de résilier son assurance-emprunteur « à tout moment » pour renégocier
Pour ceux qui signent une offre de prêt à partir du 1er juin, il est désormais possible de résilier son contrat d’assurance-emprunteur « à tout moment ». Avec l’idée, bien sûr, de le renégocier au mieux. Pour les contrats déjà en cours avant le 1er juin, cette liberté de résilier à n’importe quel moment ne sera possible qu’à partir du 1er septembre. Les assureurs ont l’obligation de communiquer auprès de leurs clients de cette nouveauté. Auparavant, l’assurance-emprunteur ne pouvait être résiliée que lors des 12 premiers mois, ou, ensuite, à la date anniversaire.
◊ Fin du questionnaire médical pour les emprunts de moins de 200 000 euros (et les plus jeunes)
Il est désormais possible d’emprunter 200 000 euros sans remplir un questionnaire médical. Un couple pourra donc emprunter jusqu’à 400 000 euros sans avoir besoin de remplir ce document. Attention toutefois, cette mesure ne concerne que les plus jeunes des emprunteurs, ceux qui auront moins de 60 ans à la fin de leur prêt.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «notretemps.com»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Android et iPhone vous pistent à votre insu, comment effacer l’historique GPS?
Par défaut, les smartphones Android et les iPhone suivent et gardent un historique (plus ou moins) de la localisation de l’utilisateur. Voici ce qu’il faut savoir et comment l’effacer.
Tous les smartphones pistent par défaut leurs utilisateurs – y compris les iPhone. Normalement ces données de localisation sont chiffrées et doivent rester privées. Mais elles peuvent permettre à une personne mal intentionnée (de votre entourage ou non) de retracer le parcours d’une personne. Ce qui peut, par exemple, aider à se rendre compte d’une liaison adultère, ou autre coin du jardin secret de l’utilisateur.
Sur iPhone, Apple explique “votre iPhone et vos appareils connectés à iCloud conservent un historique des lieux que vous avez récemment visités, ainsi que la fréquence et le moment de vos visites, afin de connaître les lieux importants dans votre vie. Ces données sont chiffrées de bout en bout et ne peuvent pas être lues par Apple. Elles servent, par exemple, à vous fournir des services personnalisés, tels que des itinéraires intuitifs, et à créer de meilleurs souvenirs dans Photos”.
Comprendre et comment désactiver l’historique de localisation sur votre smartphone
Sur Android, c’est surtout la fonctionnalité Timeline qui piste par défait la localisation de l’utilisateur. Android permet en effet de vérifier vos voyages à une date donnée dans la fameuse Timeline. Là encore, ces données de localisation permettent de délivrer des recommandations d’endroits que vous visitez souvent, mais aussi de vous donner l’heure idéale à laquelle vous devez partir de la maison pour être à l’heure au travail.
Google Photos utilise également ces données pour créer automatiquement des albums en fonction des lieux que vous visitez. On le voit, cette fonctionnalité n’est pas purement du pistage et se justifie par la grande panoplie de recommandations contextuelles que peuvent délivrer les smartphones et assistants vocaux en 2022. Dans les deux cas, il est possible de désactiver cet historique – mais il faut d’emblée comprendre que toute désactivation se fera ressentir dans l’expérience utilisateur car de nombreuses fonctionnalités (Photos, recommandations…) en dépendent.
◊ Désactiver ou supprimer l’historique de localisation sur iPhone
Sur iPhone la marche à suivre est très simple :
- Allez dans Réglages > Confidentialité > Service de localisation > Services système
- Touchez Lieux importants
- De là vous pouvez à la fois consulter, et effacer l’historique
Vous pouvez au passage totalement désactiver le service de localisation par défaut.
Pour cela:
- Allez dans Réglages > Confidentialité > Service de localisation
- Désactivez Service de localisation
◊ Désactiver ou supprimer l’historique de localisation sur Android
Sur les smartphones Android, la procédure est également relativement facile :
- Allez dans Système > Localisation > Services de localisation > Historique de localisation Google
- Vous pouvez alors supprimer les données, et désactiver totalement le pistage en tâche de fond de votre appareil
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «presse-citron.net»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Des promotions enfin mieux encadrées
Désormais, les vendeurs ne pourront plus calculer le montant des rabais à partir de prix de référence fantaisistes. Une bonne nouvelle qui n’arrive pas seule puisque d’autres dispositions favorables aux consommateurs entrent en vigueur dans le cadre de la directive européenne Omnibus.
Le 28 mai 2022 signera-t-il la fin des promos bidon ? En tout cas, à partir d’aujourd’hui, les commerçants devront appliquer des règles plus strictes pour calculer le montant des ristournes. Désormais, tout marchand organisant une opération commerciale (qu’il s’agisse de soldes, de promotions, de ventes privées, d’opérations type Black Friday, etc.) devra obligatoirement prendre comme prix de référence (ou prix barré, c’est-à-dire celui à partir duquel est calculé le montant de la ristourne) le prix le plus bas qu’il a pratiqué dans le mois précédant l’entrée en vigueur de la promotion. Concrètement, si le marchand veut vendre 90 € un produit qu’il a vendu entre 100 et 130 € dans les 30 jours précédant la promotion, le prix barré devra être de 100 €. La réduction affichée sera donc de 10 %. Les commerçants ne pourront plus choisir des prix plus élevés, parfois de manière arbitraire,comme ils le font par exemple lors du Black Friday.
Cette disposition n’est pas la seule à entrer en vigueur ce 28 mai. À partir de cette date, les marchands devront aussi :
- avertir leurs clients qu’ils sont susceptibles de pratiquer des prix individualisés en fonction des recherches et des habitudes de consommation de chacun ;
- mettre à la disposition de ceux qui souhaitent renoncer à leur droit de rétractation un formulaire comprenant, entre autres, une adresse électronique ;
- prendre des mesures pour vérifier que les clients ayant laissé un avis sur un produit ont bien acheté l’article ;
- informer le consommateur quand un produit présenté lors d’une recherche a bénéficié d’un meilleur classement grâce à une rémunération du fabricant.
Les marketplaces, quant à elles, seront désormais tenues de préciser si le vendeur est un professionnel ou non et si des liens capitalistiques existent entre elles et le marchand.
Nombreux sujets concernés par la directive
Ces nouvelles règles et bien d’autres découlent de la transposition dans le droit français de la directive européenne Omnibus, votée en novembre 2019. Celle-ci aborde d’autres sujets, comme les services numériques fournis gratuitement en contrepartie de la transmission de données à caractère personnel, les obligations d’information liées à la fourniture de contenus numériques sans support matériel ou encore les visites non sollicitées de professionnels au domicile des consommateurs.
Les peines applicables en cas de non-respect ont aussi été revues à la hausse. De quoi inciter, espérons-le, les marchands à mieux respecter le libre choix des consommateurs.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «quechoisir.org»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Le point sur les risques allergiques et les pollens
Rhinite, conjonctivite, asthme… Dans son bulletin du mercredi 25 mai 2022, le Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA) note la très forte présence des pollens de graminées sur la quasi-totalité du territoire.
Comment se manifeste l’allergie aux pollens
Les pollens sont responsables de réactions allergiques appelées pollinoses au niveau des muqueuses respiratoires et oculaires. Plus rarement, des réactions cutanées comme l’eczéma ou l’urticaire peuvent se développer.
Les principales manifestations de l’allergie pollinique sont la rhinite allergique ou la rhino-conjonctivite allergique, souvent appelée « rhume des foins », bien que cette dernière appellation fasse plus particulièrement référence à l’allergie aux pollens de graminées et à l’asthme allergique.
- limiter l’exposition ;
- suivre son traitement ;
- consulter un médecin ou un allergologue en cas de symptômes ;
- rincer ses cheveux le soir ;
- aérer au moins 10 minutes par jour avant le lever et après le coucher du soleil ;
- éviter de faire sécher le linge à l’extérieur ;
- garder les vitres des voitures fermées ;
- éviter les activités sportives à l’extérieur qui entraînent une surexposition aux pollens. La pollution atmosphérique peut exacerber les allergies aux pollens.
Le risque allergique prévisionnel est établi notamment à partir des quantités de pollens mesurées et des prévisions météorologiques.
À noter : Environ 20 % des enfants à partir de 9 ans et 30 % des adultes sont concernés par des allergies en France.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «service-public.fr»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Nos conseils pour la préparation des vacances
Transports, formalités douanières, hébergement, restauration, modalités de paiement… Retrouvez tous les conseils et astuces pour préparer et réussir vos vacances ! Tous les conseils par Bercy infos particuliers sur www.economie.gouv.fr
Transports
- Voyager en avion : connaître ses droits en cas de surbooking ou surréservation
- Voyager en avion : se faire dédommager en cas de bagage perdu ou endommagé
- Se faire rembourser un billet d’avion
- Obtenir une indemnisation pour un retard ou une annulation de train
- Voyager en bateau
- Voyager en autocar
- Voyager sur autoroute
- La pratique du covoiturage
Hébergement et restauration
- Séjourner en camping
- Séjourner en chambre d’hôtes
- Séjourner en établissement « marque qualité tourisme »
- Connaître ses droits en cas de litige avec un hôtelier
- Se loger et manger chez l’habitant
- Résidence de vacance à temps partagé
- Comment fonctionne la taxe de séjour sur les hébergements touristiques ?
- Se prémunir contre les faux avis de consommateur sur internet
- Réservez vos vacances sur une plateforme en ligne
Moyens de paiement
Téléphonie mobile
Formalités douanières
- Les obligations lors du passage en douane
- Les droits et taxes à acquitter sur les achats effectués à l’étranger
- Repérer une contrefaçon
Sports d’hiver
- Utiliser des pneus hiver ou des chaînes
- Bénéficier d’un dédommagement quand on n’a pas pu utiliser son forfait de ski
- Skier en toute sécurité
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «economie.gouv.fr»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
6 choses à savoir pour acheter d’occasion sans risque
Électroménager, hi-fi, meubles, vêtements, voiture… Les Français se tournent de plus en plus vers les produits d’occasion et de seconde main pour faire des économies. Des achats mieux protégés qu’on ne le croit.
1/ Acheter d’occasion à un professionnel
Certaines enseignes se sont spécialisées dans l’occasion, ou proposent des produits de seconde main à côté de leur catalogue de neuf. Le choix est désormais large. « L’achat dans ce cas est sécurisé par des garanties, obligatoires pour certaines, mais qui restent mal connues des consommateurs », regrette Olivier Gayraud, juriste de l’association de consommateurs CLCV(Consommation Logement Cadre de Vie). Elles sont plus protectrices que les achats aux particuliers.
2/ Bénéficier d’une garantie légale
Même si votre produit est usagé, la garantie légale de conformité interviendra en cas de défaillance. Elle est inscrite dans le Code de la consommation (L.217-4 à 14). Sa durée est de deux ans à compter de l’achat ou de la livraison, tout comme pour les produits neufs. Mais une distinction est faite dans la charge de la preuve.
Pour les produits neufs, la « présomption d’antériorité du défaut » est de deux ans également. C’est-à-dire que pendant toute la durée de la garantie, le consommateur n’aura pas à prouver que le défaut était présent au moment de la vente.
Pour de l’occasion, la présomption n’est que de six mois: au-delà, et jusqu’au terme des deux ans de garantie, il appartiendra alors à l’acheteur de démontrer que le défaut existait au moment de l’acquisition et qu’il ne le connaissait pas. Le produit doit être réparé ou remplacé. À défaut, il est remboursé.
3/ Obtenir une garantie commerciale (ou pas)
La garantie commerciale (ou contractuelle) est un engagement supplémentaire, gratuit ou payant, du vendeur professionnel à assurer une garantie dans des conditions facilitées, pendant un an par exemple pour de nombreuses enseignes. Cette garantie commerciale n’est pas exclusive de la garantie légale de conformité qui s’appliquera jusqu’au terme des deux ans. Sauf modalité plus favorable que cette dernière (remplacement par du neuf, mise à disposition d’un produit de remplacement), vous pouvez vous abstenir de la payer.
4/ Faire jouer la garantie des vices cachés
Cette garantie est plus délicate à obtenir. Vous devrez démontrer l’existence d’un défaut non apparent mais existant au moment de l’achat et qui empêche ou limite l’usage du bien. Vous pouvez vous appuyer sur des devis de réparation, des pannes similaires recensées sur le même produit, voire une expertise – d’un montant parfois élevé. Mais elle peut s’exercer dans les deux ans à compter, cette fois, de la découverte du vice. Faute d’accord avec le vendeur, vous devrez saisir la justice.
5/ Achat aux particuliers
Dans ce cas, la vigilance est de mise, car l’article ne sera pas couvert par la garantie légale de conformité ni par une garantie commerciale à dater de son achat. Si l’article a moins de deux ans, un reliquat de la garantie légale de conformité pourra s’appliquer. La garantie commerciale ou d’éventuelles extensions de garantie (assurances) ne sont pas toujours transmissibles: vérifiez sur le bon de garantie ou les contrats; si nécessaire renseignez-vous auprès de l’enseigne qui a vendu l’article.
La garantie des vices cachés est en revanche toujours exerçable: elle est inscrite dans le Code civil (art.1641 à 1649) et couvre à ce titre les achats à des particuliers comme aux professionnels (à l’exception des biens acquis en vente aux enchères).
Dans tous les cas, demandez la facture originale ou une preuve d’achat pour faire jouer une garantie, mais aussi pour éviter de vous trouver en situation de recel d’un bien qui aurait été volé ou déjà recelé par le vendeur.
6/ Qu’est-ce qu’un produit reconditionné?
Un article « reconditionné » est-il plus fiable qu’une simple occasion? Ce peut être le cas, notamment parce que les professionnels proposent souvent une garantie commerciale sur ces produits. Mais la mention « reconditionné » n’est pas définie légalement. Chaque distributeur est libre des vérifications et contrôles qu’il souhaite effectuer.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «notretemps.com»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Conférence-débat à Epinal le 16 juin 2022 par Arthur KELLER, Salle de la Louvière
Arthur Keller est né en 1975. Il a signé ou cosigné articles, tribunes, chapitres de livres collectifs et vidéos sur les questions de transition écologique, de limites et vulnérabilités des sociétés modernes, de risques systémiques, de stratégies de résilience collective, de sécurité globale – alimentaire, énergétique, civile, socio-économique, sanitaire – des territoires, ainsi que de l’usage des récits comme leviers de transformation collective.
Arthur Keller travaille sur la convergence des résultats de l’ensemble des disciplines relatives à l’environnement (changement climatique – chute de la biodiversité – raréfaction et pénurie de ressources..) qui vont toutes vers une crise climatique et sociétale globale confirmée par un solide corpus scientifique.
La plupart des grandes crises de notre temps ont beau avoir été identifiées, les « solutions » apportées jusqu’ici ne s’attaquent jamais à la racine des problèmes.
Arthur Keller nous invite à réaliser la nature systémique, interconnectée, de ces enjeux et à mettre en place des stratégies au niveau requis de radicalité. Il suggère des clefs pour amorcer une transformation salutaire dans le cadre d’une résilience territoriale.
Lors de cette conférence-débat, l’expert et auteur aura l’occasion de nous présenter son constat et surtout les réponses qu’il propose, ainsi que sa vision des grandes transformations à entreprendre sans plus attendre.
Un temps d’échange salutaire, enthousiasmant et, nous n’en doutons pas, mobilisateur.
Prêt immobilier : À quoi correspond l’accord de principe ?
Dans le cadre de votre demande d’un prêt immobilier, l’établissement de crédit vous demandera plusieurs documents afin de justifier de vos capacités de remboursement. Dans le parcours d’acceptation de votre dossier, l’accord de principe constitue une étape clé. Que vaut alors réellement l’accord de principe ? Quel est son rôle dans le parcours de financement par une banque ? Réassurez-moi vous aide à comprendre.
1. Qu’est-ce qu’un accord de principe ?
Il est en premier lieu nécessaire de définir clairement l’accord de principe, dans l’optique de pouvoir en comprendre toutes les subtilités. L’accord de principe est un document remis par la banque attestant de sa volonté de poursuivre les démarches engagées par le demandeur d’emprunt. Il s’agit uniquement d’un consentement mutuel des deux parties sur les modalités du crédit accordé : l’accord de principe n’a donc aucune teneur officielle qui engagerait l’établissement de crédit.
Il est important de bien comprendre le caractère officieux de l’accord de principe : beaucoup de particuliers pensent effectivement qu’il s’agit de l’acceptation effective de leur demande de crédit, or ce n’est pas le cas. Ce document valide simplement l’étude préalable de votre dossier par la banque, qui est alors disposée à poursuivre les démarches engagées pour accorder la solution de financement.
2. Quels sont les délais liés à l’accord de principe ?
Le cadre légal ne prévoit aucune disposition particulière obligeant les banques à fournir une réponse dans un délai imparti après le dépôt du dossier par le demandeur d’emprunt. La réponse, représentée par l’accord de principe ou la volonté de ne pas donner suite, intervient généralement entre 4 à 6 semaines après la présentation des documents nécessaires à la banque.
Il convient toutefois de demander directement à votre conseiller sous quel délai il estime pouvoir vous fournir une réponse (et donc donner son accord de principe). La période peut varier en fonction du nombre de dossiers à traiter ou de la qualité de votre demande.
L’accord de principe ne constitue pas la validation officielle et effective de la demande de prêt immobilier. L’acceptation définitive n’est matérialisée que par l’offre de prêt dûment signée par les deux parties. Il convient alors de présenter le dossier le plus solide et le plus clair possible, facilitant au maximum son étude par la banque.
Ainsi, plus vous sollicitez de banque, plus vous aurez de chance qu’une d’elle vous donne son accord de principe. Notre simulateur de prêt immobilier vous présente les offres les plus intéressantes en 2022. C’est le meilleur moyen de mettre toutes les chances de votre côté !
3. Comment obtenir un accord de principe ?
Si l’accord de principe constitue l’une des premières étapes de l’obtention d’un prêt immobilier, il suppose quelques règles qu’il est nécessaire de prendre en compte.
Les documents à fournir pour l’accord de principe:
Dans le but de pouvoir prétendre à l’obtention d’un crédit immobilier, la banque vous demandera de produire certains documents, indispensables à l’étude de votre dossier. Les principaux sont :
- derniers bulletins de salaire ;
- avis d’imposition ;
- relevés de comptes bancaires.
Ces documents visent à établir la solidité de la demande et à démontrer des garanties adéquates dans l’optique d’obtenir un accord de principe. La banque pourra notamment étudier la « santé financière » du demandeur pour s’assurer de ses futures capacités de remboursement. La non présentation des papiers en question ne vous permettra même pas d’accéder à l’étude plus approfondie de votre dossier.
Établissement de la solvabilité de l’emprunteur:
Dans le cadre d’un prêt immobilier, la solvabilité représente la mesure de la capacité de l’emprunteur à rembourser ses dettes. Les documents présentés sont utilisés dans le but d’établir cette solvabilité : il s’avère que le bénéficiaire du prêt doit être en mesure de rembourser son créancier. L’acceptation du dossier peut finalement être conclue par la banque, accord qui repose sur la bonne santé financière du particulier. Ainsi, souscrire un prêt en étant interdit bancaire s’avère généralement plus compliqué.
Les établissements de crédit peuvent notamment se tourner vers le FICP (Fichier des Incidents de remboursement des Crédits aux Particuliers) ; il recense les personnes ayant présenté un défaut de remboursement avéré pour les 5, voire 7 dernières années.
Un particulier est notamment inscrit dans ce fichier FICP en cas de :
- non-paiement de 2 mensualités consécutives de crédit ;
- découvert autorisé utilisé de manière abusive ;
- mise en demeure de payer tout ou partie du capital restant dû qui resterait sans suite.
L’inscription sur ce fichier est particulièrement préjudiciable et entraîne généralement un refus d’acceptation du prêt immobilier.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «reassurez-moi.fr»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Assurance vie: 6 astuces pour retirer votre argent sans impôt ou presque
L’argent sur votre contrat d’assurance vie vous appartient et vous pouvez le reprendre quand vous voulez. Les intérêts sont taxés mais avec un peu d’astuce votre impôt sera réduit à zéro ou très peu.
Non, l’argent placé sur votre assurance vie n’est pas bloqué! Vous pouvez y puiser quand bon vous semble en effectuant ce que l’on appelle un rachat partiel. Vous récupérez une partie de votre épargne, mais votre contrat continue d’exister et de générer des intérêts sur le capital restant. Vous hésitez, de peur de devoir payer des impôts? Pas d’inquiétude ! D’abord, vous pouvez peut-être retirer en exonération totale d’impôt. Ensuite, lorsqu’elle s’applique, la fiscalité est assez limitée.
Si vous détenez un vieux contrat d’assurance vie, les intérêts générés par les sommes investies avant le 1er janvier 1998 sont totalement exonérés d’impôt sur le revenu.
2- Faites vos calculs et profitez au maximum de l’abattement fiscal
Pour les versements effectués après et jusqu’au 27 septembre 2017, la fiscalité est allégée en cas de retrait au moins 8 ans après la souscription du contrat: les intérêts ne sont imposés qu’à 7,5% après un abattement de 4 600€ si vous êtes seul(e) ou 9 200€ si vous êtes en couple.
Un abattement de 4600€ signifie que vous pouvez retirer beaucoup plus d’argent sans impôt. En effet, sur la somme retirée, seule la partie intérêts est imposable.
Pour exemple: Vous avez ouvert votre contrat d’assurance vie avec 10000€. Quinze ans plus tard celui-ci vaut 25000€. La part des intérêts est donc de 25000 – 10000 = 15000€, soit 60% de la valeur totale de votre contrat.
Si vous retirez 5000€, la compagnie d’assurance appliquera la même proportion: 60% d’intérêt. C’est à dire que sur 5000 euros retirés, il y aura 40% de capital et 60% d’intérêts. Soit 5000 x 60% = 3000 euros d’intérêts taxables.
L’abattement étant de 4600€ pour une personne, vous n’aurez aucune imposition (les prélèvements sociaux CSG, CRDS restent dûs).
Votre banquier ou votre assureur peut vous aider à faire le calcul pour bien utiliser votre abattement.
3- Entre deux contrats de moins de 8 ans, piochez dans le moins taxé
Si vous détenez deux contrats de moins de 8 ans, il vaut mieux privilégier la sortie des contrats plus récents: « entre 2 contrats de moins de 8 ans, l’un souscrit avant septembre 2017, l’autre après, mieux vaut privilégier la sortie du plus récent: les intérêts sont imposés à 12,8%. En revanche si vous avez fait desversements sur les contrats antérieurs, en cas de sortie entre 4 et 8 ans, ils sont imposés à 15% », nuance Florence Brau Billod, présidente de Patrimoine SA à Marseille.
4– Privilégiez les retraits sur les contrats les moins performants
Lisez les documents remis par votre compagnie d’assurance: ils vous indiquent la valeur de votre contrat et le montant cumulé des produits, c’est-à-dire des intérêts. Pour savoir quelle est la proportion de capital et d’intérêts, divisez le montant des produits par la valeur du contrat. Si vous détenez deux contrats, réalisez la même opération sur les deux. Si vous ne pouvez profiter des abattements, choisissez le contrat le moins performant: vous aurez moins d’intérêts dans la part retirée et donc moins d’impôts à payer.
Mots clés :#Actions locales#Alertes #Alimentation #Assurances #Automobiles/Motos #Banques #Commerce/E-commerce #Droit/Justice/Administration #Energies #Environnement #Immobilier/Construction #Loisirs/Tourisme/Voyages #Santé/Bien-Etre
Un mot clé permet de lister tous les articles proposés au sein desquels ce mot-clé est présent.
Exemple saisir #San dans le moteur de recherche situé au-dessous de “Soutenez-nous” permet de lister tous les articles qui proposent un article relatif à la santé.
De même #Lég listera les articles ayant trait à la législation.
A propos de cet article dont la source est «notretemps.com»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.