Face à la hausse des prix de l’énergie, la ruée sur les granulés de bois, pourquoi ?
La hausse du prix des autres énergies renforce la demande sur les granulés, dopée par une très forte hausse des ventes de poêles et chaudières en 2021.
Une flambée de la demande, des points de vente en rupture…Pas simple pour les usagers des poêles à granulés de s’approvisionner actuellement. On ne peut pas parler de pénurie, mais le marché « en tension ». Entretien avec Éric Vial, délégué général de Propellet, l’association nationale des professionnels du chauffage au granulé de bois.
Les sacs de pellets (granulés) sont parfois difficiles à trouver cet hiver. Il y a pénurie ?
Non, mais il y a actuellement une tension sur le marché. Perceptible depuis l’automne, elle s’est amplifiée sous l’effet d’une très forte demande. Il faut dire, qu’en un an, il s’est vendu deux fois plus de chaudières à granulés et les poêles à pellets ont enregistré 50 % de ventes supplémentaires.
Cette flambée de la demande a pris la filière de court ?
Anticipant la sortie progressive du chauffage au fioul, la filière s’était préparée à une augmentation de la consommation de granulés.
Mais ce que les producteurs n’ont pas vu venir, c’est à quel point l’augmentation du prix des autres énergies (électricité, gaz…) allait avoir un impact sur le pellet : tous les particuliers qui utilisaient leur poêle à granulés en chauffage d’appoint (environ 20 % des usagers) se sont mis à s’en servir beaucoup plus afin de s’affranchir du surcoût lié aux autres énergies de la maison. L’incidence est significative sur la consommation de pellets. D’autant que les collectivités et les entreprises ont parfois fait de même.
La production va-t-elle suivre ?
Il n’y a pas péril en la demeure : la filière continue de se consolider. Elle est passée de 50 000 tonnes en 2005 à 1,9 million de tonnes en 2020, puis à 2,4 millions l’an dernier !
Et la consommation de cette énergie renouvelable, économique et française est appelée à s’amplifier. Pour ce faire, d’ici 2023-2024, une quinzaine d’usines vont sortir de terre ou s’agrandir pour augmenter la capacité de production en granulés, obtenus par compression de la sciure de bois.
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A propos de cet article dont la source est «ouest-france.fr»
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Achats en ligne : comment vérifier la fiabilité d’un site internet ?
Lorsque vous effectuez un achat en ligne, assurez-vous que le site sur lequel vous faites l’achat n’est pas une arnaque. Quels sont les conseils à suivre ?
◊ Vérifiez l’identité du vendeur et la réputation du site internet
Pour être sûr que le site sur lequel vous souhaitez acheter un produit est fiable, la DGCCRF recommande « d’entrer le nom du site ou du produit sur un moteur de recherche, éventuellement associé avec le terme arnaque ».
Dans les résultats de la recherche, vous pourrez vérifier si d’autres internautes ont déjà eu des mauvaises expériences avec le vendeur.
◊ Vérifiez les mentions légales et conditions générales de vente
Les sites internet ont l’obligation de publier les mentions légales : il vous est ainsi possible de vérifier le nom, la dénomination sociale, l’adresse, les contacts, etc. Il est conseillé également de prendre connaissance des conditions générales de vente (CGV) qui figurent généralement en bas de la page d’accueil. Vous pourrez avoir accès à un certain nombre de renseignements utiles : conditions de vente, barème des prix, réductions éventuelles de prix, conditions de règlement, etc.
◊ Soyez vigilant face à une offre trop alléchante
Faites attention aux offres trop alléchantes. Elles peuvent parfois cacher des arnaques. Même lorsqu’il ne s’agit pas d’arnaque, les vendeurs en ligne affichent parfois des offres très alléchantes, avec notamment de gros rabais, qui ne correspondent pas toujours à la réalité.La DGCCRF vous conseille de prendre le temps de comparer non seulement le coût du produit mais aussi sa disponibilité, le délai de livraison et les services annexes proposés (les garanties, notamment).
◊ Contrôlez les caractéristiques du produit ou du service
Par définition, contrôler les caractéristiques d’un produit acheté en ligne est très compliqué puisque vous ne pouvez ni le toucher, ni l’essayer, ni interroger le vendeur.
Il vous est donc conseillé de lire attentivement le descriptif du produit. pour avoir accès à un maximum d’informations sur le produit ou le service acheté : dénomination complète, qualité, taille ou mesures, composition, accessoires fournis, etc.
Dernier conseil : ne vous contentez pas uniquement de la photo !
◊ Ne vous fiez pas uniquement aux avis des consommateurs
Les avis des consommateurs ne sont pas toujours fiables.
Qu’il s’agisse de faux avis positifs postés par le professionnel, ou par son agence de communication, ou d’avis négatifs rédigés par un concurrent, les faux commentaires sur les sites en ligne trompent le consommateur et faussent la concurrence, même si la pratique des faux commentaires est interdite en France.
Pour en savoir plus sur les avis de consommateurs sur internet, vous pouvez consulter notre article dédié : Peut-on faire confiance aux avis en ligne ?
◊ Préférez un site européen ou français
Il est conseillé de choisir un site français ou européen, afin de vous garantir des droits (comme le droit de rétractation par exemple) que ne garantissent pas les sites installés hors de l’Union Européenne. En cas de litige, vos recours contre des sites étrangers hors UE, auront moins de chance d’aboutir.
De même, les sites internet installés hors de l’Union européenne n’indiquent pas toujours les droits de douane et de TVA.
Bon à savoir : Comme l’indique la DGCCRF, sachez qu’un site en « .fr » ne garantie pas qu’il soit édité par une société française. La lecture des « mentions légales » permet de lever toute ambiguïté.
◊ Soyez vigilant lors du paiement
Avant de payer, le vendeur doit vous permettre de vérifier le détail de votre commande et son prix total. La DGCCRF explique : « Le consentement se caractérise par un double clic :
- le 1er clic permet de vérifier la nature et la composition de la commande
- le 2ème clic permet de confirmer définitivement la commande. »
Au moment de payer, vérifiez que le site sur lequel vous êtes en train de payer est bien sécurisé. Sur certains sites, l’url de la page « http:// » devient « https:// », avec l’ajout du « s » pour « Secure », un cadenas fermé peut aussi apparaître dans la fenêtre de votre navigateur. La DGCCRF précise que : « le vendeur doit vous confirmer que votre page est bien sécurisée dans une fenêtre de dialogue avant le début de toute transaction. »
Pour plus de sécurité lors du paiement en ligne, il est aussi recommandé de choisir une double précaution auprès de votre banque pour effectuer votre achat. Il s’agit par exemple de confirmer votre achat grâce à un code reçu par sms.
Bon à savoir : La CNIL déconseille également de laisser certaines applications et certains navigateurs internet enregistrer vos coordonnées bancaires pour ne pas avoir à les retaper ultérieurement. Ces terminaux ne garantissent pas toujours la sécurité de données bancaires.
- Une fois la commande passée, vous devez recevoir la confirmation du contrat listant notamment les biens ou services achetés, le prix, le délai de livraison ainsi que le formulaire type de rétractation.
- Il vous est également conseillé – après avoir réglé votre achat – de vérifier que le montant débité sur votre compte correspond bien à la commande effectuée.
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Payer avec son smartphone : les réponses aux questions que vous vous posez ?
Votre téléphone peut remplacer votre carte bancaire en toute sécurité. Découvrez comment utiliser facilement ce nouveau moyen de paiement très pratique.
Payer sans contact avec notre carte bancaire est devenu une habitude, mais saviez-vous que vous pouvez également effectuer un paiement directement avec votre smartphone? On appelle aussi ça le M-Paiement. Voici comment activer votre carte bancaire sur votre téléphone et les réponses aux questions que vous vous posez sur ce système.
1) Comment activer le paiement avec mon smartphone?
Vous aurez besoin d’un smartphone compatible avec la norme « NFC » (Near Field Communication). Cette technologie permet un échange quand les appareils sont à moins de 10 cms. La plupart des appareils Android sont compatibles depuis plusieurs années et les smartphones Apple le sont depuis l’iPhone 6.
Vous devez ensuite installer une application de paiement compatible avec votre smartphone et votre banque. Si vous avez un téléphone Samsung vous pouvez télécharger Samsung Pay, si c’est un iPhone vous disposez d’Apple Pay accessible depuis l’application Wallet présente sur votre appareil. Il existe aussi Google Pay et d’autres applications proposées par les banques.
Une fois installée vous devez paramétrer l’application. Ouvrez-la et suivez la procédure pour enregistrer votre carte bancaire, soit en la prenant en photo soit en enregistrant votre numéro, la date et le cryptogramme. Acceptez les conditions bancaires et la demande d’authentification envoyée par votre banque.
2) Comment payer avec votre smartphone en magasin?
Une fois que tout est paramétré, en magasin, il suffit d’approcher votre téléphone du terminal bancaire pour que votre application de paiement s’ouvre automatiquement. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez lancer l’application vous-même. Elle vous demandera alors de valider le paiement en vous authentifiant par code, empreinte ou reconnaissance faciale.
3) Où puis-je payer avec mon téléphone?
Partout où les commerçants acceptent le paiement sans contact.
4) Est-ce bien sécurisé?
Autant que pour le paiement par carte bancaire! Visa confirme: « Quelle que soit votre méthode d’authentification (empreinte digitale, reconnaissance faciale, code pin ou schéma de déverrouillage), votre carte est protégée. » Personne ne peut obtenir un paiement simplement en s’approchant de votre smartphone.
Votre smartphone est d’abord protégé par un mot de passe pour le déverrouiller, et le paiement doit être validé par votre authentification.
5) Faut-il du wifi pour payer avec mon mobile?
Non, pas besoin d’être connecté à internet, il faut que votre smartphone soit allumé et dans une zone de réseau a minima 3 ou 4G, ce qui est le cas en général dans les commerces.
6) Quel est le plafond maximum de paiement sans contact avec mon smartphone?
Le plafond peut largement dépasser les paiements de 50€. Il est fixé par votre banque.
7) Existe-t-il des frais supplémentaires?
Aucun pour les paiements délimités par votre banque pour votre carte bancaire (attention aux commissions à l’étranger).
8) Que se passe-t-il en cas de vol ou perte de mon smartphone?
Votre appareil étant verrouillé par mot de passe et le paiement sujet à authentification, il n’y a théoriquement pas d’urgence à faire opposition sur votre carte bancaire. Mais si votre mot de passe était faible ou inexistant, c’est plus prudent! Par ailleurs vous profitez de la même protection de votre banque que lorsque vous payez avec une carte.
Bon à savoir:
- À l’étranger, en cas de problème de fonctionnement avec votre carte bancaire, votre smartphone peut très bien marcher pour payer si vous avez activé cette fonction!
- Si vous avez une montre connectée type Apple Watch ou Samsung Galaxy Watch vous pouvez aussi payer avec.
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Prêt sur gage : comment ça marche ?
Avec l’inflation, le recours au prêt sur gage est en augmentation en France. Cette forme de crédit permet d’obtenir du cash sans attendre, en échange d’un ou plusieurs objets de valeur laissés dans un coffre.
Face à la hausse de prix et des taux d’intérêt, de plus en plus de Français se tournent vers le prêt sur gage pour pouvoir emprunter. Alternative au prêt personnel ou au crédit renouvelable, cette forme de crédit permet d’obtenir immédiatement une somme d’argent en contrepartie de la remise temporaire d’un objet de valeur.
◊ Comment obtenir un prêt sur gage ?
Il faut se rendre auprès d’une caisse de Crédit municipal. Seuls ces établissements publics peuvent, en effet, consentir des prêts sur gage. Il existe aujourd’hui 49 agences réparties dans toute la France, comme à Paris, Lyon, Marseille, Lille, Bordeaux ou encore Grenoble. Pour trouver la caisse la plus proche de chez vous, rendez-vous sur le site Pretsurgage.fr.
En pratique, il vous faudra présenter une pièce d’identité, un justificatif de domicile de moins de trois mois et un ou plusieurs objets à gager. Après examen, un expert détermine la valeur de l’objet sur le marché des ventes aux enchères publiques. Si un prêt est accordé, son montant peut aller de 50 à 70 % de cette valeur estimée. Un contrat écrit de 6 mois à 1 an est alors établi et la somme d’argent est remise immédiatement en espèces si elle est inférieure à 3 000 euros. Au-delà, elle est versée par chèque ou par virement. L’objet est conservé en toute sécurité dans une chambre forte.
Attention ! Une fois que vous avez signé votre contrat et déposé l’objet en gage, vous ne pouvez plus changer d’avis.
◊ Quels objets de valeur peut-on déposer ?
Vous pouvez déposer en gage toutes sortes d’objets : bijoux en or ou en argent, montres, sculptures, instruments de musique, horlogerie, livres de collection.
Certains crédits municipaux acceptent également les pièces et lingots d’or, les vins de grands crus, les porcelaines et faïences, les tapis, les vêtements et accessoires griffés, les vélos, les ordinateurs, les jouets de collection, les voitures et motos de collection, les armes anciennes, les bandes dessinées, les photos, les objets d’archéologie.
Pour certains objets, vous pourrez avoir besoin de présenter un justificatif de propriété (une facture à votre nom, par exemple).
◊ Quel est le coût du prêt ?
Le taux d’intérêt varie en fonction de la somme empruntée (2 % pour un prêt jusqu’à 300 €, 7,8 % pour un prêt de 300 à 1 000 € au Crédit municipal de Paris, par exemple). Des frais de garde de l’objet déposé peuvent aussi être facturés.
◊ Quand et comment récupérer l’objet ?
Vous pouvez récupérer votre objet en remboursant le prêt, augmenté des intérêts, au terme du contrat ou avant. Il vous est aussi possible de reconduire le prêt pour la même période en payant seulement les intérêts.
Enfin, si vous ne pouvez pas rembourser, votre bien sera vendu aux enchères. Si le prix de vente est supérieur au montant des intérêts dus au Crédit municipal, la différence (le boni) vous sera reversée. A l’inverse, si le prix de vente ne suffit pas pour couvrir le paiement des intérêts, la perte sera supportée par l’établissement et vous n’aurez rien à payer.
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Audit énergétique : Obligatoire dès septembre pour les maisons classées F ou G
L’audit énergétique obligatoire devait initialement entrer en vigueur début 2022, il a été reporté pour que les professionnels aient le temps de se former. C’est à partir du 1er septembre qu’il sera exigé pour vendre une maison classée F ou G.
Cette fois le décret et son arrêté sont parus, l’ audit énergétique devient obligatoire pour la vente de maisons individuelles classées F ou G à compter du 1er septembre 2022. Le professionnel effectuera au minimum une visite du logement, il devra dresser un état des lieux des performances énergétiques du logement, identifier ses déperditions thermiques et les éventuelles pathologies du bâtiment et, à partir de là, faire deux propositions de travaux permettant de parvenir à une rénovation performante.
L’une passe en revue les six postes de travaux nécessaires pour parvenir à la classe énergétique B par étapes et dans un ordre cohérent, avec l’atteinte de la classe E en une fois, puis éventuellement celle de la classe C, avant la basse consommation. L’autre permet d’y arriver en une seule étape.
Ces six postes comprennent l’isolation des murs, celle des planchers bas, de la toiture, les fenêtres et portes très isolantes, le système de ventilation, le mode de chauffage et de production d’eau chaude, le tout sans ponts thermiques et en assurant l’étanchéité à l’air du logement. L’auditeur fournit aussi l’estimation du coût de travaux, les aides possibles, la classe atteinte pour chaque poste dans la rénovation par étapes.
Les seules exceptions admises à l’objectif de la classe B consistent en un coût disproportionné par rapport à la valeur vénale du bien ou tiennent à des caractéristiques incompatibles.
Si le syndicat des diagnostiqueurs immobiliers Sidiane juge cette entrée en vigueur encore prématurée, le problème principal est sans doute ailleurs. Les professionnels de l’audit énergétique s’appuieront en effet sur le diagnostic de performance énergétique pour définir la performance du logement. Compte tenu des aberrations du nouveau DPE, relatées à plusieurs reprises ces derniers mois par Que Choisir, on peut craindre le pire…
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Jobs d’été 2022 : à quel âge et dans quelles conditions ?
Livreur, caissier, agent de centre d’appel, animateur en centre aéré, hôtesse d’accueil dans un camping, saisonnier agricole, chargée des inscriptions des étudiants à la fac… Vous êtes à la recherche d’un job d’été pour financer vos études ou vos vacances ? À quel âge peut-on commencer à travailler ? Quels sont vos droits en tant que salarié ? Quel est le salaire minimum selon votre âge ? Des conditions de travail particulières sont-elles prévues ? Service-Public.fr répond à vos questions.
Un job d’été est un emploi comme un autre, il est donc soumis au droit du travail, à savoir en ce qui concerne :
- l’âge à partir duquel on peut travailler : vous pouvez travailler dès 16 ans avec l’autorisation écrite de votre représentant légal (père ou mère, par exemple). Le travail peut toutefois être autorisé à partir de 14 ans, mais des règles particulières doivent alors être respectée . Dans les faits, les employeurs recrutent davantage les jeunes de plus de 18 ans ;
- le salaire : il est versé chaque mois avec un bulletin de paie. Il est au moins égal au Smic pour les 18 ans et plus, sauf convention collective plus favorable. La rémunération minimale versée aux mineurs ayant moins de 6 mois d’activité professionnelle est de 80 % du Smic pour les moins de 17 ans et de 90 % du Smic pour les jeunes de 17 à 18 ans. Depuis le 1er mai 2022, le montant du Smic est de 10,85 € bruts de l’heure, soit 1 645,58 € bruts par mois sur la base de 35 heures hebdomadaires ;
- le contrat de travail : il est forcément à durée déterminée et peut prendre différentes formes (CDD, contrat de travail saisonnier, contrat de travail temporaire…) ;
- les conditions de travail : vous devez respecter les règles générales du travail. Vous êtes soumis aux mêmes obligations que les autres salariés de l’entreprise (respect du règlement intérieur par exemple) et vous avez accès aux mêmes avantages (cantines, pauses…).
Toutefois, si vous avez moins de 18 ans, vous bénéficiez de protections particulières :- durée maximale de travail : entre 14 et 16 ans, pendant les vacances scolaires, vous ne pouvez pas travailler plus de 35 heures par semaine ni plus de 7 heures par jour ;
- vous ne pouvez pas travailler la nuit ;
- vous n’avez pas le droit de faire certains travaux : les mineurs de 14 à moins de 16 ans travaillant pendant leurs vacances scolaires ne peuvent être affectés qu’à des travaux légers qui ne sont pas susceptibles de porter préjudice à leur sécurité, à leur santé ou à leur développement.
À noter : Un site internet dédié aux jobs d’été donne accès à toutes les informations pratiques à connaître (identifier le type de job que vous souhaitez, rédiger un CV et une lettre de motivation, organiser sa recherche…) et à des offres d’emploi. La plateforme 1 jeune, 1 solution propose également des offres d’emplois saisonniers ou des CDD.
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Pouvez-vous consulter un spécialiste sans passer par votre médecin traitant ?
Afin de permettre au patient de bénéficier d’un meilleur suivi médical, l’Assurance-maladie et les médecins ont défini un parcours de soins coordonnés. Explications.
Le patient désigne un médecin traitant – généraliste ou spécialiste – qu’il consulte en priorité pour son suivi au long cours. C’est ce médecin qui l’oriente vers d’autres médecins spécialistes, lorsque son état de santé le requiert. Le recours au médecin traitant n’est pas une obligation. Mais s’il ne respecte pas ce parcours de soins coordonnés, le patient est moins bien remboursé.
◊ Consulter directement certains spécialistes
Toutefois, vous pouvez consulter directement certains spécialistes pour un certain nombre d’actes : gynécologue, ophtalmologue, stomatologue, psychiatre ou neuropsychiatre (pour le suivi des jeunes de moins de 26 ans). Il s’agit de médecins qui assurent le suivi « au long cours » du patient. Le recours à ces praticiens ne nécessite pas une orientation par le médecin traitant, sauf dans le cas d’un épisode aigu de santé, par exemple.
Bon à savoir : Vous pouvez également consulter directement un chirurgien-dentiste, sans passer par votre médecin traitant, les soins dentaires n’étant pas concernés par le parcours de soins coordonnés.
◊ Le remboursement de la consultation d’un spécialiste : selon le parcours de soins ou non
- dans le cadre du parcours de soins
Vous serez remboursé à 70 % du tarif opposable, c’est-à-dire le tarif de la Sécurité sociale. En secteur 1, il s’élève à 30 euros.
La prise en charge de la Sécurité sociale est donc de 30 euro x 70 % = 21 euros – 1 euro (participation forfaitaire), soit 20 euros.
Le ticket modérateur (ou reste à charge) est remboursé, le cas échéant, par votre complémentaire santé, selon les conditions du contrat souscrit.
Bon à savoir : Pour vous orienter vers un spécialiste, votre médecin traitant peut rédiger une lettre ou un courriel en justifiant sa demande au médecin « correspondant » et en donnant un bilan de votre état de santé. Cette orientation n’est pas forcément nominative. Elle peut être générique : vous pourrez alors vous adresser au spécialiste de votre choix.
- hors parcours de soins
Si ce spécialiste n’est pas en accès direct, vous serez remboursé par l’Assurance-maladie à hauteur de 30 % du tarif de la Sécurité sociale, fixé à 25 euros hors parcours : soit un remboursement de seulement 6,50 euros (25 euros × 30 % – 1 euro) pour un spécialiste de secteur 1.
Infos +
- Assurance-maladie : tél 36 46, du lundi au vendredi, de 8h30 à 17h (service gratuit + prix de l’appel) et sur le site ameli.fr
- Pour trouver un spécialiste de secteur 1 (pratiquant le tarif de base remboursé par la Sécurité sociale), connectez-vous sur l’annuaire santé d’Ameli.fr
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Cartes de fidélité: enregistrez-les sur votre smartphone pour gagner du temps !
Supermarché, commerçants… Les cartes de fidélité encombrent nos portefeuilles et ralentissent notre passage en caisse quand nous les cherchons. Pour ne plus vous embêter, vous pouvez les enregistrer dans votre téléphone grâce à deux applications.
Voici deux applications simples à utiliser pour les regrouper sur votre smartphone. Une fois vos cartes enregistrées, ouvrez votre application lors de votre passage en caisse et sélectionnez celle dont vous avez besoin. Elle s’affiche sur l’écran de votre téléphone, vous pouvez ainsi la montrer au commerçant pour qu’il la scanne directement. Pratique !
1. Stocard, la plus ergonomique.
Après avoir téléchargé l’application Stocard sur votre smartphone, ouvrez-la et ajoutez votre première carte de fidélité en appuyant sur le bouton + en haut à droite. L’application vous propose une large sélection d’enseignes, sélectionnez celle qui vous intéresse puis scannez avec le capteur photo de votre smartphone le code barre ou le QR code de votre vraie carte. Elle s’ajoute alors automatiquement à votre application.
Si le code-barre ne fonctionne pas, vous pouvez taper le numéro de la carte. Répétez l’opération pour toutes vos cartes. Si l’un de vos magasins préférés n’est pas répertorié par Stocard, l’application vous permet quand même d’enregistrer votre carte avec son code-barre et de préciser vous-même le nom de l’enseigne. Vous pouvez utiliser l’application sans créer de compte, cependant il est plus prudent d’en créer un pour garder en mémoire tous vos documents. Vous les retrouverez plus facilement en cas de changement de smartphone. Stocard propose en plus des promotions et un système de paiement sans contact via votre téléphone. A télécharger sur Android ou iOS.
2. Fidme, pour recevoir des offres promotionnelles en plus
Téléchargez l’application Fidme et commencez par vous créer un compte utilisateur (obligatoire). Appuyez ensuite sur le bouton + orange en bas à droite, choisissez une enseigne ou tapez son nom dans la barre de recherche en haut. L’application propose alors de taper votre numéro et votre nom, pour aller plus vite, appuyez sur l’appareil photo en haut a droite afin de scanner votre code barre ou QR code. La carte s’enregistre automatiquement, vous pouvez renouveler l’opération pour chacune d’elles.
Si une enseigne n’est pas dans la liste, Fidme permet de créer une carte en sélectionnant « Autre service ». Vous pourrez même ajouter une photo pour mieux la reconnaître lors de votre passage en caisse. L’application permet aussi de cumuler des points pour obtenir des promotions personnalisées dans certaines enseignes. A télécharger sur Android ou iOS.
Bon à savoir : Les enseignes proposent de plus en plus elles-mêmes des applications avec leur carte de fidélité numérisée, comme la Fnac, Ikea ou Monoprix. Elles permettent en plus de gérer votre compte client, des promotions personnalisées et parfois de conserver vos factures.
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Prêt pour un coaching anti-fraude …
Aujourd’hui, les techniques de fraude se multiplient… Les fraudeurs sont sans scrupule pour récupérer vos informations confidentielles.
Alors, pour mieux lutter contre ces actes de malveillance et vous protéger, BNP Paribas fait appel à son coach anti-fraude. Toujours à vos côtés, il vous partage ses 4 conseils à suivre pour ne plus jamais tomber dans le piège des fraudeurs !
NOTRE COACH VOUS ALERTE …
« Méfiez-vous des arnaques téléphoniques » : Vous recevez un appel d’une personne qui prétend être un conseiller bancaire. Mais vous doutez de sa légitimité…
COMMENT IDENTIFIER UN FRAUDEUR
VOTRE INTERLOCUTEUR TIENT UN DISCOURS ANXIOGÈNE | |||||||||||
Alerte fraudeur ! Votre conseiller BNP Paribas ne vous appellera jamais pour que vous validiez une opération de paiement ou d’annulation. |
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LE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE VOUS SEMBLE POURTANT FAMILIER | |||||||||||
Alerte fraudeur ! Ne vous fiez pas uniquement au numéro de téléphone de votre interlocuteur. Un fraudeur pourrait l’usurper. Il s’agit de la technique de spoofing. |
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VOTRE INTERLOCUTEUR VEUT VÉRIFIER VOTRE IDENTITÉ EN DÉCLENCHANT VOTRE CLÉ DIGITALE | |||||||||||
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Crédit renouvelable ou crédit revolving : Tout savoir
Crédit revolving, crédit permanent ou crédit reconstituable, toutes ces expressions désignent le crédit renouvelable. Il s’agit d’un crédit à la consommation caractérisé par une grande liberté d’utilisation et de remboursement. En effet, une fois le crédit accordé, vous ne devez plus demander l’autorisation de la banque pour l’utiliser. Vous pouvez aussi décider de reporter des mensualités. Mais les taux d’intérêt sont généralement plus élevés que ceux d’un prêt à la consommation classique.
◊ De quoi s’agit-il ?
C’est un crédit à la consommation qui vous permet d’avoir à disposition une somme d’argent que vous décidez d’utiliser en toute liberté. Vous pouvez décider d’utiliser la totalité de la somme en une fois ou de faire des dépenses petit à petit. Vous pouvez faire des retraits en espèces ou effectuer des paiements chez des commerçants.Le montant utilisé ne doit pas dépasser le montant maximum autorisé. Au fur et à mesure que vous remboursez, le montant disponible à l’utilisation se reconstitue. Les intérêts sont calculés sur la somme que vous avez utilisée, et non sur le montant maximum autorisé. Chaque échéance que vous payez doit comprendre au moins une part du capital emprunté. Les durées de remboursement ne doivent pas dépasser certaines limités fixées en fonction du montant du crédit. Dans la plupart des cas, ce type de crédit est assorti d’une carte de paiement. Dans ce cas, la carte doit vous être remise avec le contrat de crédit et doit porter au dos, en caractères lisibles, la mention carte de crédit.
◊ Qui peut proposer un crédit renouvelable ?
Un crédit renouvelable peut vous être proposé par les établissements suivants :
- Banque
- Organisme spécialisé dans le crédit à la consommation
- Enseigne de la grande distribution
- Enseigne de la vente par correspondance
◊ Comment signer le contrat de prêt ?
Le crédit renouvelable doit faire l’objet d’un contrat écrit. Avant de vous proposer un crédit renouvelable, l’établissement prêteur (banque, organisme de crédit…) doit vous informer des conditions du prêt et de l’étendue de vos engagements. Il doit aussi vérifier votre capacité financière à rembourser le crédit. À cet effet, il doit vous remettre une fiche précontractuelle standardisée qui indique, pour le montant de crédit accordé, les éléments suivants : le coût total du prêt, le montant des mensualités, le taux d’intérêt pratiqué.
Si le prêteur décide de vous accorder le crédit, il doit vous remettre un exemplaire de l’offre de contrat écrit. Vous avez 15 jours calendaires pour lui répondre. Si vous acceptez l’offre, le contrat est conclu, mais les fonds ne peuvent pas être mis à votre disposition avant 7 jours calendaires.
« jours calendaires » : cela correspond à la totalité des jours du calendrier de l’année civile, du 1er janvier au 31 décembre, y compris les jours fériés ou chômés.
Pour accepter l’offre de votre prêteur, vous devez lui remettre un exemplaire du contrat, daté et signé. Mais cette signature ne veut pas dire que vous acceptez définitivement le crédit. En effet, après l’acceptation, vous disposez d’un délai de rétractation de 14 jours calendaires pendant lequel vous pouvez revenir sur votre décision. La procédure à suivre pour renoncer au contrat doit être indiquée dans le contrat. Un bordereau détachable de rétractation doit y être joint. À son dos, vous devez trouver le nom et l’adresse du prêteur où il faut le renvoyer. Une fois que le délai de rétractation est dépassé, le contrat est considéré comme définitivement accepté.
Bon à savoir : si le montant du crédit est supérieur à 1 000 €, le prêteur doit accompagner son offre d’une proposition de crédit amortissable pour que vous compariez les 2 offres.
◊ Faut il prendre une assurance ?
L’assurance n’est pas obligatoire, mais l’organisme préteur peut vous imposer de souscrire une assurance pour vous accorder le prêt. Toutefois, il ne peut pas vous imposer sa propre assurance. Vous pouvez choisir librement l’organisme qui assurera votre prêt.
◊ Comment est-on informé de l’état du crédit ?
Une fois l’offre acceptée, le prêteur doit vous adresser chaque mois un relevé récapitulatif de la situation de votre crédit. Ce document doit comporter notamment les informations suivantes :
- Date d’arrêté du relevé et date du paiement
- Part du capital non utilisé (disponible)
- Montant de l’échéance
- Part de l’échéance correspondant au remboursement du capital
- Part de l’échéance correspondant aux intérêts
- Taux d’intérêt de la période et taux effectif global
- Montant des remboursements déjà effectués
- Totalité des sommes exigibles
- Estimation du nombre de mensualités dues pour parvenir au remboursement intégral
◊ Quelle est la durée de l’engagement ?
Le contrat de crédit renouvelable est conclu pour un an. Le contrat peut être renouvelé chaque année. Avant de vous proposer de reconduire le contrat, le prêteur doit consulter chaque année le fichier recensant les informations sur les incidents de paiement caractérisés.
Tous les 3 ans, il doit vérifier si vous avez toujours la capacité financière de rembourser le prêt. Trois mois avant l’échéance annuelle, le prêteur doit vous informer des conditions de reconduction du contrat et des procédures de remboursement des sommes restant dues. Si les modifications proposées lors de la reconduction du contrat ne vous conviennent pas, vous pouvez vous y opposer. Vous devez le faire jusqu’à 20 jours calendaires : jours avant l’entrée en vigueur du nouveau contrat.
Il faut renvoyer au prêteur le bordereau-réponse de refus qui doit être contenu dans la lettre d’information sur les conditions de reconduction. Vous devrez alors rembourser le montant de la réserve d’argent déjà utilisé.
◊ Quelle est la durée de remboursement du crédit :
La loi impose des durées de remboursement maximales qui ne peuvent pas être dépassées. Elles varient en fonction du montant du crédit :
- 36 mois si le montant total du crédit est inférieur ou égal à 3 000 €,
- 60 mois si le montant total du crédit est supérieur à 3 000 €.
Si le contrat de crédit est accompagné d’une assurance, le paiement des cotisations d’assurance ne peut pas entraîner un dépassement de ces durées de remboursement.
◊ Peut-on modifier le contrat de crédit ?
Vous pouvez demander à tout moment les modifications suivantes :
- Réduction de votre réserve de crédit
- Suspension de votre droit à utiliser le crédit
- Résiliation du contrat
Si vous demandez la résiliation du contrat, vous devez alors rembourser le montant utilisé selon conditions figurant dans le contrat. Vous pouvez demander également la transformation de votre crédit renouvelable en crédit classique lors du renouvellement annuel du contrat. Le montant des remboursements est alors fixe et la date de fin de contrat connue.
◊ Si vous n’utilisez pas la réserve de crédit :
Si, pendant 1 an, la réserve de crédit et les moyens de paiement associés au crédit n’ont pas été utilisés, le contrat de crédit renouvelable est suspendu : vous ne pouvez pas utiliser le crédit renouvelable. L’organisme prêteur doit vous interroger pour savoir si vous souhaitez mettre fin au contrat.
Il doit vous adresser un document qui indique notamment les informations suivantes :
- Identité des parties
- Nature de l’opération
- Montant du crédit disponible
- Taux annuel effectif global (TAEG)
- Montant des remboursements par échéance et par fractions de crédit utilisées
Si vous retournez ce document (signé et daté) au plus tard 20 jours calendaires : la suspension est levée et vous pourrez utiliser le crédit renouvelable.
Si vous ne retournez pas ce document (signé et daté) dans ce délai, la suspension est maintenue. Si vous ne réactivez pas le contrat, il est résilié automatiquement 1 an après la suspension.
◊ En cas de difficultés passagères :
Le prêteur peut vous accorder un report d’échéance si vous avez des difficultés financières passagères ou si vos capacités de remboursement se dégradent. Ce report d’échéance ne peut toutefois pas être accordé plus de 2 fois par an. Pendant cette période, les droits d’utilisation de votre crédit sont suspendus.
Bon à savoir : si vous avez souscrit une assurance pour votre crédit, il faut vérifier si les difficultés que vous rencontrez sont couvertes par ce contrat.
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A propos de cet article dont la source est «economie.gouv.fr»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
5 conseils pour baisser vos factures (Forfaits internet, téléphone) et faire de vraies économies !
Smartphone, téléphone fixe, fibre, musique… Quelques euros d’abonnements augmentent vos dépenses chaque mois? Peu à peu les tarifs grimpent? Mieux vaut y regarder de plus près. 5 astuces pour économiser.
1/ Opérateurs de téléphonie: évaluer vos besoins et identifier les dépenses inutiles
Vérifiez quels sont vos besoins réels: pour le téléphone par exemple vous utilisez surtout le fixe et pouvez-vous contenter de 2h d’appel mensuel en mobile, vous trouverez sans difficulté des forfaits à 2 ou 3€.
Pour des appels illimités, mais une consommation faible de datas internet (regardez-vous beaucoup de films ou séries sur votre téléphone?), il faudra monter autour de 5€ chez plusieurs opérateurs.
De la même façon,avez-vous besoin d’une connexion fibre pour l’internet (utile notamment aux joueurs qui demandent un gros débit) ou l’ADSL suffit-il? La différence de tarif entre les meilleures offres pour chacune de ces technologies s’établira autour de 15€ mensuels. « En moyenne, les abonnements peuvent représenter 1 à 5% d’un budget, explique Kevin Ohana, fondateur de l’application de paiement Joe. Les abonnements de loisir – contenus vidéo, musique – ont beaucoup augmenté pendant la crise sanitaire. Mais certaines sont peu utilisées. Or 90% des abonnements sont tacitement reconduits ».
Bref, inutile de laisser traîner des services que vous n’utilisez plus, mais dont le coût de quelques euros par mois ou par trimestre est peu repérable sur votre compte.
Certaines applications de gestion de budget vous aideront à catégoriser et identifier toutes vos dépenses, notamment les abonnements, et à choisir en connaissance de cause : PiloteBudget, Bankin’ ou Linxo par exemple, toutes agrées ACPR-Banque de France (la première ayant été initiée par SOS Familles Emmaüs Nanterre et l’association Cerise et ne demandant pas d’associer votre compte en ligne).
2/ Forfaits mobiles: comparer les offres pour de meilleurs tarifs!
En France, les tarifs des forfaits mobiles sont parmi les moins chers d’Europe. Mais rien n’empêche de chercher les meilleurs tarifs. En effet, la forte concurrence entre opérateurs occasionne une adaptation permanente des offres.
Utilisez régulièrement les comparateurs comme frandroid.com/comparateur-forfaits pour les mobiles et frandroid.com/offre-internet-comparateur-des-meilleures-offres-fibre-et-adsl pour les offres internet.
En faisant votre marché, vérifiez bien toutes les clauses, l’offre promotionnelle pouvant ne durer quelques mois avant une conversion au tarif standard, bien plus salé. Vous aurez souvent à choisir entre des forfaits avec une durée d’engagement de 12 à 24 mois et des forfaits sans engagement.
Quitter un opérateur avant la fin de la durée d’engagement vous imposera de payer en avance les mensualités d’abonnement restantes. Certains opérateurs sont prêts à prendre une partie de ces frais. D’autre part, ils remboursent aussi les frais de résiliation de quelques dizaines d’euros appliqués par celui que vous quittez (même après la période d’engagement).
Pas de crainte quant à votre numéro de téléphone, fixe ou portable: la loi impose la portabilité si vous le souhaitez; c’est-à-dire que le nouvel opérateur conservera votre numéro et se chargera des démarches de transfert.
3/ Gérer la fin de votre contrat: attention aux offres d’abonnement trop alléchantes!
La durée d’engagement de votre contrat arrive bientôt? Sachez qu’il est souvent plus facile de trouver des offres intéressantes chez les concurrents de votre fournisseur. En effet, les opérateurs réservent leurs prix d’attaque aux nouveaux abonnés.
Si vous voulez pouvoir choisir tranquillement, méfiez-vous des propositions alléchantes que pourra vous faire votre opérateur box ou mobile deux à quatre mois avant la fin de votre durée d’engagement. Elle sera souvent moins intéressante que les meilleures offres du marché, mais risque de vous réengager pour des mois supplémentaires, vous empêchant de profiter de ces dernières.
4/ Comment négocier avec son opérateur un meilleur prix sur le forfait
Si vous avez identifié des forfaits d’opérateurs proposant des services identiques à celui de votre fournisseur, mais à meilleur prix, vous pouvez tenter de négocier avec ce dernier. S’ils ne proposent pas les offres les plus agressives à leurs abonnés, beaucoup d’opérateurs ont une politique tarifaire assez souple permettant d’ajouter gratuitement des options ou de pratiquer une petite ristourne sur le tarif mensuel pour leurs clients fidèles.
5/ Faites valoir ses droits en cas de modification de contrat de votre abonnement
Les opérateurs peuvent modifier les contrats, augmentant leur prix sans contrepartie ou ajoutent des services payants, ils ont l’obligation de vous informer au moins un mois avant la mise en œuvre de ces nouvelles conditions (article L121-84 du code de la consommation).
À défaut, vous pourrez obtenir de ne pas payer ce supplément, voire de vous faire rembourser la différence sur des mensualités déjà réglées.
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Quelles règles à respecter pour une vente dans une brocante, un vide-grenier ou une braderie?
Vous êtes un particulier et souhaitez vendre vos biens dans un vide-grenier, une brocante ou une braderie ? Savez-vous qu’il existe une réglementation que vous devez respecter ? On vous explique toutes les règles à connaître !
◊ Quels sont les types de vente au déballage ouverts aux particuliers ?
Les vide-greniers, brocantes et braderies sont trois types de « vente au déballage », qui sont ouverts aux particuliers.
◊ Quelles sont les règles que doivent respecter les particuliers ?
En tant que particulier, vous ne pouvez pas participer à plus de deux ventes au déballage par an.
Pour chaque vente au déballage, vous devez vous inscrire dans le registre d’identification des vendeurs de l’événement et attester sur l’honneur que vous n’avez pas participé à plus de deux ventes durant l’année.
L’ article L310-2 du code du commerce précise que les particuliers ne peuvent vendre « exclusivement que des objets personnels et usagés ».
Ainsi, si vous créez vous-même des objets, vous ne pourrez pas les vendre dans une brocante, un vide-grenier ou une braderie sans vous être déclaré comme professionnel (par exemple, sous le régime de la micro-entreprise).
Dans ce cas, vous devrez payer les impôts et les charges sociales correspondant à votre régime.
Bon à savoir :
Attention, si vous êtes particulier et que vous êtes l’organisateur d’une vente au déballage (vide grenier, brocante, braderie, etc…), vous devez faire préalablement une déclaration (via le formulaire cerfa n°13939*01) au maire de la commune, pour avoir le droit d’organiser votre événement.
En cas de manquement vous vous exposez à une amende de 15 000 €.
◊ Les revenus tirés de la vente sont-ils imposés ?
Le revenu des ventes effectuées par des particuliers durant une vente au déballage n’est pas à déclarer à l’administration fiscale et n’est par conséquent pas imposable.
Il existe seulement deux cas dans lesquels les revenus tirés de la vente doivent tout de même être déclarés à l’administration fiscale :
- si les biens vendus sont des métaux précieux
- si vous vendez un bien pour plus de 5 000 € (hors meubles, électroménager ou automobiles qui sont exonérés).
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Smartphone : je décode le QR code!
Dans un monde où le sans-contact est devenu omniprésent, le QR Code s’impose, bien au-delà du seul passe sanitaire. Zoom sur ce drôle de carré.
Un petit carré pixélisé noir sur fond blanc, bourré d’informations numériques, à l’instar d’un code-barres. Voilà à quoi ressemble le QR Code (pour Quick Response Code), inventé dans les années 1990 au Japon. S’il n’avait jamais vraiment conquis les utilisateurs, la pandémie lui a offert une nouvelle jeunesse. Simple à utiliser, il semble avoir trouvé sa place dans nos usages quotidiens. Vous en trouvez sur les tables des restaurants, dans les livres, sur les emballages, affiches, étiquettes, vêtements…
◊ Comment lire un QR code?
Pour lire ou « flasher » un QR Code, c’est assez simple. Si vous possédez un iPhone, il suffit d’ouvrir l’appareil photo du smartphone et de tenir votre appareil de sorte que le pictogramme apparaisse dans le viseur. Le QR Code est alors reconnu et affiche une notification sur votre écran, touchez-la pour déclencher l’action associée au code. Cette opération fonctionne aussi sur certains appareils Android.
Si ce n’est pas le cas, il faudra autoriser le scan de QR Code dans les paramètres de votre appareil photo ou télécharger une appli gratuite, comme par exemple QR Code Lecteur ou Kaspersky QR Code Scanner.
N’oubliez pas que, pour que le QR Code fonctionne, votre téléphone doit être connecté à internet, soit en wifi, soit via le réseau téléphonique, en 4G ou 5G.
Une fois scanné, le QR Code peut déclencher différentes actions sur votre smartphone: l’ouverture d’un site internet, d’une application de navigation pour vous indiquer une adresse, de l’App Store ou du Play Store pour vous inviter à télécharger une application. Il peut également permettre l’affichage d’une image ou d’un document en ligne, comme un menu de restaurant ou une promotion.
Le QR Code peut aussi vous conduire à enregistrer un rendez-vous dans votre agenda électronique, à passer un appel vers un contact ou envoyer un SMS, ou encore à payer un achat via votre smartphone si vous l’avez autorisé. Bref, quasiment tout ce qui peut se faire en ligne aujourd’hui.
◊ Comment créer votre propre QR Code?
Il existe des outils gratuits pour créer, vous aussi, un QR Code en quelques secondes. Un QR Code personnel peut vous servir à envoyer une invitation, partager une pétition, donner votre carte de visite, l’adresse de votre blog ou les coordonnées de votre association. Vous pouvez utiliser les sites français Unitag,QR Code Shopify, QR Code Generator pour créer facilement le vôtre, le télécharger et l’imprimer où vous le voulez.
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Pouvoir d’achat : 8 conseils pour des courses efficaces et économiques
Faire ses courses au supermarché ou chez les commerçants du coin, n’est pas si banal. Avec un peu de méthode et quelques astuces, vous pouvez économiser sur votre ticket de caisse sans vous priver !
1/ Commencer par l’inventaire des placards et du frigo
Efforcez-vous de bien préparer vos courses et abstenez-vous autant que possible les faire au fil de l’eau. Cela vous évitera de faire des achats en doublon, mais aussi de vous laisser distraire par des propositions commerciales peu adaptées à votre consommation.
Pour optimiser votre routine de ravitaillement, il est conseillé de bien organiser ses placards et son réfrigérateur, afin d’identifier rapidement les stocks dont vous disposez pour chaque type de produit (féculents, légumes et produits frais, sucre et produits de pâtisserie, épices, etc.).
2/ Préparer sa liste de courses et s’y tenir pour éviter les achats d’impulsion
Cet effort d’organisation sera d’autant plus payant que vous prendrez le temps d’établir systématiquement une liste des commissions. Elle vous guidera au sein des rayons vers les produits qui vous sont réellement nécessaires. Rien n’interdit de se faire plaisir, notamment en inscrivant quelques douceurs sur cette liste. Mais celle-ci vous évitera de vous éparpiller dans les rayons et de céder aux appels des spécialistes du marketing et de la tentation que sont les grandes surfaces.
3/ Planifier ses menus, c’est meilleur et moins cher !
Prévoir plusieurs menus d’affilée, voire pour toute la semaine, permet aussi de faire ses courses de façon rationnelle et optimisée. En les organisant sur plusieurs jours, vous pourrez notamment associer une ou deux sorties au marché à celle des petits commerçants permanents ou de la grande surface.
Cette démarche permet aussi de mieux exploiter les restes – de produits frais comme de produits que vous aurez cuisinés (pourquoi pas un hachis parmentier ou des pâtes bolognaises le mercredi après un pot au feu du mardi ?).
4/ Faire les courses le ventre plein !
Si vous faites les courses avec l’estomac dans les talons, vous serez bien plus attiré par toutes sortes de produits transformés qui sont à la fois chers au kilo et d’une faible qualité nutritive, notamment ceux qui sont servis à l’apéritif ou comme desserts, et qui ont pour principale vertu de se consommer rapidement. Certains ne vous font envie que parce que vous avez faim.
Un conseil tout simple: si vous le pouvez, prévoyez vos courses après un repas ou au moins un casse-croûte!
5/ S’intéresser aux marques distributeurs
Les marques de distributeur sont celles par lesquelles les enseignes commercialisent des produits qu’elles font fabriquer. Cette alternative aux grandes marques est de plus en plus appréciée par les consommateurs. Elle représentait 30% des achats en 2018 (en augmentation). Dans le tiers des cas, les produits sont préparés par les mêmes industriels qui fournissent les grandes marques; les autres le sont par des PME, souvent locales. Le prix est inférieur de 15 à 25% à celui des produits de grandes marques qui doivent constamment investir dans le marketing et la recherche. Les associations de consommateurs ont réalisé des tests récents en aveugle qui concluent à une qualité équivalente, supérieure ou inférieure, selon les produits et les marques. C’est-à-dire que l’offre distributeur ne représente pas en soi une qualité inférieure à celle des grandes marques. Alors qu’elle était à l’origine cantonnée aux produits d’appel, elle s’est d’ailleurs bien diversifiée, y compris dans le bio ou les produits de luxe.
6/ Comparer les prix au kilo
L’affichage des prix au kilo est obligatoire, y compris pour les produits préemballés. Même si cette mention est la moins lisible sur l’étiquette fixée sur le linéaire, elle vous permettra une comparaison plus précise des prix entre produits identiques de marques ou de conditionnements différents (à vérifier notamment pour ceux qui sont annoncés en promotion).
7/ Privilégier les produits de saison et cultivés en France
Évitez en particulier des fruits ou légumes exotiques ayant parcouru des milliers de kilomètres (Pérou, Afrique du Sud): ils sont chers et leur empreinte carbone est déplorable. La mondialisation des échanges nous a fait croire que les saisons n’existaient plus (c’est toujours le printemps ou l’été quelque part). En réalité, ce luxe a un coût. Dans la préparation des repas, privilégiez les aliments de saisonet le circuit court valorisant les commerces des producteurs locaux (carte interactive des circuits courts sur Quechoisir.org).
8/ Éviter les plats tout préparés autant que possible
Outre les qualités nutritives parfois contestables des plats tout préparés (sel, gélifiants, conservateurs), ils coûteront plus cher que les ingrédients nécessaires à leur préparation. Si vous en avez le temps, cuisinez les produits non transformés que vous aurez achetés. Par exemple, des crêpes réalisées chez soi avec les ingrédients nécessaires reviendront à 3€/kg ou moins, contre 6 à 7€/kg pour des crêpes industrielles.
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Plateformes en ligne : soyons vigilants !
Aujourd’hui, internet et plus particulièrement les plateformes en ligne sont devenus le mode prédominant de réservation des nuits et séjours dans les hôtels. Les consommateurs doivent cependant faire attention à certains points de vigilance lorsqu’ils réservent sur ces plateformes.
Comme le constate la direction générale de la concurrence , de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), certaines plateformes de réservation en ligne d’hôtels ou de voyages ne se révèlent pas toujours transparente sur les offres qu’elles proposent et parfois ne respectent pas toutes les règles relatives à la protection du consommateur.
Voici quelques conseils pratiques pour réserver en toute tranquillité
1. Prenez le temps de comparer les offres des différentes plateformes en ligne
Ce conseil peut sembler paradoxal puisque par définition une plateforme en ligne compare des dizaines voire centaines d’offres. Mais les offres, tarifs et disponibilités varient souvent d’une plateforme à l’autre.
Soyez véritablement attentif aux détails de l’offre proposée. Il arrive qu’une offre concernant un hôtel puisse sembler plus attractive sur une plateforme que sur une autre. Mais en y regardant de plus près, vous vous rendez compte que celle qui semble plus attractive ne comprend par certains frais comme la taxe de séjour, le petit-déjeuner ou la location de draps (pour un gite) par exemple !
Mieux vaut comparer plutôt deux fois qu’une !
2. Contactez directement l’hôtel recherché
Même si les plateformes en ligne de réservation proposent des offres attractives, il peut être utile de contacter directement l’hôtel envisagé afin de voir s’il propose une offre plus ou moins avantageuse que celles des plateformes.
Profitez-en pour faire préciser certains points si vous le souhaitez : conditions d’annulation, chambre avec vue, lit enfant, petit-déjeuner, etc.
3. Méfiez-vous de certaines mentions qui peuvent vous inciter à réserver (trop) rapidement
Certaines plateformes font figurer à côté des offres, des mentions du type : « À saisir, plus que 1 chambre disponible » ou « 9 autres personnes regardent actuellement cet hôtel ».
Ces mentions ne doivent cependant pas vous inciter à réserver dans la précipitation.
Il est possible que la plateforme que vous consultez n’ait effectivement plus qu’une chambre à réserver pour un hôtel donné aux dates que vous souhaitez. Mais cela ne veut pas forcément dire que cet établissement ne propose plus de chambres sur d’autres canaux (autres plateformes ou même directement sur son propre site internet). De même, dans certains cas, les plateformes affichent des prix barrés, avec des tarifs fantaisistes ou non comparables, faisant croire à une fausse économie.
Aussi, soyez attentif aux conditions de l’offre proposée. Prenez le temps de bien l’étudier. Dans tous les cas, avant de réserver il peut être utile de contacter directement l’hôtelier pour comparer les tarifs et les offres avec celles proposées par les plateformes.
4. Soyez attentif aux éléments que vous communiquez au moment de la réservation
Vérifiez l’exactitude des éléments d’identité (nom, prénom, courriel, etc.) que vous communiquez avant de valider. Ils pourront être rectifiés par la suite en cas d’erreur, mais mieux vaut effectuer votre réservation en communiquant les bonnes informations.
De même conservez bien les courriels de validation de la réservation et du paiement.
Enfin, même s’il sera possible de l’indiquer par la suite, profitez-en dès à présent pour communiquer à l’hôtel des informations et/ou demandes spécifiques, par exemple votre heure probable d’arrivée, ou si vous souhaitez une chambre au calme, etc.
Les avis des clients peuvent être un bon indicateur pour évaluer la qualité d’un hôtel. Cependant, ne vous fiez pas uniquement aux avis de clients d’une seule plateforme. Parfois la notation peut être biaisée afin d’inciter à la réservation d’un établissement plutôt qu’un autre.
Là aussi, consultez plusieurs plateformes pour tenter d’avoir une vision plus générale et plus juste de la notation d’un établissement par les clients.
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Prendre un RdvPermis en ligne : 18 départements en plus …
La nouvelle plateforme RdvPermis, qui permet de réserver en ligne son rendez-vous pour l’examen pratique du permis de conduire, doit être accessible sur l’ensemble du territoire avant la fin de l’année. Le 2 mai, 18 nouveaux départements ont rejoint le dispositif de prise de rendez vous en ligne.
Bonne nouvelle si vous habitez dans la moitié ouest de la France et avez l’intention de passer prochainement votre permis de conduire : selon un arrêté publié le samedi 30 avril au Journal officiel, 18 départements supplémentaires ont désormais accès au système de réservation nominative des places d’examen du permis de conduire Rdvpermis , portant à 56 le nombre de départements concernés. La plateforme sera accessible sur l’ensemble du territoire le 1er novembre 2022.
Lancé initialement dans une vingtaine de départements en mai 2021, RdvPermis est un système de réservation nominative des places à l’examen pratique du permis de conduire. Les candidats peuvent faire leur demande, en choisissant le centre d’examen, la date et le créneau horaire, soit directement sur le site, soit en donnant mandat à leur auto-école pour qu’elle s’en charge. Pour responsabiliser les candidats, toute absence non justifiée par un motif sérieux entraîne un délai de 40 jours avant une nouvelle réservation. Et en cas d’échec à l’examen, le délai avant de pouvoir se réinscrire est conditionné au résultat obtenu : plus le niveau du candidat est faible, plus il devra attendre avant de se représenter, avec un délai maximum de 35 jours.
Découvrez comment ça marche ?
◊ Pour les candidats :
Vous êtes un candidat déjà affilié à une école de conduite ?
Il vous suffit de vous connecter avec les identifiants que votre auto-école vous a fournis pour accéder à la plateforme.
Vous êtes un candidat libre résidant dans l’un de ces départements ?
Il vous suffit de vous créer un compte sur la plateforme.
Une fois connecté en tant que candidat, vous pouvez accéder à plusieurs fonctionnalités :
Si vous avez été inscrit par une école de conduite :
- gérer facilement votre mandat ;
- suivre en ligne les démarches entreprises par l’école pour votre compte (prise de rendez-vous, etc.)
Si vous êtes en candidat libre :
- prendre directement rendez-vous pour l’examen du permis de conduire accompagné par un de vos proches titulaire du permis de conduire ;
- Attention : l’accompagnement par un professionnel est interdit pour une prise de rendez-vous via ce site d’inscription et vous devrez fournir le jour de l’examen un véhicule assuré et équipé de double-commandes.
◊ Pour les écoles :
Une fois connecté, vous pourrez :
- renseigner et enregistrer les candidats sous contrat avec votre établissement ;
- accéder à l’ensemble des profils de vos candidats sous mandat ;
- gérer les réservations aux examens via un agenda (réservations, annulations, etc.).
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A propos de cet article dont la source est «quechoisir.org»
Cette sélection d’article proposée à titre purement informatif n’est ni exhaustive, ni sponsorisée par les médias cités.
L’association UFC-Que Choisir des Vosges ne peut être tenue pour auteur, éditeur ou hébergeur des articles cités et ne garantit pas leur accès.
Combien de temps peut-on conserver les aliments au congélateur ?
Quoi de plus efficace que le congélateur pour conserver ses aliments plus longtemps ? Mais attention, pour qu’ils gardent leur qualité optimale, il est important de respecter les durées maximales de congélation de chaque produit.
Allié antigaspi du quotidien, le congélateur permet de prolonger la durée de vie des aliments. Si les températures basses permettent de conserver les produits longtemps, quelques règles s’imposent. Car passé un certain délai, certains aliments ne doivent plus être consommés. Viande, poisson, pain, fruits et légumes… chaque famille d’aliments a une durée de conservation spécifique.
Quelques conseils pour optimiser la conservation des aliments
Dans un dossier consacré à la conservation des aliments au congélateur, l’UFC Que Choisir a prodigué une série de conseils pour conserver ses denrées alimentaires sans risques. Selon l’association de consommateurs, il faut :
- Respectez les durées maximales de conservation ;
- Emballez les aliments convenablement ;
- Congelez uniquement à température ambiante ;
- N’attendez pas avant de congeler les aliments ;
- Ne jamais recongeler un produit décongelé ;
- Pensez à bien fermer le congélateur ;
- Vérifiez régulièrement la température à l’aide d’un thermostat ;
- Ne surchargez pas votre congélateur ;
- Nettoyez régulièrement l’appareil pour le dégivrer ;
A noter qu’il faut distinguer congeler et surgeler. La surgélation est une technique de conservation utilisée par les industriels basée sur le froid. Les aliments sont soumis à des températures très basses, allant jusqu’à -50°C selon les produits. Ce procédé provoque le gel instantané des aliments, en dessous de leur palier de congélation, afin de stopper la prolifération des bactéries. Quant à la congélation, elle permet de refroidir progressivement les produits jusqu’à atteindre des températures très basses oscillant entre -18°C et -24°C.
Pour une conservation optimale, la température de l’appareil ne doit pas excéder les -6°C. Il existe même des options permettant d’accélérer la congélation, notamment à l’aide d’appareils qui proposent une option de « supercongélation ». Mais il « reste rare d’insérer un grand volume de produits à température ambiante dans son congélateur, les aliments achetés étant généralement déjà surgelés », indique Que Choisir.
Pour accélérer le refroidissement d’une grande quantité d’aliments, certains congélateurs proposent une option supercongélation, aussi appelée « super freeze ». Ceci dit, il reste rare d’insérer un grand volume de produits à température ambiante dans son congélateur, les aliments achetés étant généralement déjà surgelés.
Bon à savoir :
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Réunion publique le 10 mai 2022 à Vittel
Réunion publique le 10 mai 2022 à 20h (salle du Moulin) à Vittel
Tout savoir, tout comprendre sur la façon dont l’Etat va attribuer une fois de plus l’eau à Nestlé et pas aux habitants…
Toutes et tous à la salle du Moulin le 10 mai à 20h.
Tous les élus du SAGE sont invités.
Tous les membres de la CLE sont invités.
La Commission Locale de l’Eau (CLE) est la structure d’échange, de concertation et de prise de décisions au sein de laquelle siègent ces acteurs. C’est un “parlement de l’eau” à l’échelle locale qui a bout but d’élaborer, de mettre en œuvre et de réviser le Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux).
Combien seront-ils en amont des élections législatives ?
Venez nombreux et accompagnés !
Les journalistes sont prévenus.
Cloud ? One drive ? Nuage ou stockage …
Pour consulter vos documents, en toute sécurité, où que vous soyez, plus besoin de vous balader avec votre ordinateur. Enregistrez vos fichiers sur le cloud ! Voici comment faire sur Google Drive et One Drive.
Quelle différence entre le cloud et OneDrive et que faire lorsque tout est plein sur le PC ?
Le mot Cloud est le mot générique qui désigne l’espace de stockage à l’extérieur de votre ordinateur et auquel vous accédez par internet.
OneDrive est le nom du Cloud de Microsoft, tous les constructeurs, éditeurs et opérateurs internet en proposent. Vous pouvez aussi acheter un petit disque dur externe pour stocker toutes vos photos, il en existe d’excellents avec de grosses capacités chez Sandisk par exemple.
Comment partager des documents avec vos proches et intervenir à plusieurs sur ces fichiers sans vous mélanger dans les versions ? Il existe une solution simple et gratuite : enregistrer ces documents sur le cloud pour y accéder où que vous soyez grâce à des services de stockage en ligne ( comme Microsoft OneDrive ou Google Drive).
Vous pourrez alors accéder à vos fichiers textes, vos photos ou vidéos à partir de n’importe quel appareil connecté à internet et les partager avec d’autres personnes en toute sécurité en leur envoyant un simple lien par mail.
Dès que vous avez partagé le document avec la personne de votre choix, celle-ci peut le modifier en même temps que vous, comme si vous étiez tous les deux derrière le même ordinateur. En pratique, votre petite-fille vous verra corriger les fautes sur sa dissertation en temps réel, même si elle habite à 500 Km de chez vous.
Autre avantage: vous pouvez voir les autres écrire sous vos yeux si vous vous connectez en même temps ! Une gestion très pratique pour les télétravailleurs qui peuvent reprendre le cours de leur dossier là où ils en étaient. Cela peut aussi être utile pour échanger une liste d’invités pour un anniversaire, gérer des documents ou un emploi du temps au sein d’une association ou encore échanger des photos…
◊ Comment utiliser Google Drive et Microsoft OneDrive
Les logiciels Google Drive et Microsoft OneDrive sont accessibles sur un ordinateur à partir du navigateur. La principale différence entre ces deux services vient de leur écosystème: Google ou Windows. Autre moyen simple de s’en servir: les applications gratuites sur un smartphone ou une tablette en créant un compte.
Ces deux services permettent de partager les documents en moins d’une minute: il vous suffit d’envoyer un mail avec un lien internet, et un mot de passe si besoin. Ils vous permettent aussi de lire les fichiers même si vous êtes hors ligne sans réseau internet quand c’est nécessaire. Votre travail hors connexion sera enregistré sur votre appareil et le fichier sera mis à jour dans le cloud dès que vous serez à nouveau connecté. Enfin, dans les deux cas, sachez que vos contenus restent protégés et confidentiels, ils sont sécurisés par Microsoft et Google.
◊ Google Drive : le service le plus facile pour gérer ses documents à plusieurs
C’est le service de stockage en ligne de Google. Il est facile à comprendre et à utiliser via une adresse Gmail. Google Drive est compatible avec les documents de Microsoft Office ( document texte sur Word, tableau Excel…). Le moteur de recherche intégré vous aide à retrouver vos documents et vous pouvez suivre l’historique des modifications. Google Drive offre l’avantage de démarrer gratuitement avec 15Go d’espace offerts à l’ouverture d’un compte Google. Au-delà de 15Go il existe l’offre payante Google One (200Go/2,99€ par mois.)
◊ Microsoft OneDrive : le service parfaitement adapté à Windows et Office
OneDrive est un service développé par Microsoft qui fonctionne donc parfaitement avec Windows, Word, Excel, PowerPoint, OneNote et Outlook. Si vous avez une adresse email Outlook, vous pouvez y accéder via votre messagerie. Ce service est idéal pour sauvegarder, consulter et enregistrer ses documents Office sans même vous apercevoir que vous êtes dans le cloud.
Les autres solutions pour sauvegarder vos documents dans le Cloud :
- Dropbox Basic est gratuit et vous offre 2 Go d’espace.
- Apple iCloud : 5 Go gratuits, 200Go/2,99€ par mois
- Digiposte, le cloud de la poste : 5go gratuits, service basé et données hébergées en France
- Amazon Cloud drive 5GO, illimité pour les abonnés Prime
- Cozy Cloud 5 Go gratuits, hébergé en France, chez OVH
Bon à savoir : La plupart des opérateurs internet et téléphone comme Orange ou Free offrent des espaces de stockage gratuit dans Cloud qui sont inclus dans votre abonnement.
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Don de corps à la science : de nouvelles règles
Recueil du consentement, création d’un comité d’éthique: un décret paru jeudi au Journal officiel précise les conditions de don de corps à la science en application de la loi bioéthique, comme s’y était engagé le gouvernement après le scandale à l’Université Paris-Descartes.
Après avoir reçu une documentation de l’établissement autorisé à recevoir des corps, la personne peut consentir à ce don « par une déclaration écrite en entier, datée et signée de sa main », indique le décret, qui entre en application vendredi.
Le texte précise également les modalités de transport et d’accueil des corps, les conditions de réalisation des opérations funéraires, de restitution du corps ou des cendres et les conditions d’autorisation et de fonctionnement des établissements bénéficiaires des dons.
Il prévoit en outre la mise en place au sein de ces établissements d’un « comité d’éthique, scientifique et pédagogique chargé d’émettre un avis sur les programmes de formation et les projets de recherche nécessitant l’utilisation de corps ayant fait l’objet d’un don ».
Le gouvernement avait annoncé l’an dernier que la réglementation sur les centres de don du corps à la science allait être refondue dans le cadre du projet de loi bioéthique – adopté en juin 2021 -, à la suite du scandale à Paris-Descartes.
En 2019, l’hebdomadaire L’Express avait révélé que le centre du don des corps de cette université avait accueilli dans des « conditions indécentes » les dépouilles de « milliers de personnes » ayant fait don de leur corps à la science.
L’enquête ouverte par la suite avait mis en lumière « l’inertie » de responsables de la prestigieuse institution parisienne pendant plusieurs décennies.
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Les Blocs WC sont ils néfastes pour la santé et l’environnement ?
On les met dans le caddie sans se poser de questions et on les renouvelle régulièrement. Les blocs WC séduisent, entre 15 et 20 millions de ménages en achètent. Un premier test sur ces produits démontre pourtant qu’ils n’ont rien d’anodin. Pour la santé et pour l’environnement.
Les blocs WC, Que Choisir a commencé à s’y intéresser en préparant son guide pratique sur les produits d’entretien. Étudier les fiches de composition de 244 nettoyants utilisés au quotidien a permis d’identifier les ingrédients qui présentaient une toxicité pour la santé ou pour l’environnement et de pénaliser les produits problématiques.
Mais l’examen des fiches de formulation des blocs WC a tout particulièrement interpellés. Des molécules classées allergisantes et bien connues pour se diffuser dans l’air intérieur, voire s’y transformer en polluants encore moins recommandables ont été détecté.
Un cocktail de polluants
Étant donné qu’ils émettent en permanence, nous avons décidé de les tester en laboratoire. Bien vu, la majorité d’entre eux diffusent tout un cocktail de polluants dans l’air, qu’ils appartiennent aux grandes marques du secteur telles que Canard, Harpic, Bref ou WC Net, ou aux géants de la grande distribution.
Des effets néfastes sur le long terme
L’autre enjeu de ces blocs WC est environnemental. À chaque fois qu’on tire la chasse d’eau, ils envoient des composés chimiques dans le réseau d’évacuation des eaux usées. Les stations d’épuration n’éliminant pas tout, ils s’en vont polluer la ressource en eau. C’est d’autant plus problématique que les blocs contiennent des substances classées toxiques pour les organismes aquatiques, avec en prime des effets néfastes sur le long terme en raison de leur faible biodégradabilité ou de leur caractère bioaccumulable. En sachant que 15 à 20 millions de ménages en utilisent et on tire la chasse d’eau plusieurs fois par jour, leur impact sur l’environnement n’est pas neutre.
Le test de blocs WC (réalisé par l’Ufc que choisir) compte néanmoins quelques produits qui génèrent moins de polluants pour la santé et l’environnement que les autres, les choisir est un moindre mal si on se sent incapable d’y renoncer.
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Sites de rencontres : les trois arnaques à éviter !
Chantages, extorsions, escroqueries sentimentales et aux placements financiers , sont les principales infractions ayant pour points de départ des contacts sur des sites et applications mobiles de rencontres. Les préjudices matériels et psychologiques de ces fraudes peuvent être importants. Dans certains cas, la promesse de relation sexuelle ou d’histoire d’amour peut tourner au drame.
La solitude peut pousser les personnes seules à s’inscrire sur un site ou une application mobile de rencontres. Mais attention : comme l’observent les gendarmes et les policiers, les prises de contact sur ces outils de mise en relation peuvent aboutir à des arnaques.
1. Les Chantages ou extorsions après l’enregistrement de vidéos intimes.
Ces infractions, surnommées « sextorsions », sont surtout réalisées par l’intermédiaire des applications Adopte (ancienne AdopteUnMec) et Tinder, et s’adressent plutôt aux hommes.
Le malfaiteur, surnommé brouteur, publie un profil comportant des photos de femme qu’il a trouvées en ligne. Il fait mine d’être intéressé par une rencontre avec sa proie, et demande à échanger des messages sur une autre application. D’après certaines plaintes, les auteurs demandent à discuter sur Messenger et réclament aux victimes le nom de leur profil sur cette application liée à Facebook, afin de pouvoir les menacer de transmettre la vidéo à leurs amis sur le réseau social. Le malfaiteur étant introuvable sur Messenger, une conversation est nouée sur WhatsApp ou sur Hangouts. Sur un service de visio-conférence, comme Skype, la personne en lien avec la victime lui donne l’illusion de se dénuder et de se masturber. Son apparence est proche de celle de la jeune femme dont les photos ont été publiées sur l’application de rencontres. « Il s’agit d’une vidéo trouvée sur le Net ». La victime se filme à son tour. Cette vidéo intime est enregistrée à son insu. Peu après, « la pseudo-jeune femme se transforme en homme menaçant de diffuser la vidéo sur les réseaux sociaux, auprès des amis de la personne et sur YouTube, en l’absence de versement d’une rançon pouvant atteindre plusieurs milliers d’euros ».
L’arnaque repose sur la crainte de la victime d’une diffusion de sa vidéo. Elle fonctionne également sur le bluff. Souvent, le bandit envoie à la victime une capture d’écran de la vidéo sur YouTube, « mais il s’agit de son espace privé », pas du site public. Si par extraordinaire le fichier était diffusé sur la plateforme, il ne résisterait pas longtemps à la modération mise en œuvre, YouTube n’étant pas un site pornographique interdit aux mineurs.
« Les auteurs n’ont aucun état d’âme ». Cette arnaque « peut même fonctionner à triple bande. Le brouteur fait ses menaces de diffusion. Il adresse à la victime un faux message de YouTube prétendant que la vidéo a été publiée et exigeant une amende. Il lui envoie un faux message de policiers d’Interpol, demandant de nouveaux versements au prétexte de tracer les flux financiers et de retrouver les auteurs. »
2. Les Escroqueries sentimentales.
Ces infractions s’adressent surtout aux femmes cherchant une histoire d’amour. « Il s’agit plutôt de femmes mûres, indiquant soit être seules depuis très longtemps, soit avoir subi une déception récente ». L’escroc utilise des photos d’un homme au physique avantageux. Il prétend devoir obtenir une somme d’argent, souvent pour pouvoir « débloquer un héritage »,et invite son interlocutrice à régler le montant. Un premier versement engendre d’autres demandes.
Afin d’accroître la confiance placée en lui, le malfaiteur peut organiser une conversation téléphonique.
Dans le cas des escroqueries sentimentales, un faux policier est susceptible de contacter la victime et de lui demander de verser des fonds.
Obtenir un remboursement auprès de sa banque est impossible, « les virements ayant été faits par la victime de manière volontaire ».
3. Les Escroqueries aux faux placements.
La gendarmerie et la police ont constaté en 2021 l’apparition de ces autres escroqueries. Menées sur Tinder ou Adopte, elles visent « principalement les femmes, qui ‘‘matchent’’ avec de prétendus traders ».
« À aucun moment il n’est question de rencontre, ce qui lève la suspicion des femmes. La personne se présente comme un bon ami, elle assure ne pas avoir besoin de travailler après avoir fait des placements, par exemple dans le bitcoin ou les NFT » (Non fungible tokens, jetons non fongibles). L’escroc « propose d’investir dans une plateforme de trading frauduleuse, proposant des rendements très élevés, par exemple à 20 % ». Des gains virtuels sont effectivement crédités au compte soi-disant ouvert sur la plateforme. Parfois même, « un virement est effectué sur le compte bancaire de la victime », pour faire miroiter des gains plus importants, mais il ne s’agit que d’une infime part des sommes déjà versées par la victime.
Ces fraudes sont plus sophistiquées que celles exposées plus haut, les escrocs devant créer des plateformes en ligne, mais elles peuvent aboutir à des préjudices financiers importants.
Bon à savoir : Il est important de déposer plainte. « On a tendance à penser que tous les auteurs sont installés en Afrique de l’ouest, de Côte d’Ivoire, du Sénégal ou du Mali. Beaucoup le sont, effectivement, mais certains opèrent en France. D’ailleurs, il y a eu une arrestation il y a quelques semaines dans le XIXe arrondissement de Paris ». Les auteurs peuvent tabler sur le fait qu’aucune plainte ne sera déposée et qu’ils resteront impunis.
Dans l’hypothèse où les auteurs se trouvent au-delà des frontières, les dénonciations peuvent donner lieu à des poursuites. « La coopération judiciaire s’améliore. Même si les plaintes n’aboutissent pas, au vu de leur nombre, les pouvoirs publics vont mettre plus de moyens pour traiter ces infractions et faire en sorte qu’il y ait davantage d’enquêteurs et de procureurs spécialisés ».
Faire une dénonciation peut également avoir des vertus psychologiques pour la victime.
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Signature d’acte notarié à distance…
Signer un acte notarié sans se déplacer, est-ce possible? Sans remplacer la visite chez le notaire, quelles sont aujourd’hui les possibilités de signature à distance?
Oui il est possible de signer un acte notarié à distance, le décret n°2020-1422 du 20 novembre 2020 (JO du 21 novembre) autorise les notaires à établir des procurations authentiques à distance de façon électronique.
Ainsi, depuis chez vous (en France ou à l’étranger), vous pouvez désigner, de façon sécurisée, un tiers de confiance (un ami, un membre de votre famille, un clerc de notaire travaillant dans l’étude, par exemple) afin qu’il signe un acte notarié à votre place.
Cette procédure peut être utilisée pour réaliser une donation-partage entre ses enfants, partager les biens d’une succession, par exemple.
En pratique, comment signer un acte notarié à distance?
La procuration à distance est établie à l’issue d’une réunion, en visioconférence, avec votre notaire. Il vous fournira l’ensemble des informations nécessaires et vous pourrez lui poser toutes vos questions.
Votre notaire vous envoie ensuite, par mail, un lien pour signer le document électroniquement. Vous devrez suivre les instructions de la procédure de la société DocuSign habilitée à délivrer les signatures électroniques. Vous aurez à fournir la copie scannée (recto verso) d’une pièce d’identité (carte d’identité ou passeport). Votre identité sera contrôlée et votre signature authentifiée par DocuSign qui enverra un message à votre notaire.
Cette procédure ne vaut que si votre notaire vous connaît : s’il vous a reçu au cours des dix années précédentes, il possède une copie de votre pièce d’identité et connaît votre adresse mail et votre numéro de portable. Sinon, la société DocuSign devra vérifier votre identité avant l’établissement de la procuration à distance. Renseignez-vous auprès de votre notaire sur la procédure à suivre.
De quel équipement a-t-on besoin?
– Avoir un ordinateur (ou une tablette) équipé d’une caméra et d’un micro ou un smartphone
– Et posséder une connexion internet, une adresse mail personnelle avec un accès à une messagerie électronique.
Bon à savoir : 75% des études notariales sont équipées d’un système de visioconférence agréé par le Conseil supérieur du notariat (CSN)
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