UFC-Que Choisir Vosges

Livret A, LEP, PEL… Quand toucherez-vous les intérêts de votre épargne ?

 

D’ici quelques jours, vous allez percevoir les intérêts générés en 2022 pour votre Livret A, votre LDDS et autres livrets bancaires. Mais quand, précisément ?

Si chaque mois, ou plus précisément chaque quinzaine, l’épargne placée sur vos livrets génère des intérêts, ce n’est qu’une fois par an qu’ils vous sont versés. Et la date approche puisque les intérêts de votre Livret A, de votre Livret de développement durable et solidaire (LDDS) ou de votre Livret d’épargne populaire (LEP) et plus généralement de vos livrets fiscalisés arrivent généralement la première semaine de janvier.

Toutefois, dans le détail, la date de versement dépend des banques. Certaines choisissent le premier jour ouvré du mois pour verser les gains de l’année précédente. Cela tombe cette année le lundi 2 janvier. D’autres calculent les intérêts le premier jour ouvré mais pour un versement le lendemain, mardi 3 janvier. Autre exemple, certains établissements promettent eux de débloquer les gains dès le 31 décembre, qui tombe cette année un samedi.

Autrement dit : il n’y a pas de règle unique. Chaque enseigne verse les intérêts au gré de ses contraintes techniques et de sa politique commerciale.

Date de valeur au 31 décembre

Rassurez-vous : ces nuances sont sans conséquence sur la rentabilité de votre épargne. Que les banques versent la rémunération le 31 décembre, le 2 ou le 4 janvier, l’immense majorité des enseignes retiennent la même date de valeur : le 31 décembre. Il s’agit de la date arrêtée pour calculer vos gains.

Concernant l’épargne logement, le PEL et le CEL, les banques procèdent le plus souvent de la même manière : date de valeur le 31 décembre et versement arrivant lors des premiers jours de janvier.

Concernant l’assurance vie enfin, le calendrier est différent. Les épargnants doivent attendre la mi-janvier, voire courant février, pour connaître le rendement de leur contrat de l’année écoulée. En revanche, la date de valeur reste la même. Ainsi, la revalorisation de votre assurance que votre courtier va vous indiquer dans les semaines à venir sera celle en vigueur au 31 décembre 2022.

 


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30 décembre 2022

Biomasse : les agro-pellets, une alternative écologique et économique aux granulés de bois

 

Tournesol, lin, chanvre, paprika, coco… Toutes ses cultures produisent des déchets qui pourraient très bien servir à fabriquer des pellets moins chers et encore plus écologiques que les pellets de bois

Les pellets de bois sont les stars incontestées de tous les réseaux sociaux en cette fin d’année 2022. La principale raison de cette mise sous les projecteurs est le prix des pellets de bois qui a exponentiellement augmenté. Ces « petits bouts de bois » deviennent un bois précieux que certains n’ont plus les moyens de s’offrir. Pour faire face à la flambée des prix, de nouveaux types de pellets se développent. On les appelle désormais les « agro-pellets » et sont tous fabriqués à partir de résidus de cultures, et non plus de résidus de bois comme la sciure ou les copeaux. Un petit tour d’horizon des agro-pellets déjà ou bientôt disponibles pour concurrencer les pellets de bois et peut-être faire baisser les prix ?

Les agro-pellets de chanvre

Il sera probablement l’avenir des pellets. Le chanvre est une plante très facile à cultiver et la France en est le premier producteur européen. Les pellets de chanvre sont fabriqués à partir des déchets de culture et, notamment, à partir des tiges qui n’étaient pas encore vraiment revalorisées. Le chanvre est surtout cultivé en France pour fabriquer des matériaux isolants, ou en cosmétiques. Il faudra dorénavant compter sur lui pour produire des pellets moins chers que ceux de bois, et encore plus écologiques.

Les agro-pellets de lin

La France produit 85 % de la production mondiale de lin, cette plante qui forme des champs d’un bleu perçant lors de la floraison.  Les anas de lin sont traditionnellement utilisés dans la confection de textile, ou comme pour le chanvre, pour des matières isolantes souvent installées dans les maisons passives tels que des tiny-houses ou des constructions écologiques. Selon l’entreprise Soels Electrotech basée dans le Nord, le granulé de lin remplacera graduellement le pellet de bois à une échéance de plus ou moins deux ans.

Les agro-pellets de paprika

L’idée innovante d’utiliser les déchets de culture du paprika nous vient de Corée du Sud, un pays très énergétiquement dépendant de ces voisins, qui essaie d’innover en la matière. Deux entreprises, EWP et Jinenertech tentent de réinventer la manière de se chauffer avec un projet de transformation des déchets de la culture du paprika. Les pellets de paprika, que l’on appelle aussi piment doux, garantissent une nouvelle alternative écologique aux pellets de bois. En Corée du Sud, les pionniers en la matière utiliseront donc les tiges des plants de paprika, qui ne sont actuellement jamais revalorisées. L’objectif étant de transformer ces déchets en granulés, qui eux-mêmes serviront à produire de l’électricité.

Les agro-pellets de paille

L’utilisation de la paille pour fabriquer des pellets est encore assez controversée, car les pellets de paille formeraient une matière plus sèche, qui se consumerait plus rapidement que les pellets de bois. Cependant, la luzerne, le foin ou la paille pourraient aussi devenir des matières premières pour la fabrication de biocombustibles. Le pionnier en la matière s’appelle Arnaud Besnier, il est entrepreneur du Calvados et vient de tester une super machine-outil, la Krone Premos… Dans moins de deux ans, elle devrait permettre de transformer directement le foin prélevé dans un champ, en produit fini : le pellet de paille.

Les agro-pellets de tourbe de coco

Les pellets en tourbe de coco arriveront-ils en France ? C’est assez peu probable, mais cette matière utilisée pour protéger les cultures du paprika peut également être utilisée pour fabriquer du biocombustible. Les mêmes entreprises sud-coréennes tenteront aussi de fabriquer des pellets de tourbe de coco, en plus de ceux issus des résidus des cultures du piment doux.

Les agro-pellets de tournesol

Ce nouveau type d’agro-pellet utilisera aussi des déchets de l’agriculture, mais pour le pellet de tournesol, ce ne seront pas les tiges, la matière première, mais les coques des graines. Actuellement jetées et non revalorisées, elles devraient aussi permettre de fabriquer un nouveau biocombustible, beaucoup moins cher que le pellet de bois.

Les inventions ne manquent pas en matière de pellet, il va désormais falloir les concrétiser pour que le pellet de bois redevienne une matière écologique et accessible, et nous évite de revenir à des énergies fossiles polluantes, seulement à cause de leur coût !

 


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29 décembre 2022

Grève SNCF de décembre 2022: comment se faire rembourser

 

Environ 200 000 voyageurs devraient être privés de train pendant les fêtes de fin d ‘année, en raison d’un mouvement social à la SNCF. Les personnes touchées peuvent échanger ou rembourser leur billet et obtenir un bon d’achat d’une valeur équivalente à 2 fois celle du trajet annulé.

La circulation des trains sera perturbée à partir de ce vendredi et jusqu’au lundi 26 décembre en raison d’une grève des contrôleurs de la SNCF, qui réclament notamment des augmentations de salaire. L’entreprise a annoncé ce mercredi que 2 TGV sur 5 devraient être supprimés en moyenne sur le territoire, avec des disparités selon les régions. Selon le secrétaire général de l’Unsa-Ferroviaire, syndicat qui n’appelle pas à la grève, les perturbations pourraient même durer jusqu’à la Saint-Sylvestre. C’est d’autant plus probable qu’« il n’y aura plus de négociations d’ici l’année prochaine », a expliqué Didier Mathis jeudi sur France Info.

La SNCF a annoncé que les passagers dont le train est annulé peuvent l’échanger sans frais ou obtenir un remboursement. Ils recevront, en plus du remboursement, une « compensation exceptionnelle » équivalente à 200 % du montant du billet, sous forme de bon d’achat.

Comment savoir si mon train est annulé ?

Tous les voyageurs devant voyager ce week-end recevront ou ont déjà reçu un SMS ou un courriel spécifiant si leur train est maintenu ou annulé. La SNCF a aussi mis en place un formulaire sur son site Internet où il suffit d’entrer son numéro de train et sa date de départ pour savoir s’il circulera ou non. La SNCF recommande de consulter le site la veille du départ, à partir de 17 h, pour bénéficier de l’information la plus fiable possible.

Comment échanger mon billet ou me faire rembourser ?

L’échange du billet est gratuit, même pour les billets « non échangeables et non remboursables », à condition d’en faire la demande avant l’heure de départ initiale du train. Cet échange est sans frais, même en cas de différence de prix entre les deux billets : si votre billet initial était à 49 € et que vous l’échangez contre un billet à 79 €, la différence ne vous sera pas facturée.

Pour réaliser cet échange ou demander un remboursement, rendez-vous sur le site de la SNCF, puis cliquez sur l’onglet « Billets » ou l’onglet « Compte client ». Indiquez le nom utilisé pour acheter le billet ainsi que la référence du dossier et cliquez sur « Échanger » ou « Annuler ». Le prix de votre billet sera remboursé sur votre compte bancaire dans un délai de 3 à 5 jours.

Vous pouvez également effectuer cette démarche auprès d’un agent conversationnel (chatbot) mis en place par la SNCF.

Comment obtenir le bon d’achat complémentaire ?

Après avoir demandé le remboursement ou l’échange de votre billet, vous recevrez automatiquement le remboursement du bien puis le bon d’achat exceptionnel quelques jours plus tard. Si votre billet a été supprimé avant l’annonce de cette mesure, vous pouvez faire la demande de compensation exceptionnelle à l’aide d’un formulaire dédié. Pour les trajets Ouigo, vous n’avez pas de démarche à faire, votre compensation vous sera envoyée par courriel dans les prochains jours. Pour les trajets en TER, la demande peut être effectuée auprès du service client de la région concernée.

Attention, cette compensation exceptionnelle ne concerne pas les trajets Eurostar et Thalys et ne peut pas être délivrée en gares ou boutiques SNCF. Le bon d’achat est dématérialisé et valable 1 an sur tous les trajets SNCF.

 


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28 décembre 2022

Voiture électrique : le crédit d’impôt pour l’installation d’une borne de recharge reconduit jusqu’à fin 2025

 

Vous envisagez d’équiper votre résidence principale ou secondaire d’un système de charge pour véhicule électrique ? Le crédit d’impôt, mis en place en 2021, est reconduit jusqu’au 31 décembre 2025.

Alors que la vente des véhicules thermiques neufs sera interdite à partir de 2035, la France veut encourager les automobilistes à rouler à l’électrique. Outre les coups de pouce à l’achat – prime à la conversion et bonus écologique, l’Etat a mis en place depuis 2021 un crédit d’impôt pour l’installation d’une borne de recharge pour véhicule électrique à domicile. Ce dispositif d’incitation fiscale, qui devait prendre fin le 31 décembre 2023, va être prolongé jusqu’à la fin de l’année 2025.

La mesure, proposée par le Sénat dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances pour 2023, a été retenue la semaine dernière par le gouvernement suite à un nouveau recours au 49.3 par la Première ministre, Elisabeth Borne.

Qui peut bénéficier du crédit d’impôt ?

Pour rappel, le crédit d’impôt est ouvert à tous les particuliers domiciliés fiscalement en France qui souhaitent installer une borne de recharge dans leur résidence principale et/ou secondaire (dans la limite d’une résidence secondaire par contribuable). Peu importe qu’ils soient propriétaires, locataires ou occupants à titre gratuit de leur logement.

Le bénéfice de l’avantage fiscal est limité, pour un même logement, à un système de charge pour une personne célibataire, veuve ou divorcée et à deux systèmes pour un couple soumis à imposition commune.

Quelles sont les dépenses concernées ?

Le crédit d’impôt concerne les dépenses pour l’acquisition et la pose d’un système de charge pour véhicule électrique. Les travaux doivent être réalisés par l’entreprise qui fournit l’équipement (ou par son sous-traitant). La facture doit indiquer le lieu de réalisation des travaux, la nature et les caractéristiques techniques des systèmes de charge et le montant de l’installation.

Quel est le montant du crédit d’impôt ?

Le crédit d’impôt est égal à 75 % du montant des dépenses (prix d’achat TTC + frais de pose), dans la limite de 300 € par système de charge. L’avantage fiscal peut donc atteindre 1 200 € pour un couple marié ou pacsé qui installent deux bornes dans leur résidence principale et dans leur résidence secondaire. Notez que le prix d’une borne de recharge tourne généralement autour de 1 000 €.

Comment bénéficier du crédit d’impôt ?

Pour bénéficier du dispositif, il faut indiquer le montant des dépenses dans la déclaration de revenus. Si l’installation est effectuée en 2022, il faut déclarer les dépenses dans la déclaration 2023 des revenus de l’année 2022. Les justificatifs de dépenses doivent être conservés au cas où le fisc les demanderait. Si le montant du crédit d’impôt dépasse celui de l’impôt dû, l’excédent sera restitué.

 


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27 décembre 2022

Le 22 Novembre 2022, nous étions représentés à cette conférence sur les directives anticipées.

26 décembre 2022

L’UFC-Que Choisir vous présente ses vœux et souhaits les meilleurs

LE MOT DE LA PRESIDENTE

2022 aura été pour moi une année particulière avec un nouvel engagement au poste de présidente. Je vais tout mettre en œuvre pour assumer pleinement cette nouvelle mission. Cette année aura été aussi depuis février 2022, le début de la guerre en Ukraine qui a marqué tout le monde pour sa violence à l’égard des civils et les conséquences pour les pays européens concernant les prix de tous les produits de consommation (gas oil, essence, électricité, bois alimentation…etc).

En espérant des jours meilleurs et au nom de tous les bénévoles, je vous présente mes meilleurs vœux pour l’année 2023.

Josselyne PERRARD

 

 

 

26 décembre 2022

Plateformes en ligne : à quoi devez-vous faire attention avant de réserver vos vacances ?

 

Aujourd’hui, internet et plus particulièrement les plateformes en ligne sont devenus le mode prédominant de réservation des nuits et séjours dans les hôtels. Les consommateurs doivent cependant faire attention à certains points de vigilance lorsqu’ils réservent sur ces plateformes.

Comme le constate la direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF), certaines plateformes de réservation en ligne d’hôtels ou de voyages ne se révèlent pas toujours transparente sur les offres qu’elles proposent et parfois ne respectent pas toutes les règles relatives à la protection du consommateur.

Voici quelques conseils pratiques pour réserver en toute tranquillité.  

Prenez le temps de comparer les offres des différentes plateformes en ligne

Ce conseil peut sembler paradoxal puisque par définition une plateforme en ligne compare des dizaines voire centaines d’offres. Mais les offres, tarifs et disponibilités varient souvent d’une plateforme à l’autre.

Soyez véritablement attentif aux détails de l’offre proposée. Il arrive qu’une offre concernant un hôtel puisse sembler plus attractive sur une plateforme que sur une autre. Mais en y regardant de plus près, vous vous rendez compte que celle qui semble plus attractive ne comprend par certains frais comme la taxe de séjour, le petit-déjeuner ou la location de draps (pour un gite) par exemple !

Mieux vaut comparer plutôt deux fois qu’une !

Contactez directement l’hôtel recherché

Même si les plateformes en ligne de réservation proposent des offres attractives, il peut être utile de contacter directement l’hôtel envisagé afin de voir s’il propose une offre plus ou moins avantageuse que celles des plateformes.

Profitez-en pour faire préciser certains points si vous le souhaitez : conditions d’annulation, chambre avec vue, lit enfant, petit-déjeuner, etc.

Méfiez-vous de certaines mentions qui peuvent vous inciter à réserver (trop) rapidement

Certaines plateformes font figurer à côté des offres, des mentions du type : « À saisir, plus que 1 chambre disponible » ou « 9 autres personnes regardent actuellement cet hôtel ».

Ces mentions ne doivent cependant pas vous inciter à réserver dans la précipitation.

Il est possible que la plateforme que vous consultez n’ait effectivement plus qu’une chambre à réserver pour un hôtel donné aux dates que vous souhaitez. Mais cela ne veut pas forcément dire que cet établissement ne propose plus de chambres sur d’autres canaux (autres plateformes ou même directement sur son propre site internet). De même, dans certains cas, les plateformes affichent des prix barrés, avec des tarifs fantaisistes ou non comparables, faisant croire à une fausse économie.

Aussi, soyez attentif aux conditions de l’offre proposée. Prenez le temps de bien l’étudier. Dans tous les cas, avant de réserver il peut être utile de contacter directement l’hôtelier pour comparer les tarifs et les offres avec celles proposées par les plateformes.

26 décembre 2022

Assurance vie, épargne, prime vélo … Ces 4 avantages exceptionnels à saisir d’ici la fin 2022

 

Bonus vélo, ristourne carburant… pour profiter de ces aides, mieux vaut vous dépêcher : elles ne sont disponibles que jusqu’au 31 décembre. Il en va de même pour le déblocage exceptionnel de votre épargne salariale ou encore pour le transfert de votre assurance vie vers un plan d’épargne retraite (PER).

Prime vélo : jusqu’à fin décembre pour acheter un vélo électrique

Vous en avez marre de la voiture ou du métro et souhaitez passer à un autre type de mobilité ? Pensez au vélo électrique ! Jusqu’au 31 décembre (date de la facture faisant foi), vous pouvez bénéficier d’une prime à la conversion lors de l’achat ou de la location d’un cycle à assistance électrique (VAE). Le montant de l’aide de l’État est fixé à 40% du coût d’acquisition, dans la limite de 3 000 euros, et soumis à plusieurs conditions. Il faut par exemple, dans le même temps, mettre à la casse un ancien véhicule diesel ou essence (voiture ou camionnette). Toutes les conditions sont à retrouver sur le site service-public.fr

Fin de la ristourne carburant pour tous

Alors qu’elle était de 30 centimes par litre de carburant depuis avril, la remise à la pompe est passée à 10 centimes depuis le 16 novembre. Mais pour profiter de cette « ristourne », mieux vaut se rendre rapidement à la station service. Car cette remise pour tous disparaitra le 31 décembre, pour laisser place à une autre aide « plus ciblée ». A compter du 16 janvier 2023, les 10 millions de « travailleurs » les plus modestes pourront demander une aide d’un montant de 100 euros pour atténuer leurs dépenses en carburant. Selon le gouvernement, cette nouvelle aide représente « une remise de l’ordre de 10 centimes par litre » à la pompe pour quelqu’un qui parcourt 12 000 kilomètres par an.

Débloquer son épargne salariale jusqu’au 31 décembre

Parmi les différences mesures de la Loi pouvoir d’achat, votée cet été, on retrouve la possibilité de débloquer l’épargne salariale. Les travailleurs qui en profitent peuvent, jusqu’à fin décembre, retirer sans motif leur épargne, et ce sans attendre les 5 ans habituellement réclamés. Pour y prétendre, vous pouvez contacter votre gestionnaire ou effectuer une demande en ligne. Une chose à garder en tête cependant : vous ne pouvez faire qu’une seule demande, et cette dernière doit être effectuée avant le 31 décembre.

Assurance vie et PER : derniers jours pour faire un choix

Jusqu’au 31 décembre, les détenteurs de « vieux » contrats d’assurance vie (plus de 8 ans) peuvent s’ils le souhaitent transférer leur contrat vers un Plan Epargne Retraite (PER). Il faut pour cela avoir moins de 57 ans et réinvestir l’intégralité des sommes présentes sur le contrat d’assurance vie sur le PER. Pourquoi en profiter rapidement ? Jusqu’à la fin de l’année, transférer l’argent de votre assurance vie sur un PER permet de profiter d’un doublement de l’abattement fiscal, jusqu’à 18 400 euros pour un couple.

 


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23 décembre 2022

Arnaque : à l’approche des fêtes de fin d’année, les faux inspecteurs des impôts sont de retour

 

Des malfrats se font passer pour des agents assermentés d’un centre des impôts proche de chez vous et vous accusent d’un faux « délit fiscal ».

Prudence en cette fin d’année. Comme à chaque période de fête, les escrocs en profitent pour ressortir leurs bonnes vieilles méthodes, tenter de vous amadouer et de vous soutirer de l’argent. Dernièrement, les arnaques au CPF, à la Carte vitale ou encore aux faux banquiers ont été très nombreuses, mais ce sont désormais de faux agents des impôts qui recommencent à contacter certaines victimes dans la Manche. Au bout du fil, l’escroc prétend que vous êtes l’auteur d’un « délit fiscal ». La stratégie est simple : si vous ne payez pas une amende, vous risquez deux ans de prison.

Pourquoi les escrocs arrivent à faire mouche ? Parce qu’ils emploient un ton assez menaçant et les victimes, comme très souvent des personnes âgées, n’ont d’autres choix que de céder. Même si vous êtes menacés au téléphone, le malfrat ne peut rien faire tant que vous ne lui avez pas délivré d’informations personnelles. Il est donc conseillé de bien faire attention à ne pas divulguer vos informations bancaires, les services fiscaux du département rappellent qu’en aucun cas, les numéros de carte bancaire ne sont demandés par téléphone.

Les conseils pour lutter contre ces arnaques

La seule chose à faire dans ce genre de cas est de ne pas répondre et raccrocher et, pour éviter que d’autres personnes ne soient victimes de tentatives similaires, vous pouvez contacter le 33700, une plateforme qui lutte contre les spams et SMS frauduleux. Ce type d’arnaque est en tous points similaire à celle vous accusant d’avoir consulté des sites pédopornographiques. Des victimes avaient été contactées par des escrocs par téléphone ou par courriel.

Sur son site officiel, la Direction générale des Finances publiques (DGFiP) n’a de cesse de mettre en garde contre les numéros surtaxés qui renvoient vers les finances publiques alors qu’ils sont frauduleux. Mais également contre les usurpations d’identité qui visent les entreprises. La DGFiP conseille de bien scruter tous les éléments permettant de repérer une escroquerie : fautes d’orthographe ou de syntaxe, demandes d’informations détaillées sur l’entreprise, coordonnées bancaires. Ou encore les escroqueries aux faux ordres de virement. Ces FOVI, comme elles sont appelées, poussent par exemple un salarié à effectuer un virement bancaire sur un compte frauduleux, en usurpant l’identité du véritable créancier.

 


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22 décembre 2022

Faites réparer vos appareils électriques et électroniques avec le bonus réparation !

 

Le bonus réparation est lancé depuis le 15 décembre prochain. Objectif : inciter les consommateurs à prolonger la durée d’usage de leurs équipements plutôt que d’acheter un appareil neuf en cas de panne.

90 % des pannes aujourd’hui demeurent non réparées. L’objectif du bonus réparation est d’augmenter de 20 % par an le nombre de réparations et d’allonger la durée de vie des appareils électriques et électroniques. Ce dispositif était prévu dans la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (loi Agec) de 2020. Cette mesure est financée par les entreprises via des éco-organismes.

Le bonus réparation s’applique à des produits qui ne sont plus sous garantie. Une trentaine de catégories sont dans un premier temps concernés puis la liste des appareils doit s’étendre chaque année jusqu’en 2025.

Il propose un forfait compris entre 10 et 45 €, calculé selon le type d’appareil, ce qui équivaut à environ 20 % de la facture totale de réparation.

Exemples de bonus : 10 € pour une machine à café, 25 € pour un lave-linge ou 45 € pour un ordinateur portable.

À noter : Les produits encore sous garantie ne sont pas concernés par ce bonus, tout comme le remplacement d’accessoires, de batteries ou si le problème résulte d’un usage non conforme de l’appareil.

Comment trouver un réparateur ?

Vous souhaitez trouver un réparateur participant au dispositif ? Rendez-vous sur le site ecosystem.eco

Un annuaire des réparateurs agréés sera prochainement mis en place.

Comment s’applique le bonus ?

Pour bénéficier de ce dispositif, vous devez obligatoirement faire appel à un réparateur labellisé QualiRépar, référencé pour ses compétences professionnelles. Tous les types de réparateurs peuvent obtenir ce label, pour une durée de 3 ans : réparateurs indépendants, artisans, réparateurs industriels, services-après-vente (SAV) fabricants et SAV distributeurs. Le réseau devrait compter plus de 1 500 professionnels en 2023.

Le bonus réparation s’applique ensuite immédiatement pour le consommateur : il est déduit, de manière visible, de votre facture et le professionnel est directement remboursé par les éco-organismes.

Textes de loi et références : loi n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire 

 


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21 décembre 2022

Comparateurs en ligne : quelles sont les obligations d’information vis-à-vis des internautes ?

 

Comparateur de vols, d’assurances, de banques… de nombreux consommateurs font appel à des comparateurs en ligne avant d’acheter un bien ou un service. Mais savez-vous que la loi leur impose certaines obligations d’information afin de mieux renseigner les utilisateurs ?

Quels sont les comparateurs concernés par les obligations d’informations des utilisateurs ?

Un comparateur doit respecter les obligations d’informations vis-à-vis des utilisateurs si :

  • son activité consiste à fournir des informations en ligne permettant de comparer des prix et des caractéristiques de biens et de services
  • le site internet qui héberge cet outil utilise les termes de « comparateur » ou de « comparaison » pour définir son activité commerciale.

C’est le décret du 22 avril 2016 qui précise le détail des obligations d’informations auprès des internautes.

Quels renseignements doivent être disponibles sur le site du comparateur ?

Afin d’informer au mieux les consommateurs, le site doit disposer d’une rubrique qui détaille le fonctionnement du comparateur en ligne. Cette rubrique doit être directement et facilement accessible de toutes les pages du site.

La rubrique d’informations sur le fonctionnement du comparateur en ligne doit indiquer :

  • les critères de classement des offres de biens et de services
  • les éventuelles relations contractuelles ou les liens financiers que le comparateur entretient avec les professionnels qui délivrent les biens ou les services disponibles sur le comparateur
  • l’existence ou non d’une rémunération du site par les professionnels référencés et l’impact de celle-ci sur le classement des offres (le caractère publicitaire doit faire apparaitre la mention du mot « Annonces »)
  • le détail des éléments constitutifs du prix et la possibilité que des frais supplémentaires y soient ajoutés
  • la variation des garanties commerciales selon les produits comparés
  • le caractère exhaustif ou non des offres de biens ou de services comparées, ainsi que le nombre de sites ou d’entreprises référencés
  • la périodicité et la méthode d’actualisation des offres comparées.

S’agissant des biens et des services comparés, les consommateurs doivent être informés sur leurs caractéristiques essentielles et leurs prix, incluant tous les frais, commissions, intérêts et taxes, ainsi que les éventuelles garanties commerciales pour les biens.

Les comparateurs sont également tenus d’afficher le caractère publicitaire d’une offre référencée à titre payant et dont le classement dépend de la rémunération perçue.

Quelles indications doivent apparaître sur chacune des pages de résultats du comparateur ?

Toujours dans le but d’informer au mieux le consommateur, les comparateurs ont l’obligation de faire apparaître en haut de chaque page de résultats du comparateur en ligne, avant le classement des offres, un certain nombre d’informations :

  • le critère de classement des offres et sa définition de ce critère
  • le caractère exhaustif ou non des offres comparées et le nombre de sites référencés
  • le caractère payant ou non du référencement.

Ces informations doivent être lisibles et compréhensibles.

Quelles informations doivent être présentes près de chaque offre comparée ?

Dans le même souci d’informer l’internaute, le comparateur doit faire apparaître un certain nombre d’informations à proximité de chaque offre dont la comparaison est proposée :

  • les caractéristiques essentielles du bien comparé
  • le prix total à payer par le consommateur
  • les éventuelles garanties commerciales comprises dans le prix.

Que doit comprendre le prix affiché dans un comparateur ?

Le prix d’un bien ou d’un service doit inclure tous les frais ! Cela inclut les frais de dossier, de gestion, de réservation, d’annulation, les frais de livraison, les frais d’intermédiation, les intérêts ainsi que les commissions et les taxes.

Le comparateur doit également indiquer les éventuelles conditions particulières d’application du prix annoncé et sa base de calcul lorsqu’un prix exact ne peut être indiqué.

 


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A propos de cet article dont la source est «economie.gouv.fr»

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20 décembre 2022

Téléphone fixe : vous pourrez garder votre numéro le 1er janvier 2023 si vous changez de région

 

À partir du 1er janvier 2023, vous pourrez conserver votre numéro de téléphone fixe commençant par 01, 02, 03, 04 ou 05 après un déménagement dans une autre région de France métropolitaine.

Fini les contraintes géographiques des numéros de téléphone fixe commençant par 01, 02, 03, 04 ou 05. A partir du 1er janvier 2023, il sera possible de conserver son numéro en cas de déménagement dans une autre zone géographique de France métropolitaine, selon une décision de juillet 2019 de l’Autorité de régulation des télécoms (Arcep).

Qui sera concerné ?

Jusqu’à présent en métropole, chaque numéro géographique commençant par 01 à 05 était associé à l’une des cinq grandes zones segmentant le territoire métropolitain, elles-mêmes subdivisées en  412 zones plus petites, appelées zones de numérotation élémentaire (ZNE). Lorsqu’un particulier ou un professionnel déménageait dans une autre ZNE, il était obligé d’utiliser un numéro correspondant à cette ZNE.

Dès le 1er janvier prochain, il n’y aura plus d’obligation d’implantation géographique. « Un habitant de Lyon, dont le numéro de téléphone fixe commence par 04 et qui déménage à Rennes pourra conserver son numéro de téléphone fixe. Un nouvel abonné fixe habitant à Rennes pourra également demander à son opérateur, s’il le souhaite, que son numéro ne commence pas par 02 », explique l’Arcep.

En Outre-mer en revanche, les numéros fixes restent propres à chaque territoire et il ne sera pas possible de conserver le même numéro en cas de déménagement dans un autre territoire ultramarin ou en métropole.

Pourquoi cet assouplissement ?

Cette évolution répond à un « besoin pratique pour les particuliers », explique le gendarme des télécoms qui estime qu’aujourd’hui, environ un déménagement sur deux donne lieu à un changement de numéro d’appel fixe. La portabilité des numéros fixes constitue également « un enjeu économique pour les entreprises ». « Un déménagement de quelques kilomètres, dans une commune voisine située dans une ZNE différente suffisait pour qu’une entreprise soit confrontée à la perte de son numéro de téléphone fixe », précise l’Arcep. Or, un changement de coordonnées téléphoniques posait souvent un préjudice économique.

Rappelons par ailleurs que les numéros fixes non-géographiques, c’est-à-dire ceux commençant par 09, sont déjà portables au sein de la métropole ou d’un même territoire ultramarin.

 


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A propos de cet article dont la source est «mercipourlinfo.fr»

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19 décembre 2022

Etiquetage des produits: les conseils aux consommateurs. Produit Label Rouge : à quoi vous attendre ?

 

En faisant vos courses, chez vos petits commerçants ou en grande surface, vous croisez sans doute souvent des produits porteurs d’un Label Rouge. Mais savez-vous ce que signifie ce label ? On vous explique ce que vous garantit l’achat d’un produit bénéficiant du Label Rouge.

 

Label Rouge : qu’est-ce que c’est ?

Le Label rouge est un sigle national vous permettant d’identifier des produits bénéficiant d’un niveau de qualité supérieur en comparaison à des produits similaires.

Ce label existe depuis près de 60 ans : en 1965 le poulet des Landes devient le premier produit porteur d’un Label rouge.

Aujourd’hui, pour bénéficier du Label rouge, tout professionnel doit prouver que le produit qu’il propose à la vente est conforme à l’un des 400 cahiers des charges du label.

16 décembre 2022

Achats sur internet et conseils aux consommateurs: peut-on faire confiance aux avis en ligne ?

 

Comme de nombreux Français, avant d’acheter un bien ou un service en ligne, vous vous appuyez sur les avis d’internautes pour orienter votre choix ? Mais peut-on faire confiance à ces avis ? Quelles sont les règles que les commerçants doivent suivre lorsque les internautes peuvent déposer un avis sur leur site ?

Quelles sont les règles que le commerçant doit respecter lorsque des avis sont publiés sur son site internet ?

Selon le code de la consommation les commerçants doivent préciser :

  • s’il y a une procédure ou non de contrôle des avis 
  • la date de publication de chaque avis ainsi que celle de l’expérience de consommation concernée par l’avis
  • les critères de classement des avis parmi lesquels figurent le classement chronologique
  • s’il existe une contrepartie fournie en échange du dépôt d’avis
  • le délai maximum de publication ou de conservation d’un avis.

De plus, lorsque le commerçant exerce un contrôle sur les avis, il doit également informer les internautes :

  • des caractéristiques principales du contrôle des avis au moment de leur collecte, de leur modération ou de leur diffusion
  • de la possibilité, le cas échéant, de contacter le consommateur auteur de l’avis
  • de la possibilité ou non de modifier un avis et, le cas échéant, les modalités de modification de l’avis
  • des motifs justifiant un refus de publication de l’avis.
15 décembre 2022

Coupure d’électricité: le kit de « survie » à préparer

 

Malgré les efforts de chacun pour baisser sa consommation électrique, le risque de coupure électrique est bien réel alors voici un kit de « survie » à constituer pour que tout se passe bien en cas de coupure d’électricité à la maison.

  • Le kit bougies naturelles 36 heures ou à Led

Choisissez des bougies à combustion lente que vous pourrez placer dans de grands photophores pour limiter les risques d’incendie. Il existe des bougies de survies avec trois mèches, utilisées par les campeurs et qui offrent plus de 36 heures de combustion et peuvent même servir de chauffe-plats. à partir de 9.90€ chez les spécialistes du camping ou internet.

Vous pouvez aussi investir dans des bougies Led qui sont sans risque et qui fonctionnent sur piles. Il existe aussi des modèles rechargeables en USB, attention à ne pas oublier de les charger!

  • Lampe dynamo et frontale

Plus de lumière? Pas de panique. On peut revenir aux bonnes vieilles lampes à piles. Notamment les lampes frontales, bien utiles si vous avez envie de lire dans votre lit. Qui reste l’activité la plus adaptée en cas de coupure de courant… Cette lampe, accrochée à votre front, vous permet aussi de vous déplacer dans votre logement sans vous prendre une poutre, une porte ou le sofa.

Alternative intéressante: la lampe à dynamo, c’est-à-dire qu’elle se recharge grâce à une petite manivelle qu’il faut tourner pour avoir un peu de lumière. On peut en trouver à partir de 8€ chez Decathlon, 13€ chez Leroy-Merlin.Si vous habitez dans une région où il y a encore un peu de soleil en janvier, vous pouvez mettre toutes les chances de votre côté et opter pour une lampe à dynamo, mais aussi solaire (dès 10 € chez Leroy-Merlin).

  • Piles et batteries mobiles

On y pense peu dans notre société d’abondance où les batteries rechargeables ont remplacé les piles, mais avoir quelques piles en réserve pour être sûr de pouvoir alimenter certains appareils, cela peut être une bonne idée. Regardez quelles sont les piles adaptées pour votre radio, votre lampe frontale par exemple pour acheter uniquement ce qui peut convenir.

Autre objet intéressant, dans le cas où les coupures de courant tomberaient à un moment où vous avez besoin de votre portable et qu’il affiche 3%: la batterie externe pour téléphone. Si votre portable est à plat chaque jour à 18h et si une coupure de courant intervient à cette heure précisément, vous aurez ainsi dans votre sac ou chez vous de quoi remettre de la batterie. Et être sûr de pouvoir joindre le 112 en cas de problème ou vos proches en cas de panique. Vous pourrez trouver des batteries externes avec ou sans fil, solaire ou non, sur Internet ou chez Darty à partir de 20 euros.

  • Lampe de table sans fil LED

De plus en plus utilisées par les restaurants l’été pour éclairer les clients toute la soirée, les lampes de table sans fil se rechargent en USB et permettront d’éclairer la maison facilement si besoin.

  • Alllumettes, argent liquide, jeux…

Pour compléter ce kit de « survie », pensez à mettre de côté une petite boite rapidement accessible avec des allumettes, un peu d’argent liquide (les terminaux bancaires ne marcheront pas) et des jeux simples à utiliser sans trop de lumière!

Pour compléter cette panoplie et ne pas souffrir du froid, pensez à vous équiper avec une sélection d’accessoires pour avoir bien chaud à la maison.

 


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14 décembre 2022

Alerte au nouveau  » faux « support technique

 

Alors que des personnes viennent d’être interpellées, de nouveau un autre faux support technique vient d’apparaitre.

Plus fort encore, le conseil donné à l’affichage, oralement pour vous faire encore plus peur:

 » N’ ARRETEZ PAS VOTRE ORDINATEUR « 

Bien sûr qu’il faut arrêter son ordinateur, et le plus rapidement possible.

En général, redémarrer son ordinateur suffit pour que tout rentre dans l’ordre.

Au moindre doute, contactez un réparateur à côté de chez vous et rendez-vous sur la plateforme Cybermalveillance.gouv.fr, dont l’UFC-Que Choisir est membre, pour plus d’informations.

13 décembre 2022

Bûches de Noël: la fête aux additifs

 

Les bûches vendues au rayon surgelés des grandes surfaces contiennent trop d’additifs, d’arômes et autres substances ajoutées. Un conseil, lisez les étiquettes !

Glacée ou pâtissière, ornée de cerises confites, nappée d’un glaçage au chocolat ou d’une délicieuse ganache imitant l’écorce du bois… ah, les belles bûches, invitées d’honneur de nos tables du réveillon ! Et si leurs jolis champignons meringués et leurs petits sapins verdoyants cachaient une balade moins… « nature » ? Cassons le mythe : celles commercialisées en supermarché ne contiennent pas que du chocolat extra-fin, des fruits exotiques ou de la crème 100 % lait français ; elles sont aussi parfumées aux arômes, fourrées de divers ingrédients tels que du sirop de glucose, de la maltodextrine ou de la gélatine de bœuf et bourrées d’additifs.

Nous avons examiné les étiquettes de 50 bûches glacées et celles de 11 pâtissières surgelées, commercialisées dans la grande distribution. Cinq de la seconde catégorie provenaient du rayon pâtisserie en libre-service ; il s’agissait de gâteaux décongelés – c’était mentionné sur leur emballage, comme l’impose la réglementation. Ces desserts, nous les avons achetés il y a un an, en décembre 2021. Pourquoi pas cette année ? Tout simplement parce que le bouclage de ce numéro de Que Choisir a eu lieu avant que les premiers produits de la saison 2022 soient disponibles en magasin. Nous avons sélectionné des saveurs classiques, que l’on retrouvera à coup sûr dans les bacs cette année.

Oubliez la diététique !

C’est une évidence, la bûche n’est pas un plat de régime : en général très calorique, elle comporte beaucoup de sucres et de matières grasses saturées, et peu de fibres et de protéines. Cependant, les Nutri-Score oscillent entre C et E pour des produits équivalents ; presque la moitié affichent un D. Moins de sucres ajoutés ou davantage de fibres allègent la note – c’est le cas de certaines versions glacées à base de sorbets aux fruits. Par contre, n’espérez rien de léger avec les pâtissières, ­surtout quand elles sont au chocolat ! Certes, il s’agit d’un mets festif, et un dérapage sur les lipides ou les glucides est monnaie courante en fin ­d’année. Mais lorsqu’un mauvais score est dû à un excès de sucres ajoutés, on ne peut que le regretter.

Trop de marqueurs de l’ultratransformation

Par ailleurs, la plupart des produits étudiés renferment trop d’ingrédients caractéristiques de l’ultratransformation, dont certains s’avèrent nocifs pour la santé. Même si les fabricants annoncent réduire progressivement l’usage des additifs, le résultat n’est pas vraiment probant. Parmi les 61 bûches évaluées, nous avons relevé 42 additifs différents au total. Et le pire côtoie le meilleur : deux desserts n’en mentionnaient que 2 tandis qu’une référence en affichait 15. C’est trop, d’autant que nous ignorons encore tout d’éventuels « effets cocktail » en cas de mélange de ces molécules.

La majo­rité de ces substances sont des agents de texture (épaississant, gélifiant, émulsifiant, etc.). Les autres jouent un rôle de colorant, d’antioxydant ou d’édulcorant. Une partie de ces additifs ne posent a priori pas de souci majeur. Dans l’évaluation élaborée par l’UFC-Que Choisir, 12 sont classés « acceptables », à l’instar du tartrate de potassium, du bicarbonate d’ammonium ou du sulfate de calcium ; 19 autres sont « tolérables », tels que la curcumine, l’acide citrique, la lécithine de soja, la farine de graines de caroube ou la gomme de guar, deux épaississants dont les industriels ont du mal à se passer. À l’inverse, 12 sont étiquetés « peu recommandables », comme les mono et diglycérides d’acide gras. Enfin, un additif est jugé « à éviter » : le phosphate de calcium (E341). Il permet d’améliorer la texture des glaces et des sorbets, mais favoriserait certains troubles cardiovasculaires. Cela aurait dû conduire les marques à le bannir de leurs recettes. On l’a pourtant détecté dans cinq références (Erhard, Lidl, Monoprix…). Toutefois, le remplacer par de la caroube ou de la gomme de guar « représente un surcoût », concède un industriel.

Ajouter des arômes, une faute de goût

Comment les pâtissiers rehaussent la saveur de leurs bûches trop pauvres en fruits mûrs ? En y versant quelques gouttes d’arômes ! Seuls 15 desserts sur 61 n’en intègrent pas (en excluant les décors en chocolat), alors que les autres peuvent en compter jusqu’à 6. Dès que la recette comprend du chocolat, la présence d’arômes naturels de vanille est presque systématique. Pas la peine de se référer aux emballages : même si des fleurs ou des gousses de vanille y figurent en gros, il s’agit trop souvent d’arômes, d’extraits, de vanille épuisée (poudre obtenue en broyant des gousses dont les graines ont déjà été retirées) ou de vanilline.

D’autres composants typiques de l’ultratransformation sont largement utilisés. Certains ont une fonction technologique (rôle de liant, de stabilisant de l’eau pour éviter la formation de cristaux de glace…) ou cosmétique (afin de confectionner un nappage parfait, par exemple) ; d’autres remplacent des ingrédients nobles pour un coût moindre, ou se substituent à des additifs. On a décelé ainsi, dans toutes les références de notre test, des substances telles que du dextrose, des protéines de lait, des amidons, des fibres végétales, des extraits de fruits ou de légumes, etc. Quelques-unes sont très employées en pâtisserie, comme la gélatine de bœuf, un gélifiant et épaississant. Autant de qualités précieuses pour une glace, mais que le client n’imagine pas trouver dans une bûche de Noël – surtout quand elle est signée Fauchon, une marque haut de gamme. Contactée, cette dernière nous répond que ce « gélifiant naturel apporte une tenue et du fondant en bouche. Cela permet de stabiliser un dessert qu’on souhaite conserver longtemps ».

Des suppressions compliquées et coûteuses

Pas sûr que les consommateurs soient sensibles à ces arguments. Ils réclament au contraire des produits plus naturels. Cependant, les transformateurs renâclent : « Faire une glace, c’est facile, souligne un fabricant. Enlever certains ingrédients, non. Ce n’est pas qu’une question de volonté : modifier une recette s’avère compliqué, long… et plus cher ! » Consentir un coût de fabrication plus élevé est inenvisageable, car les actionnaires des entreprises attendent de fortes marges. Sans parler du problème de l’approvisionnement. « Pour des petits volumes, on peut obtenir des substituts spécifiques, mais trouver en quantité suffisante ceux dont ont besoin les gros industriels est impossible », ajoute-t-il.

Certaines marques sont globalement mieux-disantes que d’autres, à l’instar de L’Angélys, Utopy ou Picard. Ainsi, Denis Lavaud, fondateur de L’Angélys, explique placer « très peu de décors sur [ses] bûches, car ils sont pleins d’additifs, notamment de colorants ». Et, cette année, il a éliminé les sirops de glucose et de sucre inverti de plusieurs de ses sorbets. « Il a fallu deux ans de recherche et de développement, parce que ces suppressions ont des conséquences sur leur onctuosité et leur tenue. En contrepartie, nous mettons beaucoup de fruits et ajustons avec du sucre de betterave. Nous ajoutons des fibres de maïs et des protéines de pomme de terre, afin de redonner de la texture et empêcher la formation de cristaux de glace. »

Toutes les bûches disponibles en grandes surfaces sont des produits ultratransformés, à consommer avec modération. Quelques marques se distinguent positivement, bien que ce ne soit pas systématique pour toutes leurs références. Et un prix élevé ou un positionnement premium ne garantissent pas une liste d’ingrédients épurée. Mieux vaut la lire attentivement et choisir la plus courte avant d’acheter.

Si vous disposez d’un budget plus substantiel, vous pouvez choisir un dessert portant le logo « fait maison » chez un artisan. Ce dernier propose aussi, parfois, des pâtisseries décongelées – contraint d’anticiper la fabrication d’un grand nombre de bûches, il les congèle pour les conserver –, mais il doit alors le préciser. Enfin, il existe l’option DIY (do it yourself, « faites-le vous-même ») : Que Choisir a testé une recette simple. Joyeux Noël, et bon appétit !

 


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12 décembre 2022

La maison de l’habitat et du territoire d’Epinal vous aide !

Dans le magazine de l’Agglo d’Epinal de Novembre 2022(numéro 18), vous trouverez les contacts pour vous aider dans votre projet de rénovation.

4 conseillers de la Maison de l’Habitat et du Territoire sont à votre disposition pour des conseils et un accompagnement personnalisés et gratuits.

9 décembre 2022

Emails, réseaux sociaux… Utilisez un gestionnaire de mots de passe!

 

Pour être efficaces et sécurisés, vos mots de passe doivent être uniques. Mais comment tous les mémoriser? La solution? Utiliser un gestionnaire de mot de passe qui s’occupe de tout à votre place.

À chaque création d’un nouveau compte personnel sur internet (réseaux sociaux, achats en ligne….) ou dans une application, vous devez créer un mot de passe. Ce code garantit la protection de vos données à condition que ce ne soit pas le même partout et qu’il ne soit pas trop simple. « Il faut utiliser un mot de passe unique par site internet et il doit faire 25 à 30 caractères pour être vraiment efficace » , explique Bertrand Tastour, directeur de l’éditeur en sécurité Kaspersky. L’email est le pivot de votre vie numérique, ce dernier doit être hautement et particulièrement sécurisé.

Même avec une excellente mémoire, personne ne peut retenir des dizaines de mots de passe aussi longs composés de lettres, de chiffres, de majuscules, de minuscules… Alors comment garder en tête ces précieux codes? Des logiciels sécurisés appelés gestionnaire de mots de passe peuvent le faire pour vous. Ils permettront aussi de remplir les formulaires en ligne automatiquement ou de conserver et protéger vos coordonnées bancaires pour les paiements en ligne.

Comment fonctionne un gestionnaire de mots de passe?

Ces logiciels (ou applications) permettent de créer et de conserver vos mots de passe en lieu sûr pour les utiliser quand vous en avez besoin. Ils agissent comme des coffres blindés et sécurisés qui ne s’ouvrent qu’avec un code unique que vous êtes le seul à connaître. Le coffre stocke les mots de passe et les actionne à la demande.

Lors de l’installation, le gestionnaire va vous demander de créer un compte avec un mot de passe principal. Ensuite, lorsque vous créerez un compte sur un site internet, pour un achat en ligne par exemple, le logiciel vous suggérera un mot de passe et l’enregistrera dans votre coffre. Quand vous retournerez sur ce site, le logiciel reconnaîtra votre compte et vous enverra le mot de passe pour vous connecter après avoir entré votre mot de passe principal.

Si vous perdez votre mot de passe principal, vous pourrez le réinitialiser, mais le contenu du coffre sera immédiatement détruit par précaution. Il faudra alors lui faire réenregistrer tous vos mots de passe.

Un gestionnaire va aussi vérifier que les codes sécurisés que vous avez créés vous-même sont assez forts et surveiller qu’aucun n’a été exposé, volé ou compromis.

Quel gestionnaire de mots de passe choisir?

1) Kaspersky Password Manager: la solution la plus complète

La solution de Kaspersky va gérer pour vous les mots de passe, mais également les formulaires de contact, la sécurité des achats en ligne avec votre carte bancaire et vérifier la sécurité de vos comptes. Le logiciel offre une vue générale très claire de tous vos comptes et codes, il gère également l’accès à vos informations par empreinte digitale si vos appareils le permettent.

Où le trouver:www.kaspersky.fr (tarif: à partir de 1,16€/ mois)

2) Dashlane : la solution gratuite

Simple à comprendre et à utiliser, Dashlane existe en version light gratuite si vous avez moins de 50 mots de passe à mémoriser. Au-delà il faudra passer à la version payante (à partir de 1,99€ par mois)

Où le trouver:www.dashlane.com (tarif: gratuit)

3) 1Password: la solution familiale

Une solution facile à comprendre et à utiliser qui sera très utile pour un usage familial avec plusieurs comptes à gérer.

Où le trouver: https://1password.com (tarif: à partir de 2,50€ par mois)

Conseil +: si vous n’utilisez pas un gestionnaire de mots de passe, vous pouvez demander à votre navigateur internet Chrome, Safari, Edge ou Firefox d’enregistrer vos codes. Le risque est de vous faire pirater facilement en cas de vol de votre ordinateur (d’où l’importance d’activer un mot de passe à l’allumage de votre ordinateur). Cela marchera pour les sites internet, mais pas pour les applications sur smartphone. Android et iOS proposent aussi de retenir les mots de passe ou de vous identifier grâce à la reconnaissance faciale.

 


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8 décembre 2022

Chocolat au lait, gianduja, chocolat noir… comment s’y retrouver ?

 

Avec une consommation annuelle moyenne de de 6,4 kg par habitant en 2021, la France se hisse au 10e rang mondial en matière de consommation de chocolat. Afin de bien le choisir, on vous dit comment déchiffrer les étiquettes.

 

Qu’est-ce qu’un chocolat ?

Cette question peut paraître trop évidente mais, en France, l’utilisation du mot « chocolat » répond à une définition très précise. En effet, la composition d’un chocolat est encadrée par le décret n°76-692 du 13 juillet 1976 selon lequel un chocolat doit avoir une teneur minimale en cacao. La proportion en cacao doit obligatoirement figurer sur les étiquettes.

En outre, un chocolat est essentiellement composé de cacao, de beurre, de sucre, de lait et d’autres ingrédients destinés à lui conférer une certaine saveur (fruit sec, praliné, caramel, écorce d’orange, etc.). Il doit avoir une teneur en matière sèche de cacao supérieure à 35 % dont au moins 18 % de beurre de cacao.

Bon à savoir : les mentions obligatoires sur un chocolat

7 décembre 2022

Arnaque au faux support technique

 

7 personnes soupçonnées d’être impliquées dans un réseau de grande ampleur visant à extorquer de l’argent aux internautes en leur faisant croire que leur ordinateur était bloqué ont été interpellés. 4 000 victimes au moins seraient concernées par cette arnaque.

Chaque année, des milliers d’internautes tombent dans le piège de l’arnaque au faux support informatique. Alors qu’ils surfent sur Internet apparaît à l’écran un message inquiétant indiquant que leur ordinateur est vérolé. Pour résoudre le problème, ils sont invités à appeler un numéro de téléphone. Ceux qui le composent tombent sur un pseudo-technicien qui leur indique pouvoir tout remettre en ordre à condition qu’ils payent une somme s’élevant à plusieurs centaines d’euros. Sauf que rien n’est vrai. Le virus, le message, le technicien… tout a été créé par des escrocs dans l’unique but de soutirer de l’argent.

Après des mois d’enquête, plusieurs directions territoriales de police judiciaire (DTPJ), dont celle de Montpellier, ont démantelé l’un de ces réseaux. Au total, 7 personnes ont été arrêtées à Perpignan (66), au Puy-en-Velay (43), à Istres et à Martigues (13) ainsi qu’en région parisienne. Elles sont soupçonnées d’avoir, par l’intermédiaire de deux sociétés basées à Montpellier et à Saint-Dié-des-Vosges, extorqué à des milliers d’internautes des sommes allant de quelques centaines à 1 800 € après les avoir incités à appeler un centre d’appel basé en Tunisie. Les escrocs sont même allés jusqu’à recontacter ultérieurement certaines victimes en se faisant passer pour un service censé leur permettre de récupérer l’argent qu’on leur avait volé. Ceux qui ont transmis leur relevé d’identité bancaire (RIB) se sont certainement fait extorquer une seconde fois.

Six des sept personnes interpellées ont été mises en examen pour escroquerie, tentative d’escroquerie en bande organisée, association de malfaiteurs, infractions liées au système de traitement automatisé des données et blanchiment d’escroquerie en bande organisée. Trois ont été mises en détention provisoire et trois autres placées sous contrôle judiciaire.

Ne donnez jamais suite à ce genre de message

Le préjudice est énorme. En seulement 4 mois d’activité, à elle seule, une des deux sociétés incriminées aurait réussi à récolter 1,2 million d’euros. Or, les mêmes escrocs ont créé d’autres sociétés, spécialisées elles aussi dans l’arnaque au faux support technique ou dans d’autres domaines, comme l’isolation à 1 euro ou le compte personnel de formation(CPF).

Si l’enquête se poursuit et qu’un procès aura certainement lieu un jour, les victimes risquent malheureusement de ne jamais revoir leur argent. La meilleure solution est donc de déjouer ce type d’arnaque, notamment en ne donnant jamais suite aux messages alarmants s’affichant sur son écran, même lorsque l’ordinateur semble bloqué et qu’une société se disant « agréée par Microsoft » propose ses services. En général, redémarrer son ordinateur suffit pour que tout rentre dans l’ordre. Au moindre doute, contactez un réparateur à côté de chez vous et rendez-vous sur la plateforme Cybermalveillance.gouv.fr, dont l’UFC-Que Choisir est membre, pour plus d’informations.

 


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6 décembre 2022

Numéros d’urgence, personnes prioritaires, transports… comment se prépare la France aux risques de coupures de cet hiver

 

Coupures, délestages… quelles mesures pourront prendre les préfectures en cas de pics de consommation ? Quels risques pour les établissement publics, les particuliers? Comment se signaler en cas de besoin prioritaire et comment joindre les services d’urgence?

Sécurité, Ephad, hopitaux… seuls 38% d’utilisateurs seront prioritaires par département

Ce sont les préfectures qui choisissent quels sites ne pourront pas être privés d’électricité selon des critères précis définis par l’arrêté de 1990. Ainsi, le service prioritaire doit permettre le maintien de l’alimentation en énergie électrique des établissements suivants :

  • Hôpitaux, cliniques et laboratoires qui ne sauraient souffrir d’interruption dans leur fonctionnement sans mettre en danger des vies humaines ainsi que les établissements dont la cessation ou la réduction brutale d’activité comporterait des dangers graves pour les personnes ;
  • Installations de signalisation et d’éclairage de la voie publique jugées indispensables à la sécurité ;
  • Installations industrielles qui ne sauraient souffrir, sans subir de dommages, d’interruption dans leur fonctionnement, particulièrement celles d’entre elles qui intéressent la défense nationale.

Parmi ces sites, on trouve donc les établissements de santé, EHPAD médicalisés, sites liés à la sécurité, installations de production d’électricité. Le cas particulier des personnes à haut risque vital dépendantes d’un équipement médical branché sur secteur – près de 3800 – est également prévu: elles ne seront pas touchées par les coupures.

Comment signaler un besoin prioritaire en électricité?

Les préfets vont établir des listes d’usagers qui, en raison de leur situation particulière, peuvent bénéficier d’une certaine priorité. Pour bénéficier de cette mesure, vous devez remplir une « Demande d’information particulière en cas de coupure de courant électrique » avec le formulaire Cerfa n°10401*02 et le transmettre à l’ARS de votre région dont vous pourrez trouver les coordonnées sur leur site. Cette démarche permet de demander l’accès à un service particulier d’information mis en place pour les patients à haut risque vital traités à domicile, en cas de coupure programmée ou inopinée sur le réseau électrique.

Quelles règles pour les délestages?

On l’a vu, toutes les personnes dans des structures jugées comme prioritaires ne seront pas touchées par les coupures de courant. Ce sera le cas aussi pour la population raccordée à « une ligne prioritaire ». Au total, 40% de la population française est dans ce cas. Il faut noter qu’aucun département ne sera délesté en entier en même temps et qu’a priori, le même foyer ne pourra pas être touché deux fois par un délestage.

Un délestage ne pourra en principe, pas dépasser deux heures consécutives, et une seule fois par jour. Il pourrait arriver dans un scénario noir, en cas de froid extrême, précise Enedis, que le délestage soit déclenché une seconde fois dans la journée, une fois le matin et une fois le soir. Tout cela pour éviter un Blackout auquel ni Enedis ni RTE ne croient.

Les numéros d’urgence inaccessibles sauf le 112

« Il est illusoire d’imaginer qu’en cas de délestage, on saura maintenir un service continu pour l’ensemble des Français (…) et donc aux services des numéros d’urgence », a alerté Christel Heydemann, directrice générale d’Orange, auditionnée devant la Commission des affaires économiques du Sénat le 30 novembre. « Les sites télécom ne sont pas définis par l’arrêté de 1990 dans les sites prioritaires. La dizaine de milliers de sites mobiles ne sera pas priorisée, de même que nos clients et certains sites critiques du réseau qui ont un impact national », confirme la directrice générale. Le risque de coupures du réseau mobile et internet en France cet hiver est donc bien réel et pourrait empêcher l’accès aux numéros d’urgence.

D’après le site Public Sénat, l’entourage d’Élisabeth Borne indique que « la gestion des numéros d’urgence est une priorité en cas de délestage ». « En cas d’urgence pendant une période de délestage, nous allons encourager les usagers à contacter le 112. C’est un numéro que l’on peut joindre depuis n’importe quel opérateur et qui couvre le 15, le 17 et 18. Il est à prioriser pendant les périodes de délestage ».

Ecole et transports fermés?

Ces coupures auront lieu lors des pics de consommation: soit entre 8h et 13h et entre 18h et 20h. Du coup, certains services publics seront affectés:

-les écoles fermeront la matinée si elles sont concernées.
-les transports en commun devraient également fermer durant la tranche horaire concernée.

Comment être alerté 3 jours avant une coupure d’électricité?

Pour être bien alerté à temps, il faut télécharger l’application MonEcowatt, ou s’inscrire sur le site internet www.monecowatt.fr. Créé par RTE, le gestionnaire français du réseau de transport d’électricité, Monecowatt enverra des alertes vigilance coupure par SMS ou email trois jours avant en cas de pic et de risque d’interruption de l’électricité dans votre région. Il suffit d’indiquer son numéro de téléphone ou son e-mail ainsi que son code postal pour recevoir les alertes. Vous serez ensuite alerté la veille en fin de journée avec précision des sites qui seront coupés.

À J-1 : la RTE confirmera ou pas le risque de coupure le lendemain. Un risque encore évitable si la consommation baisse.

À 17 h à J-1: vous pourrez entrer votre adresse dans le moteur de recherche du site sur www.monecowatt.fr pour vérifier si vous serez concerné par la coupure.

 


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A propos de cet article dont la source est «notretemps.com»

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5 décembre 2022

Jouets de Noël: les bons réflexes avant d’acheter un jouet

 

Rien de pire qu’un accident provoqué par un jouet. Œil d’une peluche qui se détache, présence d’ingrédients indésirables (phtalates), éléments susceptibles d’être ingérés, sécurité électrique mal assurée, présence d’échardes dans des jeux en bois, risques de pincement… Nos conseils pour acheter des jouets en toute sécurité.

 

Choisir un jouet adapté à l’âge

Un jouet idéal pour un enfant de 5 ans peut être dangereux si on l’offre à un enfant de 3 ans. Il faut impérativement tenir compte de l’âge indiqué sur le jouet.

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Vérifier que le jouet porte la mention CE

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La mention CE signifie « conforme aux exigences de sécurité ». Dans le secteur du jouet, elle engage la responsabilité du fabricant, mais sous la forme d’un autocontrôle. Le marquage CE n’offre pas les mêmes garanties qu’un contrôle effectué par un laboratoire indépendant.

Préférer un jouet de marque NF si c’est possible

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La marque NF offre un niveau de sécurité supérieur au marquage CE, puisqu’elle impose des contrôles effectués par un laboratoire indépendant. Malheureusement, les fabricants de jouets ne se précipitent pas pour l’obtenir. Seul Smoby produit des jouets estampillés NF dans ses usines française et espagnole. Il s’agit de ses porteurs pour les tout-petits, ses tricycles, ses tableaux évolutifs, ses jeux d’imitation (Bricolo Center, Kitchen) et ses toboggans.

Fuir les jouets sans marque

Les grandes marques ne sont pas irréprochables – les rappels massifs chez Mattel en 2007 et Fisher Price en 2010 le prouvent – mais elles tiennent à leur image. Les risques de non-conformité sont beaucoup plus importants quand on achète un jouet sans marque.

Éviter les jouets comportant de petits aimants

Tout jouet qui comporte des aimants détachables présente un risque élevé. L’enfant peut s’étouffer voire s’asphyxier en avalant un aimant. Le risque n’est pas limité aux tout-petits : les plus grands peuvent parfois s’amuser à simuler un piercing sur la langue. Or, quand deux aimants sont ingérés, ils se soudent dans l’intestin, ce qui peut entraîner de graves complications.

Vérifier la solidité des peluches

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L’œil, le nez, les coutures, les poils : tout doit être irréprochable dans une peluche, car un tout-petit va probablement la malmener dans tous les sens. Il ne faut pas hésiter à s’assurer de sa solidité en magasin.

  • Tirez sur les poils : si jamais ils se détachent, la peluche est dangereuse.
  • Triturez la peluche pour vérifier que le rembourrage est solidement enfermé.
  • Tirez sur les oreilles, le nez, les parties collées ou cousues : tout doit résister.
  • Vérifiez la solidité des coutures. S’il y a tant soit peu de jeu, le rembourrage finit par passer et l’enfant risque de s’étouffer.

Pas d’inquiétude à avoir : une peluche conforme et de qualité reste intacte après ces quelques vérifications.

S’assurer qu’aucun élément ne peut se détacher du jouet

Les jeunes enfants ne ménagent pas leurs jouets. Pourtant, aucun petit élément ne doit pouvoir s’en détacher. Il faut éviter les jouets ornés de clochettes, boutons, nœuds, et tous ceux qui comportent des éléments susceptibles de s’arracher en cas de mauvaise utilisation. Les petites pièces sont très dangereuses pour les jeunes enfants qui portent tout à la bouche.

Ne pas offrir de jeux en 3D

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Les jeux vidéo et les films utilisant la technologie 3D sont dangereux pour la vue des enfants. Ils peuvent provoquer des troubles graves de la vision, des maux de tête, des pertes de concentration, des baisses de performance dans les activités mentales. Cela tient au fait que la restitution stéréoscopique en 3D perturbe le principe physiologique de convergence des yeux et d’accommodation à la même distance. L’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a tiré la sonnette d’alarme tout récemment : elle déconseille formellement les technologies 3D pour les enfants de moins de 6 ans, leur système visuel étant immature, et recommande d’en limiter l’usage jusqu’à 13 ans.

Des points sensibles à examiner

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Sur les jouets en bois

La surface d’un jouet en bois doit être parfaitement lisse, sans la moindre écharde.

Sur les jouets avec corde

Les enfants sont imaginatifs, ils détournent facilement l’usage du jouet. Pour éviter que la corde conçue pour tirer le jouet se transforme un jour en corde d’étranglement, elle doit être suffisamment courte, ne pas pouvoir passer autour du cou.

Sur les jouets qui fonctionnent avec des piles

Un boîtier à piles ne doit pas s’ouvrir sans outil. S’il est seulement clipsé, il ne présente pas de garanties suffisantes.

Un jouet détérioré ne se répare pas

À Que Choisir, on n’est pas partisan du tout jetable, mais en matière de jouets, il faut être intraitable. Tout jouet abîmé ou cassé présente des risques pour la sécurité de l’enfant. Il ne se répare pas, il ne se donne pas, la poubelle est sa seule destination possible.

Choisir un coffre à jouets

À un moment ou un autre, le coffre à jouets devient une cachette idéale pour l’enfant. Il doit pouvoir respirer même si le couvercle est fermé et être en mesure de le soulever de l’intérieur.

  • Le coffre doit posséder des espaces de ventilation sur le côté ou avoir un couvercle qui ne se ferme pas complètement.
  • Pour éviter les blessures, le couvercle doit être muni d’un dispositif qui l’empêche de retomber brutalement.
  • Le coffre doit posséder un système antipincement de doigts.

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2 décembre 2022

Moules en silicone: gare aux migrations dans les aliments!

 

Pas étonnant que les moules en silicone aient conquis de nombreux foyers, leur facilité de démoulage a peu d’équivalents. Mais face à ce côté pratique indéniable, le silicone a la fâcheuse réputation de migrer dans les aliments. Test à l’appui, c’est trop souvent vrai.

Pas moins de 44 moules en silicone testés par Que Choisir  et ses homologues européens, et sur ce total seulement 16 % qui ne migrent quasiment pas dans les aliments. Autrement dit, qu’on achète un moule en silicone sur Internet ou en magasin, il faut être sacrément chanceux pour tomber sur un modèle qui ne relargue pas de composants chimiques dans les aliments pendant la cuisson au four. Concernant les 29 références commercialisées en France, on arrive à 6 moules sans risques, soit seulement 1 chance sur 5 de tomber sur eux si on achète au hasard.

Faire confiance à une grande marque n’est pas non plus un gage d’innocuité. En effet, les moules en silicone Tupperware et De Buyer, deux marques réputées s’il en est, font partie des mal classés. Ils se trouvent dans la catégorie « à éviter », qui compte 9 moules pour notre territoire et 16 au niveau européen.

                                    Parmi les moules à éviter, ceux de Tupperware et De Buyer.

Néfastes pour la santé et l’environnement

L’autre catégorie très représentée, c’est celle des moules avec des substances à la toxicité inconnue ou préoccupantes pour la santé mais migrant en faible quantité. À titre de précaution, Que Choisir déconseille ces moules-là.

À l’inverse, dans la catégorie « à éviter », la migration est importante ou porte sur des substances classées cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction, voire qui figurent sur la liste européenne des substances extrêmement préoccupantes, celles qui sont appelées à être retirées du marché tant elles sont néfastes pour la santé et l’environnement.

Pour en savoir plus, consulter les résultats des analyses faites sur 29 moules en silicone publié le 23/11/2022 dans le numéro de décembre intitulé « Moules en silicone – des résidus dans nos gâteaux »

 


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1 décembre 2022